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Non vacciné et toujours vivant

dimanche 11 février 2024

J’ai 50 ans, je vis en France et j’ai continué a travailler pendant la crise du Covid et pendant la campagne de vaccination. Je n’ai pas respecté la distanciation sociale, j’ai serré les mains des gens, embrassé les autres et à ce jour je ne suis pas mort, je n’ai pas été malade, ni causé une maladie ou la mort des personnes de mon entourage.
En revanche, ce ne fut pas le cas de tout le monde, certains ont subi la maladie, d’autres la folie des règles sanitaires. Devant la tournure des événements, il fallait témoigner pour ces gens qui souffrent dans le silence et dans le mépris des médias.

L’oncle de mon épouse n’a pas eu cette chance. Il est décédé suite au vaccin de la grippe après avoir eu le Covid, ses défenses immunitaires étaient épuisées, il a vécu un calvaire après avoir reçu les trois injections comme le recommandaient les instances sanitaires. Il était âgé de 86 ans et passait une retraite paisible sur les terres de son exploitation agricole familiale.
Les premiers signes des effets secondaires ont été une activité cardiaque perturbée et un essoufflement à la marche. Il ne prenait plus le tracteur et attendait que la journée se termine pour se coucher fatigué. Ses jours étaient rythmées par la venue de l’infirmière qui le lavait et lui donnait ses médicaments. Les membres de la famille ne devaient pas venir lui rendre visite s’ils ne portaient pas de masques, n’étaient pas vaccinés et s’ils présentaient une toux.
Les réunions familiales se passaient entre eux, c’est à dire les parents, les enfants et les petits enfants, ils ne s’embrassaient pas, certains portaient le masque à l’intérieur de la maison, ils vivaient reclus, coupés du reste d’une famille qui était unie et qui organisait chaque dimanche de fête un grand repas où toutes les générations étaient présentes.
Lors de son dernier séjour à l’hôpital, en janvier 2024, quelques visiteurs portaient encore le masque et se saluaient en checkant avec le poing. Il ne fallait pas trop lui parler, il ne fallait pas le fatiguer, pensant peut être qu’il n’allait pas mourir.
Il est mort à l’hôpital un dimanche soir à 22 heures, loin de ses proches, dans la plus grande solitude après avoir eu la visite dans l’après midi de son dernier arrière petit fils qui venait de naître.
Son épouse se retrouve maintenant seule dans une immense solitude causée par des règles sanitaires absurdes qui ont brisé la vie et les liens amicaux et familiaux. Cette nouvelle structure d’isolement thérapeutique artificielle du confinement et du pass-vaccinal ont détruit son lien social, et perdu à jamais l’âme d’un clan uni dans la peur de mourir de la maladie.

Le fils d’une de mes tantes est décédé en plein confinement d’un infarctus, il a développé de l’hypertension dès le mois de mars 2020. A son décès personne n’a pu aller le voir, ni les parents, ni la famille, ni les amis, le cercueil était scellé à leur arrivé à la morgue. Ils n’ont pas pu voir le corps de leur fils, ce fut un adieu solitaire et tragique jusqu’au crématorium. Depuis cet évènement, ma tante est choquée, pensant toujours que le Covid peut tuer et met le masque dès qu’un rhume apparait pour ne pas avoir le risque de tuer quelqu’un. Pour le noël 2022, mon oncle et ma tante avaient le Covid et n’ont pu participer au repas du 24 décembre en compagnie de leur enfants et petits enfants. Il ont dîné seuls en tête à tête jusqu’au moment de minuit où retentit la sonnette. En ouvrant la porte d’entrée, les grands parents eurent la surprise de voir tous les petits enfants et enfants se tenant à distance et portant le masque leur souhaitant un Joyeux Noël. Ils furent émus aux larmes sans pouvoir partager la bise célébrant la nativité du 25 décembre. Le traumatisme de la mort de leur fils unique est toujours présent dans leur mémoire et a changé à jamais leur comportement envers la maladie.

