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John Podesta et George Soros ont manipulé la tentative de destitution de Trump

dimanche 24 octobre 2021

Le procureur spécial John Durham continue d’enquêter sur les origines de l’enquête Trump-Russie. Après la mise en accusation de l’avocat du cabinet Perkins Coie, chargé de la campagne de Clinton en 2016, il va bientôt se pencher sur le cas de Daniel Jones.

Selon nos informations, Jones nous renvoie vers John Podesta et George Soros qui se sont associés dans le but de destituer le Président Donald Trump par l’intermédiaire de l’espion Christopher David Steele ancien officier de renseignement britannique du MI6, responsable du département Russie.
Il s’est associé avec l’enquêteur Daniel Jones et le Groupe Fusion GPS pour mener à bien ce machiavélique projet.

Daniel Jones a passé neuf ans en tant qu’enquêteur au sein du Senate Select Committee on Intelligence. En 2007 il devient le principal collaborateur de la présidente Diane Feinstein.

Elle lui a confié la responsabilité de l’enquête de la commission sur l’utilisation des « techniques d’interrogatoire brutales » de la CIA pendant la guerre d’Irak sous l’administration Bush, et il a dirigé la rédaction du « rapport sur la torture » de la commission, dont la version classifiée compte 60800 pages. Il a également travaillé sur l’enquête de la commission concernant la destruction par la CIA des enregistrements vidéo des interrogatoires.

Depuis qu’il a quitté le Sénat, il a créé trois entreprises privées avec une façade humanitaire qui cache des objectifs commerciaux ambitieux. Pour la campagne présidentielle de 2016, il a créé deux entreprises The Democracy Integrity Project, et Advance Democracy, pour démontrer l’ingérence russe dans l’élection présidentielle.
Il s’agit en réalité du Penn Quarter Group, l’escadron de tueurs à gages du parti démocrate.

Le Penn Quarter Group est un organisme qui travaille pour les candidats du parti démocrate afin de trouver des informations compromettantes sur leurs adversaires. Jones a déclaré au sénateur Charles Grassley que PQG a été financé par 7 à 10 riches individus situés principalement à New York et en Californie (Schumer et Feinstein), pour un montant d’environ 50 millions de dollars.

Ses bailleurs de fonds restaient à ce jour inconnus.

Le journal The Fédéralist a signalé pour la première fois en février que Daniel Jones travaillait en collaboration avec Fusion GPS, un groupement de riches donateurs de la Silicon Valley et de New York qui ont dépensé 50 millions de dollars pour financer son enquête sur la collusion Trump-Russie aidée de l’espion spécialiste de la Russie Christopher Steele.

Chuck Ross du journal Daily Caller donne plus d’information sur ce sujet :

« Jones a déclaré au FBI en mars 2017 qu’il avait obtenu un financement de 50 millions de dollars d’un groupe de riches donateurs et avait obtenu les services de Christopher Steele ... et de Fusion GPS pour continuer à exposer l’ingérence russe dans l’élection présidentielle américaine de 2016 ».
Jones a également déclaré au FBI qu’il « avait l’intention de partager les informations qu’il avait obtenu avec les décideurs politiques ... et avec la presse ».

Implication de John Podesta

Le rôle de Podesta est apparu grâce à Peter Fritsch, co-fondateur de Simpson et de Fusion GPS, qui a écrit un livre, « Crime in Progress ». Il affirme que l’ancien président de la campagne de Clinton, John Podesta, a été « très utile » pour organiser des réunions de collecte de fonds pour l’enquête de Jones.
« Podesta a accepté de contacter quelques amis de l’Ouest au nom de Jones et lui a dit de ne pas divulguer son nom lors de discussions avec d’autres donateurs ».

Chuck Ross poursuit :

« Jones n’a pas révélé les financiers de ses deux sociétés The Democracy Integrity Project et d’Advance Democracy, Inc ».
Mais le Daily Caller News Foundation a confirmé que l’Open Society Foundation de George Soros, a financé TDIP à hauteur de 1,5 million de dollars en 2017 et 2018. Un groupe financier opaque appelé le « Fond pour un avenir meilleur » a contribué à hauteur de 2 065 000 dollars à la TDIP en 2017. La Silicon Valley Community Foundation a donné 500 000 dollars à l’ADI en 2018, d’après les dossiers fiscaux.

Advance Democracy Inc. (ADI) et The Democracy Integrity Project (TDIP) en tant qu’organisations à but non lucratif ont versé à New Knowledge, une société de cybersécurité, qui a contribué à un rapport de la commission sénatoriale du renseignement sur la désinformation russe, près de 500 000 dollars en 2018.

Chuck Ross :

«  La même année, ADI et TDIP ont versé 747 608 dollars à Walsingham Partners, une société contrôlée par Christopher Steele , et 2 010 317 dollars à Bean, LLC, une société écran qui contrôle Fusion GPS [l’autre entité impliquée dans le dossier Steele utilisé pour obtenir un mandat de la FISA pour espionner le candidat et le président Trump par l’intermédiaire de Carter Page]. »

Il est à noter que ADI et TDIP, les sociétés créées par Jones pour traquer le président Trump, ont vu le jour le 31 janvier 2017, un jour après que l’avocat de Jones Eric Ciaramella ait tweeté : « #Le coup d’État a commencé ».

Sources :
New York Times
Red State
Gateway Poundit

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