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Cinquième vague

mercredi 17 novembre 2021

Cette soi-disant cinquième vague qui nous est annoncée urbi et orbi arrive à point nommée. Au moment où l’on retrouvait un peu de calme, plouf ! Nos gentils organisateurs du chaos récréatif nous remettent la tête sous l’eau. Le pouvoir – les pitres sanglants qui sont aux manettes – souffle le chaud et le froid et chacun sait que, tordu dans un sens puis dans l’autre, le plus robuste fil de fer finit par casser. Certains plus malins (ou plus prudents) que d’autres lâchent quand même du lest. Parce que ces questions de politique sanitaire (plus politiques que sanitaires) sont à manipuler comme la nitroglycérine, avec d’infinies précautions … Quelque soient les impressionnantes capacités d’acceptabilité des Français pour les mesures restrictives, et même, à la longue, coercitives, à terme plus ou moins court, le retour de bâton n’est cependant pas à exclure… Car le spectre de la Haute cour rôde alentours. Ainsi le bon professeur Fischer1 (Monsieur Vaxx pour tous) prend prudemment ses distances d’avec la vaccination des plus jeunes (dès 5 ans). Traitement d’apprentis sorciers que les plus fanatiques voudraient imposer à l’imitation de la Grand Amérique (et d’Israël) ; Fischer expliquant que la situation est toute autre eu égard à « l’obésité » (un mot presque obscène dans sa crudité : il ne parle ni de surpoids ni de surcharge pondérale) très répandue outre-Atlantique chez les préjuvéniles. Effectivement le Covid frappe d’abord à la porte de ceux qui ont adopté des conduites alimentaires détestables… McDo, KFC, Starbucks, Pizza Hut, popcorn et milk-shake à gogo obligent ! Au reste l’américanisation/tiers-mondisation hexagonale avance à grands pas…

Le pass dans la joie ad vitam æternam

Or un nouveau reconfinement serait une utile diversion pour détourner l’opinion du criquet perturbateur – le disert Monsieur Z – dont on ne saisit d’ailleurs pas très bien quel est le rôle exact dans la foire d’empoigne des présidentielles. Pour qui roule-t-il  ? Parce qu’enfin il ne s’agite pas tout seul sur le devant de la scène ? Nous avons un précédent, M. Macron sorti comme un diable tintinnabulant de la boîte à malices des grands argentiers de ce très bas monde. De ce point de vue, resterait à savoir qui sont les marionnettistes qui lui font danser la gigue façon sauveur de la France éternelle. Sauf à avoir la berlue, M.Z, n’est pas vraiment taillé pour le rôle, même s’il voue une admiration sans borne à Napoléon Bonaparte ! Il n’est pas non plus Zorro (un personnage fort élégant pour ne pas dire noble) qui arrive toujours à point nommé et encore moins la Pucelle d’Orléans (pas plus que Mme Maréchal d’ailleurs !).

Que l’on puisse croire le contraire à quelque chose d’effrayant… De quel haut-mal la magicienne (ou sorcière) médiatique a-t-elle frappé l’esprit des assemblées qui entrent en transe en présence du prophète ? Soyons juste, le personnage apparaît comme l’ultime sauveur. Sa verbeuse présence à quelque chose à la fois de cathartique et de catalytique… Il opère le précipité de toutes les angoisses refoulées (à peine avouées), les amertumes accumulées, les frustrations des Français plumés par l’État providence (uniquement providentiel pour l’écume des peuples qui vient vivre et subsister sur le dos des productifs) qui se cristallisent sur sa personne2… En vérité, dans toutes, les social-démocraties - la forme atténuée mais persistante de la fièvre coronale messiano-marxiste-nomenklaturiste : liberté absolue en haut, collectivisme en bas3 - qu’elle soit plus ou moins mâtinée de libéralisme, l’on assiste au rétablissement subreptice (entre autres par le biais des taxations confiscatoires et des politiques de discrimination positive) de l’Esclavage. Aucune société collectiviste depuis le divin Platon n’a jamais marché autrement que sur et par le servage… l’archipel du goulag – la Kolyma, Terre promise du Grand Est circumpolaire, accueillit au-delà du million de déportés – en est l’un des derniers exemples (nous ne parlons pas des camps des Khmers rouges, ceux du Vietnam ou des Ouïgours du Xinjiang).

Oui da ! Ce sont les producteurs, les industrieux (aborigènes comme allogènes) qui sont à la tâche pour nourrir des groupes parasitaires, inclassables, inassimilables, de plus en plus importants en nombre et en masse monétaire mobilisée [voir infra]. Constituant au demeurant une clientèle électorale de choix et une arme de destruction massive des patrimoines honnis, qu’ils soient culturels ou phylogénétique (les leucodermes sont la race à abattre). On ne soulignera jamais assez la Haine que suscite chez certains la Nation, l’identité et la souveraineté nationale, l’Église catholique ou la chrétienté orthodoxe… N’oublions pas que tout a été dit en 1970 à l’aube de l’ère nouvelle (celle des grandes libérations post soixante-huitardes) par Edmond de Rothschild « Le verrou qu’il faut faire sauter, à présent, c’est la Nation ! D’où notre conception de la République… »4.

