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John Podesta cité à comparaître devant la commission judiciaire du Sénat

mercredi 7 octobre 2020

WASHINGTON - Le président de la commission judiciaire du Sénat, Lindsey Graham (R-Colombie du Sud), a été autorisé à délivrer des citations à comparaître liées à la surveillance du processus de la FISA et à l’enquête sur Crossfire Hurricane.

Le Comité a voté 12 contre 10 pour approuver l’autorisation.

Graham peut désormais délivrer des assignations à comparaître pour un certain nombre de documents, de communications et de témoignages, notamment ceux de James Comey, Andrew McCabe, James Clapper, John Brennan et Sally Yates.

« Je veux savoir pourquoi toutes ces enquêtes de contre-espionnage ont été ouvertes au départ. Je pense que nous devons examiner longuement comment ces enquêtes ont dérapé », a déclaré M. Graham.

« Ce comité ne va pas rester sur la touche et simplement passer à autre chose. Je peux vous assurer que nous ne serons pas dissuadés. »Si nous devons le faire par nous-mêmes, nous le ferons. Le peuple américain mérite des réponses à ces questions et nous avons l’intention de les obtenir".

Témoins, documents et matériels couverts par l’autorisation de citation de Graham :

L’autorisation d’assignation à comparaître donne au président la possibilité de délivrer une assignation à comparaître pour des témoins, des documents ou d’autres matériels.
Les documents et les communications mentionnés dans le rapport intitulé « Review of Four FISA Applications and Other Aspects of the FBI’s Crossfire Hurricane Investigation » (Examen de quatre demandes de la FISA et d’autres aspects de l’enquête du FBI sur Crossfire Hurricane ), publié par l’inspecteur général du ministère américain de la justice, ainsi que le témoignage lors d’une audience ou d’une déposition de toute personne nommée ou identifiée par un pseudonyme dans ce rapport.

Les documents et communications relatifs à l’enquête sur Crossfire Hurricane (y compris les enquêtes ouvertes sous l’égide de Crossfire Hurricane) ou à la réception ou l’analyse des rapports préparés par Christopher Steele (communément appelé « dossier Steele »), et le témoignage lors d’une audience ou d’une déposition de tout fonctionnaire ou employé actuel ou ancien du pouvoir exécutif impliqué dans ces enquêtes.

Documents, communications et témoignages lors d’une audience ou d’une déposition en rapport avec toute question susmentionnée de :
Trisha Anderson, Brian Auten, James Baker, William Barr, Dana Boente, Jennifer Boone, John Brennan, James Clapper, Kevin Clinesmith, James Comey, Patrick Conlon, Michael Dempsey, Stuart Evans, Tashina Gauhar, Carl Ghattas, Curtis Heide, Kathleen Kavalec, David Laufman, Stephen Laycock, Jacob Lew, Loretta Lynch, Andrew McCabe, Mary McCord, Denis McDonough, Arthur McGlynn, Jonathan Moffa, Sally Moyer, Mike Neufield, Sean Newell, Victoria Nuland, Bruce Ohr, Nellie Ohr, Stephanie L. O’Sullivan, Lisa Page, Joseph Pientka, John Podesta, Samantha Power, E.W. « Bill » Priestap, Sarah Raskin, Steve Ricchetti, Susan Rice, Rod Rosenstein, Gabriel Sanz-Rexach, Nathan Sheets, Elizabeth Sherwood-Randall, Glenn Simpson, Steve Somma, Peter Strzok, Michael Sussman, Adam Szubin, Jonathan Winer, Christopher Wray et Sally Yates.

