Populiste, démago, xénophobe et baltringue, Trump le « diable » des opinions médiatiques a gagné une élection qui pourtant tendait les bras à Hillary Clinton.
Alors la faute à qui ?

• Les « Uper class » qui ne suspectaient pas que la majorité silencieuse puisse enfin se mobiliser et défendre ses droits.
• La presse française ainsi que son président Hollande, « démocrates » unanimes dans leur rejet du vote des américains.
• Les sociétés de sondages qui ont oublié que les « culs terreux » du plus profond des Etats-Unis avaient une existence.

Ce résultat d’une élection est celui qui a agité le plus les débats à la télévision avec les mines déconfites des spécialistes de la question américaine. Tous se sont « trumpés » dans leurs prédictions.
L’oligarchie mondialiste a péché par vanité se pensant déjà gagnante contre le « mal dégrossi » vulgaire qui promettait de redorer le blason d’une nation déclinante.

Comment ne pas parler des 90 millions d’Américains sans travail ?
Comment ne pas parler du financement de Daesh ?
Comment ne pas parler de la guerre programmée contre la Russie et la Chine ?
Non, personne, pas même Georges Bush, ni le parti des Républicains américains ne souhaitaient la victoire de Trump.
La campagne de délation orchestrée par l’oligarchie mondiale n’a pu s’opposer à la ténacité d’un « sefl made man ».

Il est temps de repenser nos politiques nationales et internationales, la guerre qui devait annuler la dette mondiale est remise jusqu’à nouvel ordre... mondial.
Nous ne pouvons bâtir un monde meilleur sans l’apaisement de toutes les tensions géopolitiques et l’équilibre multipolaire que semble désirer ce nouvel homme fort.
Puisse-t-il faire ce qu’il a annoncé !

Francis Ros