On aura compris que la République, dans son acception actuelle est bien antinomique (c’est-à-dire antagoniste) de la Nation organique. À ce titre rien n’arrête la course folle de la déconstruction nationale : dans la nuit du 27 au 28 octobre, la poignée de députés présent dans l’hémicycle, a approuvé un budget en hausse, pour la politique d’immigration en 2022, dans la perspective – qui ne choque ni n’inquiète personne – d’une forte croissance des flux migratoires. Les crédits de ce poste budgétaire augmenteront donc l’an prochain de 3% à 1,90 milliard d’euros pour 2022 (1,84 milliard en 2021), un budget dévolu mezzo voce au Grand remplacement (ce mythe, ce phantasme, cette chimère sauf dans les rames du métropolitain) en hausse constante depuis l’arrivée du sieur Macron à la tête de l’État : + 22% en 2018, + 12% en 2019, + 8% en 2020, + 2% en 2021. En réalité, il faut encore ajouter aux politiques d’accueil le service après-vente pour un coût de quarante à quatre-vingt milliards comme l’avancent d’aucuns : santé, éducation, urbanisme, sécurité, justice… liste non exhaustive. La remigration – n’en déplaise aux gouvernements faillis, algérien et consorts – allégerait d’autant l’écrasant fardeau fiscal et par exemple, réduire le prix des carburants à la pompe sachant que les taxes représentent soixante pour cent de leur prix avec cette prodigieuse astuce de faire payer des taxes sur les taxes (la Tva s’appliquant sur le montant total, taxes comprises) !

S’arracher à l’agonie civilisationnelle

Bref, bien qu’aspirés par les enfers de l’agonie civilisationnelle, tentons néanmoins – dans le mince espoir d’une salvatrice manifestation de l’instinct de conservation - de garder présent à l’esprit que la « Liberté c’est l’Esclavage  » (selon Orwell)et que le « Pass  » c’est La Liberté ! Cela nous sera d’un grand réconfort pour regarder en face la mise en servitude moderne, singulièrement subtile et vicieuse mais relativement indolore5. Laquelle progresse inexorablement sous couvert de démocratie et d’égalité des Droits. Égalité de principe qui toutefois confère – dans les faits - de moins en moins de droits à l’indigène (le Céfran) et de plus en plus à l’Autre, le sel de la terre, le migrant, le marginal nomade, le déviant, le délinquant, le tueur… Lesquels trouvent encore à redire lorsque par accident (par un hasard bien malheureux) ils se retrouvent en transit derrière les barreaux. Et ce serait du plus haut comique si ce n’était aussi tragique quand Salah Abdeslam, protagoniste de la boucherie du Bataclan (le13 nov. 2015), se plaint amèrement de ses conditions de détentions : « On est traités comme des chiens  » gueule-t-il à travers le prétoire… Ajoutons que les desouches de base, cochons de payants plein pot, ne sont guère mieux traités… Voir l’explosion des prix du fioul domestique utilisé par 3,5 millions de français et qui ont quasiment doublé en un an ! La coupe de la compassion est pleine. Gardons-là maintenant pour ceux qui la mérite Pourtant en tendant bien l’oreille – si l’on est résolument optimiste – il se pourrait que s’entendissent quelques craquements annonciateurs de la débâcle. À savoir la fin de l’économie politique de grosse cavalerie (pyramides de Ponzi diverses et variées), autrement dit le renvoi des usurpateurs aux poubelles de l’histoire d’où ils n’auraient jamais dû sortir. Depuis cinq décennies, ces faux monnayeurs nous ensevelissent sous des avalanches de contre-vérités, de gros mensonges, de statistiques falsifiées autant que de fausse monnaie (l’emprunt sur les marchés extérieurs et les actuelles quantitative easing de la Banque centrale européenne). Tout cela n’est pas durable indéfiniment. L’effondrement n’est sans doute plus très loin et les incantations relatives à la mondialisation heureuse, au bonheur dans le pré de la diversité ethno-confessionnelle et du transgenrisme n’y feront rien… Les faits sont têtus et vous aurez beau secouer la bouteille, au bout d’un moment l’huile reviendra à la surface et l’eau restera en-dessous.

