La majorité des décès dus au Covid surviennent pour la première fois chez des Américains vaccinés - maintenant que 230 millions d’entre eux ont reçu au moins deux vaccins.
- 58 % des décès dus au Covid concernent des personnes qui ont été vaccinées ou Plus le nombre de personnes vaccinées augmente, plus la proportion de décès augmente.
Les personnes à haut risque, comme les personnes âgées, sont également plus susceptibles de se faire vacciner.
Mais même si les chiffres montrent que les vaccinés meurent plus que les non vaccinés, n’oublions pas que Pfizer a admis que le vaccin n’empêche pas la contamination ni la maladie.
Ces statistiques nuisibles à la vaccination ont rameuté la hordes des journalistes et des politiques corrompus par les laboratoires pharmaceutiques, ils continuent à stigmatiser les non vaccinés comme si c’était le seul argument pour continuer à acheter des doses à Pfizer.
N"oublions pas que le cabinet McKinsey gère la vaccination en France sous les ordres de la CIA.
McKinsey est responsable de 500 000 morts aux Etats Unis avec le scandale des opioïdes, les morts pèsent moins dans la balance que l’argent des laboratoires.
Mortalité : 36 230 décès de plus en 2022 qu’en 2019
Mortalité chez les jeunes vaccinés
Mais ce qui irrite en tout point nos dirigeants assoiffés d’argent c’est Le grand gâchis des vaccins périmés et la gestion de crise par McKinsey. Il faut alimenter à tout prix les comptes offshore.
La péremption des vaccins leur a fait perdre 240 millions de doses dans le monde, 78 % des vaccins Pfizer et à 18 % des vaccins AstraZeneca.
Alors ils ont pris certaines initiatives, potentiellement mortelles avec des vaccins périmés.
Métropole de Lyon : plus de 1 000 vaccins anti-covid périmés injectés après une erreur
par Hadrien Jame
Au mois de février dernier, 1 350 doses de vaccins contre le Covid-19 ont été administrées aux patients d’un centre de Vaulx-en-Velin, alors qu’elles étaient périmées depuis quelques jours.
En pleine campagne d’administration de la 3e dose de vaccin, au mois de février dernier, un centre de vaccination de Vaulx-en-Velin a été confronté une situation pour le moins inhabituelle, de par son ampleur. Selon des informations du Progrès, confirmée par l’ARS, 1 350 personnes ont été inoculées avec une dose de Moderna ou de Pfizer périmées.
Une nouvelle dose injectée
À nos confrères, l’agence régionale de santé précise que la date de péremption des vaccins était dépassée depuis « quelques jours ». Une erreur d’étiquetage serait à l’origine de cet incident, « les dates de décongélation n’ayant pas été reportées sur chacun des flacons par les professionnels du centre ».
Ces injections n’auraient pas entraîné d’effets indésirables chez les personnes vaccinées, « une dose dont la date est dépassée ne peut pas devenir toxique », explique ainsi l’ARS au quotidien régional. Par mesure de précaution, les patients concernés ont néanmoins reçu une nouvelle dose de vaccin afin d’être certains de l’efficacité de l’injection.
Anastasia Colosimo nommée conseillère en communication du Président de la République française.
Professeur de théologie politique à Sciences Po Paris
« Laisser mourir les non-vaccinés est un bon moyen de sélection naturelle »
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