Geopolintel

Rumeurs transphobes : la justice annule une procédure intentée par Brigitte Macron

jeudi 9 mars 2023

Depuis son intronisation à l’Elysée, le couple Macron navigue entre rumeurs homosexuelle et transgenre.
L’image de la France se dégrade tout comme le protocole de la représentation du chef de l’Etat et de son épouse.
A force de fréquenter la papesse de la presse people, Mimi Marchand, qui a orchestré le dossier de presse pour l’élection de 2017, les Macron vont de déboires en déboires.
Cette rumeur de transgenre de la première dame a été évoquée sur le prestigieux journal américain The New York Post, sans que le service de presse de l’Elysée n’intervienne.

Macron est moqué par ses homologues étrangers, et c’est toute la diplomatie française qui en paye le prix.
Nous sommes même remis à notre place par le président du Congo, Félix Tshisekedi, sur la question de la démocratie en Afrique et l’attitude « paternaliste » de la France.
La France n’a plus de poids en Afrique depuis quelques années, notamment dans ses anciennes colonies.
L’influence de la Russie et de la Chine augmente au détriment de la France, alors il serait temps de retrouver un peu de dignité.

Paris (AFP) – Le tribunal judiciaire de Paris a annulé mercredi une procédure intentée par la Première dame Brigitte Macron, qui avait assigné en février 2022 deux femmes ayant propagé sur Internet de fausses nouvelles prétendant qu’elle était une femme transgenre.

Dans sa décision, consultée par l’AFP, le tribunal a déclaré nulle l’assignation délivrée par Brigitte Macron pour atteinte au respect de la vie privée et au droit à l’image, estimant que les faits qu’elle dénonçait auraient dû être qualifiés de diffamation publique.

Brigitte Macron, son frère, et les trois enfants de la Première dame avaient assigné le 15 février 2022 deux femmes, l’une se présentant comme une « médium », l’autre comme une « journaliste indépendante ».

Ils demandaient au tribunal de condamner ces deux femmes à leur verser des dommages et intérêts pour avoir diffusé sur la chaîne YouTube de la « médium », le 10 décembre 2021, « une thèse parfaitement farfelue » selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n’aurait jamais existé, mais que son frère aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.

Cette fausse information, qui avait d’abord circulé à bas bruit, avait ensuite connu un écho plus important et s’était également déclinée en accusations, plus graves, de pédocriminalité portées contre la Première dame.

Les demandeurs s’estimaient victimes d’atteinte au droit au respect de la vie privée, l’entretien de quatre heures diffusé sur internet évoquant des interventions chirurgicales qu’aurait subies Brigitte Macron, prétendant qu’elle ne serait pas la mère de ses trois enfants, et donnant des informations personnelles sur son frère.

L’assignation dénonçait également des atteintes au droit à l’image, diverses photographies des demandeurs, dont certaines « retouchées, agrandies, colorisées » ayant été diffusées lors de cet entretien.

Parallèlement à cette procédure au civil, Brigitte Macron a intenté une action distincte, au pénal, avec une plainte avec constitution de partie civile pour diffamation publique, déposée le 31 janvier 2022. Cette procédure est toujours en cours.

—  0 commentaires  —

© Geopolintel 2009-2023 - site réalisé avec SPIP - l'actualité Geopolintel avec RSS Suivre la vie du site