Les révélations de Mike Benz sur George Soros étaient là sous nos yeux depuis longtemps dans les dossiers de Wilileaks de Julian Assange. Ce que nous apprenons c’est que Soros a travaillé pour le département d’état américain et la CIA depuis plus de cinquante ans avec l’ancêtre de la société Halliburton de Dick Cheney qui s’appelait Brown & Root.
Tout ce travail a aussi été coordonné pour corrompre les pays pétroliers pour valoriser le dollar après l’abandon par Nixon de sa parité avec l’or et les accords de Bretton Woods.
En relisant l’histoire jusqu’en 1969, l’économie américaine était moribonde et entrait de nouveau en récession. En 1970, les taux d’intérêts américains avaient été brutalement abaissés. Les capitaux spéculatifs fuyaient le dollar pour aller en Europe en quête de rentabilité. L’évasion nette de capitaux fut d’un montant de 6,5 milliards de dollars. Les détenteurs de dollars à l’étranger, exigeaient l’équivalent en or et les réserves d’or américaines ne représentaient plus qu’un quart de la réserve de sécurité de la monnaie américaine.
Nixon dévalua le dollar et affirma que les Etats Unis n’échangeraient plus le dollar papier avec de l’or.
La naissance du pétrodollar
En 1973, la valeur du dollar chuta plus durement et sa dévaluation avec la fuite des capitaux entraina un baisse de 40% face au Mark allemand.
Devant ce désastre financier, Henry Kissinger eu l’idée de prendre le contrôle des economies du monde entier.
Les architectes de la stratégie de la riposte américaine sont venu tout droit de la City de Londres avec de célèbres banquiers comme Siegmund Warburg, Edmond de Rothschild et Jocelyn Hambro. La dissolution de l’étalon or de Bretton Woods était actée et représentait une opportunité qu’aucun banquier véreux ne voulait manquer.
En mai 1973, un groupe de personnalités de la finance et de la politique se sont réunis en secret à Saltsjöbaden en Suède. C’était une réunion du club secret Bilderberg qui planifiait le pétrodollar et les actions à mener pour relever la valeur de la monnaie américaine. Pour que le plan se passe sans accroc, une augmentation de 400% des revenus pétroliers devenait nécessaire pour convaincre les pays de l’OPEP.
C’était le premier choc mondialiste pour placer les Etats Unis et le dollar au sommet de la hiérarchie de l’économie mondiale.
La guerre du Kipour a été secrètement orchestrée six mois auparavant par Washington, Londres et le réseau diplomatique secret d’Henry Kissinger. Cette guerre devait conduire à un affrontement entre juifs et musulmans pour déstabiliser la région et décider de procéder à un embargo pour punir Londres et Washington qui armaient l’état d’Israël.
Le soutien amércain envers Israël a poussé les pays de l’OPEP à décréter un embargo aux États-Unis et aux Pays-Bas, qui armaient Israël. Les pays arabes ont contribué à faire baisser la production tout en augmentant le prix du baril passant de 3,01 à 5,11 dollars soit une augmentation de 70%.
Les pays de l’OPEP ont plongé le monde dans la panique avec des files d’attentes aux stations services et des pénuries qui déstabilisaient tout un pan de l’économie mondiale. Ce chaos a obligé les nations à rationner l’essence comme pendant le seconde guerre mondiale et tenté d’influencer les populations à trouver des astuces et des innovations pour faire des économies de carburant. Rappelez vous le slogan qui était affiché partout « En France on n’a pas de pétrole mais on a des idées ».
Quand le baril de pétrole a atteint le prix de 18 dollars, le monde a paniqué avec une crise sans précédent et une hausse vertigineuse du chômage, c’était la fin de l’âge d’or de l’industrie.
De nombreux pays européens ont pris des mesures d’austérité, comme la réduction du temps de travail ou l’arrêt des voitures le dimanche. Les gens ont commencé à utiliser la marche pour se déplacer et le sentiment de haine envers les pays arabes devenait palpable dans les conversations.
Le 22 décembre 1973, l’OPEP s’est réunie en Iran à Téhéran, et à la fin de la réunion, le Shah d’Iran a déclaré que le pétrole devait être considéré comme un « produit noble » puisqu’il serait « épuisé d’ici 30 ans ». L’augmentation du prix du pétrole permettrait dans le futur de développer des ressources alternatives.
L’historien Geoffrey Barraclough a écrit en 1975 : « Ce que nous avons vu, c’est le début d’un nouvel ordre mondial, la recherche de positions de force dans un réalignement global, dans lequel les armes sont les produits agricoles et le pétrole ».
Le premier choc pétrolier venait de donner naissance au projet du pétrodollar pour renflouer les caisses de l’administration américaine, pour détruire les économies de l’Europe et du monde entier et façonner les bases du Great Reset que nous constatons aujourd’hui.
Da,s la revue Financial News un article décrit comment Soros est entré en jeu dans le processus de globalisation des Rothschild.
Lord Rothschild soutient son cousin
Mike Foster 16 mars 2012
Jacob Rothschild investit dans un fonds de fonds spéculatifs géré par son cousin dans le cadre d’une transaction qui devrait ouvrir la voie à une coopération plus étroite entre les deux parties.