Aucune dogmatique sectaire, aucune négation de la réalité

Aucune dogmatique sectaire, aucune négation de la réalité ne parviendront à inverser le cours des choses ailleurs que dans des discours crépusculaires, de ceux qui enfantent des monstres. Pétitions de principe d’où tout bon sens, toute évidence tangible, auront été chassés. Demeure une crainte lancinante : ne voir arriver la catastrophe que quand elle sera sur nous, au moment où nous serons balayés, engloutis par l’avalanche. Craignons ainsi que les prédictions de Houari Boumédiène à la Tribune des Nations Unies (10 avril 1974) ne s’accomplissent bientôt en totalité alors que le processus est déjà bien engagé, presque irréversible : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la Victoire ». Et assurément ils sauront nous remplacer puisque nous leur avons libéralement transmis toutes les armes juridiques et institutionnelles soigneusement forgés par la Démocratie participative, instrument de gouvernance et de contrôle social qui leur assureront une étroite sujétion des masses. L’islam dans une version révisée servira en outre de prétexte théologique pour serrer la vis et contenir toute discussion non conforme au modèle islamo-maoïste. On comprend que les Charlie serrent les fesses et que leurs pourvoyeurs de fonds – sans doute les même que ceux de M.Z – cherchent à s’échapper de la nasse dans laquelle ils se voient bientôt pris.

Parce que, ne jouons pas sur les mots, la guerre civile de basse intensité est là et bien là avec l’archipellisation6 du territoire national et des partitions de fait. Nous avons de toute évidence des groupes plus ou moins armés ayant entrepris d’opérer des sécessions territoriales. Des gens de sac et de corde qui ont déclaré une sourde guerre à la France (et pas seulement à la République de MM. Macron et Darmanin). Ce matin, le 8 novembre, dernière en date de ces manifestations d’incivilités devenues ordinaires – mais qui n’existent évidemment que dans notre imagination : c’est un ressenti à l’instar de la température de l’air, en fonction de nos humeurs et de notre condition physique – à Cannes, à 6 h30 du matin, agression à l’arme blanche contre des policiers… la piste terroriste est « envisagée » ! Armé d’une lame, un individu frappe un policier devant l’hôtel central de police. Neutralisé le tueur maladroit se trouve maintenant entre la vie et la mort. Aussitôt le ministre de l’Intérieur, des cultes et de l’insécurité galopante, Gérald Darmanin se fend d’un twitt lapidaire « Je me rends sur place immédiatement ce matin et j’apporte tout mon soutien à la police nationale et à la ville de Cannes ». Tremblez bandits, le bras armé de l’État va s’abattre sur vous. Quelle galéjade !

Lorsque les petites frappes disent à Darmanin et à l’État via les complaisants micros des médias « on s’en balek, de tes conneries » [on s’en bat les c… Balek signifie également en arabe, attention, danger, dégage], ce ne sont pas de simples malotrus ayant l’insolence pour seconde nature. Lorsque les narcotrafiquants tirent sur des unités de police ce n’est pas, comme le disent la bouche en fleur les gens de presse, afin de « protéger leur trafic ». Dans les deux cas, ce ne sont pas de banales erreurs, bêtises ou de regrettables « contraventions » - remarquez que ce dernier mot, presque anodin, s’est substitué à ceux de crimes et délits, termes plus brutaux et réalistes : changez les mots et vous changerez le monde - non, il s’agit d’une prise de pouvoir avec le consentement tacite (n’hésitons pas à parler de complicité sémantique et par la suite, judiciaire) des autorités chargées de l’ordre public. Pour ce qui est de l’unité (et de l’homogénéité) culturelle, de la stabilité sociale et de la paix civile, tous ces gens n’en ont cure.

Beaucoup, à commencer par les moins intelligents, couvrent les faits divers, les accidents de circulation migratoire, sous le voile pudique de l’inépuisable indulgence idéologique (il faut en passer par là pour atteindre un monde meilleur, pour que le droit à la différence et les droits de tous et de chacun soient respectés, pour que les Valeurs l’emportent sur le ventre toujours fécond de la bête immonde). Au cours du mois d’octobre 2021, à Lyon, dans le quartier de la Duchère, des vendeurs de drogue dures et moins dures (de celles que nos bons apôtres veulent libéraliser : pour vider les prisons supprimons le crime) prennent pour cibles des policiers de la Brigade anti criminalité (BAC). Injures, menaces, rodéos, les Lyonnais assistent consternés, apeurés et impuissants à la prise de possession de l’espace sonore, géographique, historique, linguistique, religieux, civil, politique et sécuritaire de leur ville. Dès que le nouveau maire, l’écologiste Grégory Doucet, s’est installé, la pègre a immédiatement compris que tout lui serait permis. La France entière sera tout bientôt lotie à la même enseigne que Lyon ou que Bordeaux, Nantes, Grenoble, Marseille, le 9-3, Nice ou Roubaix, le cancer est largement métastasé pour ne pas dire généralisé… Avec la bénédiction des chantres de la mixité et les imbéciles dogmatiques partisans à tous crins de « l’accueil ».

