Ce que nous pouvons observer sur cette une n’est pas une référence à l’opération psychologique Q qui a permis à Trump d’être élu, c’est une référence au marché spéculatif avec le chiffre 6666.
Le chiffre 6666 est une référence à Wall Street et au seuil critique qu’il ne faut pas dépasser sous peine de répercutions économiques.
Nous attendions tous en 2019, une crise spéculative majeure et potentiellement plus importante que celle de 2008. En retour nous avons eu la crise Covid et la mise à l’arrêt de l’économie avec le confinement et toutes les restrictions de liberté qui s’en sont suivies.
Les vagues de confinement devaient durer entre quatre et cinq ans pour endiguer une pandémie artificielle entretenue par les médias et les services secrets occidentaux.
L’Opération War Speed était un partenariat public-privé du gouvernement fédéral des États-Unis pour faciliter et accélérer le développement, la fabrication et la distribution de vaccins thérapeutiques contre la Covid-19. Parmi les invités mystère de cette opération il y avait deux acteurs majeurs des crises que nous avons subi à savoir, l’ex directeur de la CIA john brennan et le général David petraeus.
L’indice boursier américain S&P500 a dépassé les 6666 points en septembre 2025, poussant le magazine les Echos à titrer que Wall Street « dansait avec le diable ». Ces 6666 points, représentent un seuil critique auprès des investisseurs.
Le chiffre 666 est le nombre de la bête dans l’Apocalypse de Saint-Jean, il incarne l’Antéchrist et la fin du monde. Ces 6666 points sont la somme de dix fois 666 et annoncent un nouveau krach boursier. Pour rappel, la crise financière de 2008 avait fait tomber l’indice à 666 points. Autant de coincidences ne peuvent être le fruit du hasard mais une intervention extrèmement nuisible et en concordance avec le pouvoir profond.
Il y a un an de cela, Bank of America a relèvé son objectif pour le S&P 500 à 6666 pour 2025.
Bank of America a relevé son objectif de fin d’année pour le S&P 500 à 6666 d’ici 2025, signalant ainsi de fortes attentes de croissance malgré divers obstacles économiques. Cette prévision reflètait l’optimisme de la banque concernant les dépenses de consommation, les bénéfices des entreprises et les perspectives économiques résilientes.
Bank of America projetait des bénéfices solides : la prévision révisée de Bank of America reposait sur une croissance régulière prévue des bénéfices des entreprises. De nombreuses entreprises s’adapteraient à la conjoncture économique et devraient afficher des résultats solides. Malgré les inquiétudes liées à l’inflation et aux incertitudes mondiales, l’environnement économique global reste stable, ce qui renforce encore les perspectives pour les actions et permettre des fondements économiques solides en surveillant les secteurs clés.
Selon les projections de Bank of America, des secteurs tels que la technologie, les biens de consommation discrétionnaire et la finance devraient contribuer de manière significative à la croissance du marché. Les investisseurs devraient se concentrer sur les entreprises de ces secteurs, en particulier celles qui présentent un fort potentiel de bénéfices et la capacité de tirer parti d’une demande soutenue des consommateurs.
Cet optimisme suit la tendance de la militarisation des investissements et la création de la bulle spéculative de l’intelligence artificielle.
De nombreux experts financiers avaient déjà observé la tendance qui se profilerait pour la fin de l’année 2025. Ils ont noté que le S&P 500 se trouverait à un « tournant critique », qui pouvait laisser présager une « bulle » boursière. L’essor actuel de l’intelligence artificielle est comparable à la bulle Internet, propulsant potentiellement le S&P 500 jusqu’à 6 666 points.
Les actions liées à l’IA ont contribué au trois quarts des rendements du S&P 500 depuis le lancement de ChatGPT par OpenAI en novembre 2022. Les « les sept magnifiques », Nvidia, Microsoft, Apple, Alphabet, Amazon, Meta Platforms et Tesla — représentent désormais collectivement une capitalisation boursière supérieure à celle de l’économie chinoise.
Nvidia représente une valorisation supérieure au PIB du Japon qui est supposée être la troisième économie mondiale. Ne parlons pas des fonds de gestion d’actifs « les trois grands » BlackRock, Vanguard, State Street, qui sont supérieurs au PIB américain.
Andrew Garthwaite, stratège en chef des actions mondiales chez UBS, affirme que le boom de l’IA coche toutes les cases d’une bulle classique.
De nombreux experts vont venir parader sur les plateaux de télévision pour nous rassurer comme pour la crise de 2008, sans nous expliquer pourquoi les mondialistes ont choisi de se diriger vers une crise majeure pour éjecter ce monde de 2025 représenté par la une du magazine The Economist.
Geopolintel 19 novembre 2025