Lord Jacob Rothschild, basé au Royaume-Uni, a noué des liens avec son cousin français, le baron Benjamin de Rothschild, en prenant une participation dans son fonds de fonds spéculatifs Capital Holdings, dans le cadre d’une transaction qui devrait ouvrir la voie à de nombreuses autres collaborations entre les deux parties. La société RIT Capital Partners de Lord Rothschild émet des actions d’une valeur de 14 millions de livres sterling au profit du groupe Edmond de Rothschild du baron Benjamin, qui détient 49 % de Capital, propriétaire du fonds de fonds spéculatifs pionnier Leveraged Capital Holdings. Capital gère actuellement des fonds totalisant 2,7 milliards de dollars. LCH a été l’un des premiers soutiens de George Soros en 1973, ainsi que de Bridgewater, la société de Ray Dalio, dans laquelle il a investi pour la première fois en 1975.
Francis Ros
La famille Soros collabore avec le Département d’État depuis 50 ans
Le département d’État américain travaille avec la famille Soros depuis au moins 50 ans, a démontré Mike Benz, ancien sous-secrétaire d’État adjoint au département d’État américain, selon des câbles diplomatiques publiés sur Wikileaks.
Benz, aujourd’hui directeur exécutif de la Fondation pour la liberté en ligne, explique pourquoi on dit que George Soros est traité par les États-Unis comme une « entité indépendante », comparable à un pays.
Dans un article publié en 1995 par le New Yorker , l’ancien ambassadeur américain en Turquie, Morton Abramowitz, déclarait à propos de Soros :
- « C’est le seul homme aux États-Unis qui a sa propre politique étrangère — et qui peut la mettre en œuvre. »
Strobe Tallbott, ancien secrétaire d’État adjoint, a également déclaré à propos du financier d’extrême gauche :
- « C’est comme travailler avec une entité amie, alliée et indépendante, voire un gouvernement. Nous essayons d’harmoniser notre approche vis-à-vis des anciens pays communistes avec celle de l’Allemagne, de la France, de la Grande-Bretagne et de George Soros. »
Benz a examiné des câbles diplomatiques provenant de responsables du Département d’État remontant jusqu’aux années 1970, démontrant l’implication du gouvernement américain avec la famille Soros dans ce qui semblait être une relation de type « donnant-donnant ».
Dans un câble de 1976 de l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger, il a été démontré que Brown & Root (aujourd’hui Halliburton), une entreprise liée à la CIA et connue pour ses travaux sur les installations militaires et les plateformes de forage en mer, voulait « tout mettre en œuvre » pour la construction d’un port à Santa Clara, au Gabon, un pays situé sur la côte ouest de l’Afrique. Herman Brown, cofondateur de Brown & Root, a obtenu une habilitation de sécurité pour travailler avec la CIA en 1953 « en tant qu’associé secret ». Dans les années 2000, la société figurait parmi les cinq principales participations de George Soros, comme l’a démontré Benz. Faisant référence au responsable des ventes internationales de Brown & Root , Kissinger a écrit :
- « O’Sullivan vient de terminer des discussions approfondies avec Soros Associates afin de préparer les estimations sur place du calendrier et des coûts de construction… qui seront utilisées lors des prochaines discussions avec les autorités gabonaises. »
Soros Associates était dirigée par Paul Soros, le frère aîné de George Soros, aujourd’hui décédé.
Le télégramme, adressé à l’ambassade des États-Unis au Gabon, semblait faire pression pour obtenir une aide à la construction de ce port, notant que même si la demande d’aide arrivait à un « moment difficile », le « vif intérêt » pour le projet et d’autres raisons « empêchaient tout report ».
Une autre série de messages montre que le département américain a aidé la famille Soros à obtenir un contrat pour le port du Gabon. Selon un télégramme, le directeur du port de Santa Clara, nommé « Damas », « a déclaré que des réunions avaient eu lieu au sein du gouvernement gabonais et se poursuivaient, ce qui devrait conduire prochainement à l’élimination de toutes les offres sauf quelques-unes et que Soros était en très bonne position. » Benz a fait remarquer :
- « Voilà le chef du département d’État au Gabon qui discute en coulisses avec le directeur du port pour s’assurer que Paul Soros remporte l’appel d’offres. Éliminer toute opposition. »
Un autre message indiquait :
- « Il semble quasiment certain que Soros Associates obtiendra le contrat d’ingénierie pour le port. »
- « Non seulement le département d’État américain négocie les accords de Soros et l’aide à les conclure, mais il intervient également en coulisses pour que des gouvernements étrangers puissent payer Soros et lui permettre ainsi de réaliser le profit qui lui revient ». « Il existe cette relation de faveurs contre faveurs qui remonte à cinq décennies, et ce ne sont là que les plus anciens câbles diplomatiques dont nous disposons ».
La découverte de ces câbles a été qualifiée de « découverte ultra-massive » par le journaliste Alex Jones. Cette découverte est capitale car George Soros lui-même a des intérêts de politique étrangère indépendants de ceux des États-Unis et, au cours des dernières décennies, a exercé une influence considérable sur la politique intérieure américaine, favorisant un système judiciaire impuissant, la censure d’internet et un large éventail de causes d’extrême gauche telles que l’avortement, l’euthanasie et le contrôle des naissances, ainsi que le « mariage » homosexuel et la transidentité. Autrement dit, comme l’ont formulé certains commentateurs , son impact a été d’éroder le tissu moral de l’Amérique et d’affaiblir le pays.
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