Commission Judiciaire du Senat

John Podesta et George Soros ont manipulé la tentative de destitution de Trump

lundi 27 avril 2020

John Podesta et George Soros se sont associés dans le but de destituer le Président Donald Trump par l’intermédiaire de l’espion Christopher David Steele ancien officier de renseignement britannique du MI6, responsable du département Russie.
Il s’est associé avec l’enquêteur Daniel Jones et le Groupe Fusion GPS pour mener à bien ce machiavélique projet.
Soros et Podesta sont les deux financiers architectes de l’enquête de Daniel Jones, qui devrait évincer Trump de la présidence des Etats Unis en l’accusant de collusion avec la Russie et de désinformation pendant la campagne de 2016.

Daniel Jones est connu pour ses investigations qui ont révélé l’affaire de la torture de la CIA au lendemain des attentats du 11 Septembre. Il a spécialement créé deux entreprises The Democracy Integrity Project, Advance Democracy, pour démontrer l’ingérence russe dans l’élection présidentielle américaine de 2016.
Mais ses bailleurs de fonds restaient à ce jour inconnus.

Le journal The Fédéralist a signalé pour la première fois en février que Daniel Jones travaillait en collaboration avec Fusion GPS, un groupement de riches donateurs de la Silicon Valley et de New York qui ont dépensé 50 millions de dollars pour financer son enquête sur la collusion Trump-Russie aidée de l’espion spécialiste de la Russie Christopher Steele.

Chuck Ross du journal Daily Caller donne plus d’information sur ce sujet :

« Jones a déclaré au FBI en mars 2017 qu’il avait obtenu un financement de 50 millions de dollars d’un groupe de riches donateurs et avait obtenu les services de Christopher Steele ... et de Fusion GPS pour continuer à exposer l’ingérence russe dans l’élection présidentielle américaine de 2016 ».
Jones a également déclaré au FBI qu’il « avait l’intention de partager les informations qu’il avait obtenu avec les décideurs politiques ... et avec la presse ».

L’implication de John Podesta est apparue grâce à Peter Fritsch, co-fondateur de Simpson et de Fusion GPS, qui a écrit un livre, « Crime in Progress ». Il affirme que l’ancien président de la campagne de Clinton, John Podesta, a été « très utile » pour organiser des réunions de collecte de fonds pour l’enquête de Jones.
« Podesta a accepté de contacter quelques amis de l’Ouest au nom de Jones et lui a dit de ne pas divulguer son nom lors de discussions avec d’autres donateurs » Simpson Fritsch.

Chuck Ross poursuit :

« Jones n’a pas révélé les financiers de The Democracy Integrity Project et d’Advance Democracy, Inc » (les deux sociétés fondées par Jones).
Mais le Daily Caller News Foundation a confirmé que l’Open Society Foundation du milliardaire George Soros, a financé TDIP à hauteur de 1,5 million de dollars en 2017 et 2018. Un groupe financier opaque appelé le « Fond pour un avenir meilleur » a contribué à hauteur de 2 065 000 dollars à la TDIP en 2017. La Silicon Valley Community Foundation a donné 500 000 dollars à l’ADI en 2018, d’après les dossiers fiscaux.

Advance Democracy Inc. (ADI) et The Democracy Integrity Project (TDIP) en tant qu’organisations à but non lucratif ont versé à New Knowledge, une société de cybersécurité, qui a contribué à un rapport de la commission sénatoriale du renseignement sur la désinformation russe, près de 500 000 dollars en 2018.

Chuck Ross :

« La même année, ADI et TDIP ont versé 747 608 dollars à Walsingham Partners, une société contrôlée par Christopher Steele , et 2 010 317 dollars à Bean, LLC, une société écran qui contrôle Fusion GPS [l’autre entité impliquée dans le dossier Steele utilisé pour obtenir un mandat de la FISA pour espionner le candidat et le président Trump par l’intermédiaire de Carter Page]. »

Il est à noter que ADI et TDIP, les sociétés créées par Jones pour traquer le président Trump, ont vu le jour le 31 janvier 2017, un jour après que l’avocat de Jones Eric Ciaramella ait tweeté : « #Le coup d’État a commencé ».

Geopolintel Avril 2020

Sources :
New York Times

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