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Dictature sanitaire bovine et sacrifice animal

lundi 15 décembre 2025

La pandémie de syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SARS-CoV-2) a mis à disposition de nouvelles plateformes vaccinales pour s’adapter aux agents pathogènes en circulation. Les vaccins à ARNm ont fait leur apparition dans le domaine vétérinaire avec son lot de maladies et d’effets secondaires.

Plusieurs vaccins à ARNm vétérinaires ont été étudiés comme pour la pandémie de 2009, avec une immunisation par ARN contre le virus de la fièvre aphteuse (FMDV) chez les porcs. A cette époque Anthony Fauci était impliqué dans la réalisation de cette pratique vaccinale comme pour le Covid 19. Ce vaccin à ARNm a induit la production d’anticorps neutralisants chez les truies et d’anticorps acquis passivement chez les porcelets allaités. La transmission se faisait par le lait.

Pour les bovins, des recherches ont été menées par l’USDA afin de mettre au point un nouveau système de vaccin à ARNm contre le virus respiratoire syncytial bovin (VRS). Pour remédier aux problèmes d’immunité, une étude a cherché à mettre au point un système de vaccin à ARNm rentable, qui pourrait déboucher sur des transcrits plus stables thermiquement et adaptés à la vaccination dans les exploitations agricoles (Verhoeven, 2021).

Les problèmes potentiels associés aux vaccins à ARNm, malgré leur conception, leur développement rapides et faciles, devaient être pris en compte au regard de l’instabilité de l’ARN, et des réponses inflammatoires excessives.

Encre une fois ces épidémies font des apparitions étranges avec une concordance d’un agenda économique du Mercosur qui détruit la souveraineté alimentaire de notre pays.

Si les propiétaires ne vaccinent pas leur bovins, ils sont purement et simplement abbattus avec la complicité des forces de l’ordre qui recourent à des interventions que nous pouvons qualifier d’opérations commandos militaires.

Les autorités sanotaires estiment que le vaccin à ARNm Covid 19 a ouvert la voie à l’utilisation de plateformes de vaccins à ARNm en médecine vétérinaire. Les infections virales sont devenues par magie, une menace pour les industries de l’élevage et de la volaille. Une nouvelle stratégie a été adopté pour augmenter l’efficacité des vaccins à ARNm avec l’utilisation de séquences mosaïques pour induire des réponses immunitaires. Les vaccins mosaïques intègrent des composants provenant de différentes variants de virus, comme le VIH, et les mélangent pour induire une réponse immunitaire plus large.

Or cette méthode est un échec puisque les essais de vaccins mosaïques Imbokodo en 2021 et Mosaico (HPX3002/HVTN706) ont été stoppé avant terme. Cet essai évaluait l’efficacité d’un vaccin dit « mosaïque » capable de protéger contre plusieurs variants du virus. Il utilisait la technologie du vecteur adénoviral (Adenovirus 26) exprimant différentes protéines du virus VIH (env, gag et pol), auquel s’ajoutait la protéine d’enveloppe gp140 (d’un virus de clade C) sous forme trimérique soluble.
Cet essai était le fruit d’une collaboration entre partenaires publics américains (NIAID, HVTN, USAMRDC auquel avait aussi participé le docteur Anthony Fauci.

La campagne de vaccination contre la Dermatose Nodulaire Contagieuse (NDC) a déjà été faite sur 32 % du cheptel corse. La préfecture dans un communiqué a précisé que « peu d’effets secondaires directement imputables à la vaccination ont été signalés ».

Selon nos sources auprès d’un vétérinaire bovin, les effets secondaires existent mais comme pour le Covid 19, ils sont minimisés et cachés.

Nos dirigeants sont des adeptes du sacrifice humain avec la guerre en Russie et ne s’opposeront pas contre celui qu’il ont acté pour les bovins.

Francis Ros

Dermatose nodulaire : affrontements en Ariège, nouvelles mesures de surveillance et de prévention instaurées par arrêté.

Alors que des affrontements violents se sont produits hier soir en Ariège entre éleveurs et forces de l’ordre, un arrêté paru ce matin au Journal officiel instaure une nouvelle zone de vaccination obligatoire.

Réapparue en Savoie en juin dernier, la DNC (dermatose nodulaire contagieuse) n’est toujours pas éradiquée dans le pays, malgré les mesures rigoureuses prises par le gouvernement. Pire, elle gagne de nouvelles régions. Avant-hier, un foyer a été repéré dans une exploitation des Hautes-Pyrénées, ce qui a entraîné des mesures de restriction et de surveillance dans les départements voisins (Pyrénées-Atlantiques, Gers et Haute-Garonne).