“D’une force culturelle et confessionnelle vivace, conquérante et minoritaire, nous avons fait, par avachissement mental, par apathie et paresse, un corps étranger à la nation avant d’en faire un ennemi qui à l’occasion se montrera impitoyable. Ce n’est pas l’islam ni l’islamisme proprement dit qui nous tuera, c’est la lâcheté, la veulerie morale et intellectuelle qui se fardent de pacifisme bêlant7. Quand comprendrons-nous que nous en sommes au point où les mesures utiles, vitales même, nécessaires à juguler la guerre intestine qui point à l’horizon, ne peuvent plus entrer plus dans le cadre du système démocratique actuel”. Et ce n’est pas M. Z grimé en nabotléon au petit pied qui nous sortira de ce merdier cauchemardesque. Il n’y a pas d’autre vocable pour désigner la situation critique dans lequel nous sommes plongés, celle d’un pays dont le pronostic vital est désormais largement engagé.

8 novembre 2021

Notes :

1 Né en 1949 en France, Alain Fischer est nommé le 3 décembre 2020 par le Premier ministre Jean Castex au poste de Président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale. “Alain Fischer’s dad had wanted to become a doctor but had been prevented from doing so by the numerus clausus established against the Jews of Hungary. Alain Fischer says his dad was one of the reasons he has made a medical career choice” en.wikipedia.org/wiki/Alain_Fischer.

2 La notion de « cristallisation » inventée par Stendhal, apparaît dans De l’amour (1822). Elle décrit le phénomène de catalyse émotionnelle qui produit sur l’objet idéalisé d’une convoitise amoureuse. Ici un homme un peu trop bruyamment providentiel.

3 Quand l’idéologie verte sert de prétexte à la destruction économique, aux restrictions des libertés et à la collectivisation rampante… Le 14 oct. dernier Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, qualifiait les maisons individuelles de « non-sens écologique, économique et social… Le modèle du pavillon avec jardin n’est plus soutenable [stupide anglicisme] car il relève « d’un fonctionnement urbain dépendant de plus en plus de la voiture individuelle ». Il y a deux ans, en août 99, Julien Denormandie, ministre du Logement – preuve s’il en était que Mme Wargon ne parlait pas en l’air - admettait déjà que l’État freinait la construction de maisons individuelles et pour y parvenir le gouvernement avait selon les zones diminué ou supprimé le prêt à taux zéro. Le marché a aussitôt réagi et la mise en chantier des logements individuels a baissé de 10 % ! Le Forum économique mondial, par la voix de son président Claude Schwab, n’annonce-t-il pas, d’ici la fin de la décennie, la disparition de la propriété privée ?

4 Georges Pompidou président, dans un entretien accordé à la revue “Entreprise” (aïeule d’Expansion) page 62 à 65 du n°775 en date du 18 juillet 1970, Edmond de Rothschild donnait sa vision prospective de l’avenir international, ceci peu avant qu’il ne crée la section européenne de la “Commission Trilatérale” née aux États-Unis sous la houlette de David Rockefeller et Zbignew Brzezinsky. Aujourd’hui Davos – le Forum économique mondial – a pris le relais, notamment en se faisant le promoteur d’une restructuration économique globale assortie d’une nouvelle division internationale du travail au sein d’un monde fluide affranchi des frontières et des intérêts nationaux.

5 Certains vertébrés supérieurs vivent aux dépends d’espèces garde-manger : le pinson-vampire hématophage des Îles Galapagos boit le sang de grands oiseaux marins (fou à pieds rouges) après avoir arraché des plumes sur l’arrière-train de leurs victimes. Pire, le surdoué Nestor superbe (Kéa) de Nouvelle-Zélande, écorche le bas du dos des moutons mérinos et, après en avoir arraché la laine, dévore la graisse qui entoure les rognons. La comparaison s’impose avec les sans-dent locaux, les gens de peu, brebis tondues et dépecées vives par la République cannibale [youtube.com/watch ?v=Sc2VHRIprDE].

6 Cf. J. Fourquet, directeur du Département opinion à l’Ifop : « L’archipellisation est à l’œuvre » [Le Point 28 fév.2019]. « En revenant sur des événements phares, comme les référendums de Maastricht et de 2005, les émeutes des banlieues la même année et les attentats de 2015… je constate que la société est de plus en plus fragmentée… par de grands clivages. Nous vivons un moment de basculement, un véritable changement de nature » in « L’Archipel français » 2019

7 Lire et relire Pierre Boulle, visionnaire auteur populaire, qui dit tout à ce propos in « La planète des singes » 1963.

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