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L’économie de guerre de Macron cache le socialisme de marché

mercredi 15 juin 2022

« On est en guerre » ainsi martelait Macron quand il a pris la décision de nous confiner pour lutter contre un virus venant de Chine.
Le contrôle social à la chinoise a débuté en 1992 avec l’expression du Marché Commun et la répression des automobilistes avec le permis à point.
L’Europe est maintenant en passe de devenir un marché économique socialiste.

La guerre à bon dos puisque la Russie a remporté la bataille en Ukraine, même si l’Europe et les Etats Unis ont envoyé des forces spéciales et des mercenaires accompagnés de matériel qui maintenant se négocie au marché noir.

La véritable guerre est le passage forcé à une économie planifiée puisque nous sommes ruinés par l’économie de la planche à billet.
Toutes les décisions prises par Macron semblent absurdes et sans fondement de sécurité et de volonté de paix.

La transformation de notre politique de vie est passée par plusieurs chocs :
1 un confinement pour détruire notre économie et notre moral
2 une politique sanitaire dictatoriale par laquelle on obligeait les gens à se vacciner pour manger au restaurant
3 une exclusion sociale pour refuser d’avoir un passeport vaccinal
4 une pénurie

Maintenant avec le recul, on peut repenser à Benoît Hamon et son revenu universel qui a été débattu au forum économique de Davos et qu’il a présenté dans son programme présidentiel de 2017.

Demain sera socialiste.

Macron en 2017 avait fait référence à Mao Zedong, parlant de « Révolution culturelle » et en affirmant qu’il était maoïste : « Un bon programme économique est un programme qui marche ».

Quand McKinsey participait à la rédaction du projet de « loi Macron 2 »

Soutenir la numérisation des secteurs traditionnels de l’économie, comme l’artisanat et le commerce, faire émerger une économie de l’innovation en finançant les investissements des start-up qui leur permettront d’acquérir une taille internationale, faciliter l’entrepreneuriat, adapter les niveaux de qualification : telles étaient quelques-unes des priorités du projet de loi Nouvelles Opportunités économiques, dite « loi Macron 2 » (après celle votée le 6 août 2015 sur la croissance et l’activité) présentée par Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, le 10 novembre 2015. Les propositions de la loi seront finalement portées dans d’autres textes de loi et la « loi Macron 2 » enterrée.

Pour valider la loi Macron 2, McKinsey a créé le parti En Marche et facilité l’élection d’Emmanuel Macron pour prendre place dans notre gouvernement.

En 1926, James « Mac » McKinsey crée à Chicago une compagnie d’experts-comptables qui a pour objectif de réaliser les audits d’autres sociétés. En 1932, la Bourse de New-York oblige les entreprises d’État à fournir des audits indépendants à l’agence fédérale chargée de surveiller le système financier. La rencontre de Marvin Bower, futur dirigeant de McKinsey & Company, et de James McKinsey change rapidement le destin de l’entreprise : la firme ne se spécialise non plus uniquement dans l’analyse des comptes financiers d’autres établissements, mais dans la définition et la mise en œuvre de stratégies de croissance et de réductions de coûts de fonctionnement. (LSA)

Klaus Schwab, le fondateur du World Economic Forum :
« il reste trois grandes puissance dans le monde actuel : les Etats-Unis, la Chine et... Alphabet (Google) » !
Capitalisme pour les élites.
Socialisme pour le peuple.
Numérisation et intelligence artificielle pour le contrôle des masses.

La « planification impérative de l’économie » est dirigée, généralement à l’échelle d’un État, au moyen d’un plan fixant les objectifs de production sur une période annuelle ou pluriannuelle. Autrement dit, elle désigne un mode d’organisation fondé sur la propriété collective ou étatique des entreprises qui se voient imposer des objectifs de production par un plan centralisé. Elle peut être démocratique ou non, selon les différents pays qui l’ont appliquée. Sa version bureaucratique et étatique caractérise les régimes communistes — dits du « socialisme réel » — jusqu’au début des années 1990. Wikipédia

Comme son nom l’indique, une économie planifiée est une organisation de la production dans laquelle l’État régule les variables économiques ainsi que les prix et « planifie » le volume de production. Elle s’oppose à l’économie de marché aujourd’hui dominante dans le monde.

