Dans cet entretien, l’écrivain journaliste Lionel Astruc qui a mené une enquête révèle comment la Fondation Bill & Mélinda Gates a utilisé son influence auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour faire interdire l’Artémisia comme remède efficace contre le paludisme et faire valider un vaccin produit par une firme qui bénéficie des financements de la même Fondation.
Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine
Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston ( Lancetgate).
Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.
Le professeur Perronne dit :
« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour »
4 fois plus ! Ce que prennent les candidats au suicide .
Ajoutons le nombre spectaculaire de cardiaques (25%) qui auraient dû être exclus de l’étude…
Des malades âgés et très malades , placés sous oxygène (76% des patients qui nécessitent un apport en l’oxygène, avec 27% de diabétiques, 27% de malades avec des problèmes cardiaques et 22% avec des affections pulmonaires.)
La seule surprise de ce suicide organisé : les Anglais ont la peau dure ! Seulement 25% de morts parmi les hospitalisés (18% en France ) .