Affrontements en Ariège

Un autre foyer a été repéré, mercredi 10 décembre, en Ariège, dans le village de Bordes-sur-Arize. La décision d’abattre les 207 vaches de l’élevage a provoqué la colère des éleveurs, relayée – ou alimentée – notamment par la Coordination rurale, syndical agricole né d’une scission de la FNSEA, dont certains dirigeants sont proches du Rassemblement national et dont la ligne semble de plus en plus dure. Le nouveau président de la CR, Bertrand Venteau, a notamment déclaré au moment de son élection, en novembre dernier : « Les écolos veulent nous crever, nous devons leur faire la peau », propos qui ont conduit à l’ouverture d’une enquête par le parquet d’Auch.

La Coordination rurale, ainsi que la Confédération paysanne – elle, en revanche, très marquée à gauche –, ont appelé hier les agriculteurs à « défendre » la ferme de Bordes-sur-Arize et à empêcher les services vétérinaires d’y accéder pour procéder à l’abattage du troupeau. La ferme a été encerclée de tracteurs, des arbres ont été abattus pour fermer les routes, et des tranchées ont même été creusées, selon les médias présents sur place.

D’importants effectifs de gendarmerie, équipés de véhicules blindés Centaure, ont été dépêchés sur place, et des affrontements violents ont eu lieu toute la soirée – avec jets de projectiles et de cocktails Molotov d’un côté et grenades lacrymogènes et grenades assourdissantes de l’autre. Environ 400 agriculteurs ont pris part à ces affrontements, mais le ministère de l’Intérieur parle également ce matin d’éléments extérieurs, faisant partie de « l’ultragauche ».

La ferme a été « reprise » par les forces de l’ordre vers 23 heures. Mais la mobilisation ne s’arrête pas : depuis hier soir, plusieurs dizaines de tracteurs bloquent l’autoroute A75, d’abord à Séverac-le-Château (Aveyron), puis à Saint-Chély-d’Apcher (Lozère). La préfecture de la Lozère indique ce matin, par communiqué, que l’autoroute reste fermée dans ce secteur. À plusieurs endroits, comme on peut le voir sur des vidéos diffusées sur X, des agriculteurs ont abattu des arbres et les ont tractés sur l’autoroute.

D’autres actions ont débuté ce matin devant des préfectures, notamment à Agen (Lot-et-Garonne) et à Périgueux (Dordogne). Le président de la CR, Bertrand Venteau, a demandé hier à la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, d’arrêter de « s’entêter », sans quoi elle risque de « mettre la ruralité à feu et à sang ». La Coordination rurale, comme la Confédération paysanne, demandent au gouvernement de reconnaître « l’échec » du protocole fixé par le ministère pour éradiquer la DNC, et d’y renoncer – notamment le fait d’abattre la totalité d’un troupeau lorsqu’une seule bête est atteinte. À noter que la FNSEA, elle, est sur une position tout autre, estimant que la stratégie du gouvernement est la seule possible.

Nouvelles zones de vaccination obligatoire

En début de semaine, la ministre de l’Agriculture estimait, au sortir d’une réunion du Comité national d’orientation de la politique sanitaire animale et végétale, que la stratégie choisie portait ses fruits, puisqu’elle a permis de « lever trois des cinq zones réglementées mises en place autour des foyers ». Cette stratégie, pour mémoire, repose sur « trois piliers » : abattage de l’ensemble des bovins du foyer, limitation des mouvements et vaccination rapide obligatoire autour des foyers.

Ce matin, au Journal officiel, un nouvel arrêté est paru pour modifier certaines règles de surveillance et de prévention de la maladie.

Cet arrêté fixe une obligation de vaccination de tous les bovins sur l’ensemble de la Corse, ainsi que dans toutes les communes de l’Aude, de la Haute-Garonne, du Gers, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques. Dans ces départements, la sortie des bovins des zones de vaccination est interdite. Par ailleurs, sur l’ensemble du territoire métropolitain, les « manifestations et rassemblements temporaires » de bovins sont interdits jusqu’au 1er janvier 2026.

Le gouvernement ne semble toujours pas décidé, en revanche, à vacciner l’ensemble du cheptel, comme le demande notamment la Confédération paysanne.

La colère ne retombe pas parmi les éleveurs, et si une nouvelle décision d’abattage d’un troupeau devait être prise dans les prochains jours, elle pourrait encore s’amplifier. Le gouvernement redoute maintenant des mouvements de blocage à l’occasion des prochains grands départs pour les congés de Noël.

Franck Lemarc

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