Cependant, la France n’est pas une économie planifiée, car une grande partie de la production y est réalisée par des entreprises privées en concurrence les unes avec les autres. Les décisions y sont prises en fonction de la recherche du profit, et non pas en suivant les consignes d’une quelconque autorité publique.

Une économie planifiée est une économie dans laquelle toute la production est gérée comme l’est le transport ferroviaire en France. C’est l’État qui dirait, par exemple à un fabricant de pantalons : vous produirez tel modèle, de telle taille, tant d’unités que vous vendrez tel prix, vos salariés percevront une rémunération définie légalement… Sachant que tous les secteurs seraient gérés de la même façon, sans possibilité pour les consommateurs d’exprimer leurs besoins.
La Finance pour Tous

Le socialisme de marché

Socialisme de marché - Qu’est-ce que c’est, définition et concept

Le socialisme de marché fait référence à une économie planifiée centralement qui utilise le mécanisme du marché libre pour l’allocation des ressources dans certains secteurs économiques ou sous certaines conditions.

Dans le socialisme de marché, l’État se réserve le contrôle des secteurs qu’il considère d’importance stratégique (tels que les télécommunications, l’énergie, etc.), mais permet la libre interaction de l’offre et de la demande dans d’autres activités économiques.

Une alternative supplémentaire consiste pour l’État à laisser réguler un marché par les forces de l’offre et de la demande une fois certains quotas de production sous son contrôle atteints.

Par exemple, l’État peut autoriser les agriculteurs à vendre leur production de pommes sur le marché après s’être conformés à la livraison à l’État, ou vendre à un prix contrôlé, une certaine quantité (par exemple, 500 kilos par mois).
Économie planifiée

Caractéristiques du socialisme de marché

Les caractéristiques fondamentales du socialisme de marché sont :

L’État contrôle les secteurs économiques stratégiques : énergie, transports, télécommunications, banque, etc. Dans certains cas, un certain groupe d’entreprises peut être autorisé à concourir dans ces secteurs, mais dans le cadre de réglementations imposées par l’État (contrôle des prix, limites de certains comportements, etc.)
Des incitations fiscales et la liberté d’embaucher des travailleurs sont souvent offertes pour encourager l’entrepreneuriat et l’investissement.
Les producteurs de certains secteurs doivent respecter des quotas de production (qu’ils remettent au gouvernement) et peuvent ensuite vendre leurs excédents sur le marché.
Il cherche à attirer les investissements étrangers.
L’investissement mixte est encouragé, c’est-à-dire la combinaison de capitaux nationaux et étrangers.

Origine du concept

Les origines du concept de socialisme de marché se trouvent dans l’ouvrage d’Oscar Lange « La théorie économique du socialisme » publié en 1937, où un système est proposé où les moyens de production sont sous contrôle étatique tandis que le travail et les ressources sont sous contrôle étatique. les biens ou services de consommation sont attribués par le biais du mécanisme du marché.

Cependant, il convient de mentionner qu’avant les travaux de Lange, d’autres auteurs avaient déjà évoqué l’idée d’intégrer des éléments de l’économie de marché dans le socialisme. Parmi ces auteurs figurent : John Stuart Mill, Pierre-Joseph Proudhon ou Eduard Bernstein.

Exemples de socialisme de marché

Voici quelques exemples d’économies qui ont appliqué le socialisme de marché dans une certaine mesure :

Dans l’Union soviétique des années 1920 avec la soi-disant « nouvelle politique économique ».
En Yougoslavie dans les années 50 avec le soi-disant socialisme autogéré.
En République populaire de Chine après les réformes de Deng Xiaoping dans les années 70.

Source

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