J’ai un voisin qui est peu bavard, gentil, sans richesse mais avec de l’humanité qui supporte d’héberger son fils qui a décidé d’arrêter de travailler pour bénéficier de l’aide sociale plus avantageuse que son dernier salaire. Ce fils qui vit chez papa et maman en fumant deux paquets de cigarettes par jour, emprunte la voiture du père pour aller au bureau de tabac et demande toujours de l’argent de poche pour pouvoir mettre de l’essence dans le réservoir de son propre véhicule. Sa mère a fait sa quatrième injection Covid fin 2022 et a fait un AVC trois jour après. Elle ne pouvait plus parler ni se lever pour sa toilette ni manger et regardait son époux, qui me l’a confié, d’un oeil perdu qui semblait lui demander ce qui se passait. Elle est décédée 11 jours après l’injection du vaccin en faisant un arrêt cardiaque, laissant son mari et son fils seuls, à respirer cette fumée de cigarette qui remplissait la pièce du salon.
Mon voisin était persuadé que « c’est cette saloperie qui l’a tué et je me demande maintenant ce qui peut m’arriver, je ne vais pas laisser mon fils tout seul, même s’il m’a fait un sale coup dans mon dos ». En effet, pendant l’hospitalisation de sa mère, le fils a volé la carte bleue des parents pour aller dépenser 750 euros de cigarettes et d’essence. Le père s’en est aperçu quand il a fallu payer les frais d’obsèques, son relevé bancaire indiquait une somme qu’il n’avait pas dépensé.

Pour finir ce témoignage des tragédies humaines liées à la vaccination, je vais vous raconter l’histoire d’une connaissance, un petit bonhomme de 77 ans qui est espiègle et qui tient un dico, comme il dit, où il répertorie les aphorismes de sa vie depuis ses 7 ans, jour où il a voulu mourir de ne pas avoir su qui était sa vraie mère.

En 1939, sa mère épouse un homme, le voyage de noce les mènent dans le Vaucluse pour fêter cette union heureuse. C’était en septembre 1939. Le mari de sa mère fut mobilisé en plein voyage de noces pour se rendre sur le front de guerre, l’épouse se réfugia chez son beau père où vivait son beau frère qui la viola peu de jours après son arrivée. Ce viol obligea le médecin du village à faire une fausse déclaration de ligature des trompes pour effacer la naissance de ce petit Jacques illégitime. L’enfant fut placé à l’orphelinat pour ne pas attirer l’attention des femmes bavardes. A la fin de la guerre, sa mère a revu son mari, revenu d’un camp de prisonniers et le couple adopta le petit Jaco.

Ce petit bonhomme a toujours été combatif et c’est cela qui l’a sauvé tout au long de sa vie. A ses 77 ans, il a fait sa première injection Covid, c’était en 2021. En 2022, je lui ai rendu visite sur son exploitation de noix et je fut surpris de le voir saigner abondamment du nez. Il me dit, que depuis son vaccin il avait des saignements de nez, mais cette fois ci c’était des caillots et me dit qu’il allait consulter son médecin, il avait du mal à marcher et à respirer. Il fut contraint de faire une radio suite à une toux, une côte avait craqué. Le bilan médical révéla un fracture, les analyses du scanner et du sang ont révélé un cancer de la moelle osseuse avec les artères bouchés. Il a toujours été optimiste et s’est soigné avec l’aide de sa fille infirmière. Maintenant il va mieux, il « bricole » toujours ses noyers et reste vigilant quant à l’évolution de sa maladie en se disant s’il va pouvoir continuer longtemps comme cela, ses jambes lui font encore mal, il attend de consulter un spécialiste de Lyon pour lui déboucher ses artères avec un nouvelle technique, pour reprendre son tracteur et de s’occuper de son exploitation qui a été louée à de jeunes agriculteurs de la région qui ont eu eux aussi leur mère touchée par un syndrome de gonflement du système lymphatique après l’injection Covid.

La vie de ces gens ordinaire n’est plus la même, et il était important de raconter comment la vie s’organise autour d’une stratégie vaccinale et d’un confinement qui ont meurtri les corps et les relations humaines. Le temps fera son travail et chacun comprendra l’époque folle dans laquelle nous vivons.

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