Geopolintel

Pour… ou contre Zemmour ! À quoi sert-il ?

Une surenchère dans l’imposture et le mensonge

mercredi 24 novembre 2021

Ça y est. Il fallait s’y attendre M. Zemmour baisse dans les sondages. Il repasse sous la barre mariniste. Et puis les gens de presse et autres politicologues de salon, d’officines et de bazar, déclarent l’attendre au tournant, à l’occasion de son grand meetinge à Paris, au Zénit le 5 décembre, la veille de la Saint Nicolas si familier aux gens du Grand Est. Ce Santa [Claus] que l’Amérique mercantile et les publicitaires de la firme Coca Cola nous a renvoyé en 1931 sous la forme d’un « Père Noël » bouffi ; de la même, façon la Fête des morts1 s’est mué avec Halloween en une sorte de Black Friday pour confiseurs et marchands de déguisements et grimages horrifiques…

Or si le candidat putatif à la présidence de la République n’attire pas le 5 décembre les six mille fans prévus et attendus, il pourrait alors ne pas rentrer dans ses frais ! Zut alors… Ce serait de mauvais augure pour la suite. C’est en tout cas ce qu’espèrent les fées malveillantes – médiatico-politico-antinationales - penchées sur le berceau de l’impétrant (un peu de Zemmour mais pas trop) considérant peut-être (ou apparemment) que les choses vont trop vite et trop loin. Après avoir soufflé le chaud et le froid les marâtres se trémoussent de joie à l’idée de nous mener une fois de plus en bateau, un coup à gauche, la barre à droite, et retour.

Le cas Zemmour, aboutissement d’un long processus

Au reste le cas Zemmour n’est que l’aboutissement d’un long processus. Son irrésistible ascension commence le 1er octobre 2014 avec la publication du Suicide français accompagnée d’une intense campagne promotionnelle. Le 21 octobre Le Point et Le Figaro signalent que le premier tirage de cent-vingt mille exemplaires du livre (534 pages - sous-titré “Les quarante années qui ont défait la France”), aurait été écoulé en une semaine. Au final l’opus aurait eu quelque 400.000 lecteurs. Mais des voix s’élèvent qui dénoncent un “livre plagiat, poussive compilations de travaux non cités” [JPThiollet2016]. Henri de Lesquen, fondateur du Club de l’Horloge parle à bon escient (et à juste titre) de « pillage des travaux » du groupe de réflexion qu’il préside. L’on voit à cette occasion que le succès d’Éric Zemmour se construit autour et à partir d’une fraude largement exploitée commercialement, ceci très avant d’en récolter les fruits politiques sept ans plus tard. Ce faisant Zemmour n’a fait que suivre la voie déjà tracée par de prestigieux coreligionnaires, ses devanciers dans le succès. Citons, dans le domaine musical, des icônes tel Serge Gainsbourg ou le richissime DJ, David Guetta (présenté comme compositeur de la même façon que George Soros est un philanthrope) … Mais peut-on effectivement parler de plagiat lorsqu’il s’agit d’arrangements de thèmes ou de mélodies tombés (ou non) dans le domaine public ?

On voit que M. Z est une fabrication. Un produit associant ambitions personnelles, convictions (probablement en majorité communautaristes !), et service du Système. Parce que le système ne serait pas Le système s’il n’admettait ou ne suscitait pas ses propres dissidences et des oppositions sur mesure. Cela fait donc un bail que se prépare le terrain pavant la voie royale d’un national-sionisme bon chic-bon genre. Notons que l’entrisme dans les milieux d’extrême droite (tels Ordre Nouveau ou l’Œuvre française…) ne date pas non plus d’hier. Le processus remonte sans doute au milieu des années soixante, précédé par l’incrustation dans le langage courant du concept de judéo-christianisme (voir les travaux de Claude Timmerman). Comme si notre culture avait jamais été judéo-chrétienne ? Grotesque ! Mais ce n’est ici, ni le temps ni le lieu d’en faire l’exposé critique. Zemmour participe d’une stratégie qui a été plutôt bien identifiée sur E&R le 12 novembre2. Grosso modo, le sionisme hexagonal ayant compris depuis longtemps que le nationalisme et l’anti-islamisme né de la guerre d’Algérie (une guerre hybride dite de libération, tout à la fois confessionnelle, intercommunautaire et marxiste-léniniste) et de l’amputation des départements d’outre-Méditerranée (ne parlons pas de la perte de gigantesques gisements pétroliers et gaziers d’entrée de jeu destinés à tomber dans l’escarcelle américaine), était la source d’un vif ressentiment, une plaie mal refermée, le sionisme a donc compris qu’il pouvait les exploiter à son grand profit.

Dans la foulée de la guerre des Six jours (mai 1967), ce n’étaient pas encore les nombreux grands témoins rescapés de shoah qui venaient catéchiser les élèves des écoles catholiques (et laïques), mais des agents recruteurs venus inviter nos adolescents à passer de belles vacances laborieuses (et peu onéreuses) dans les kibboutzim (séjours de bénévolat néanmoins payants). Beaucoup s’y sont laissé prendre. Au passage, il fut même offert à quelques-uns l’occasion de s’exercer au tir sur des Hilotes palestiniens (version orientale du fellagha) de retour des champs. Mais ne soyons pas mauvaise langue. Il fut surtout question de verser beaucoup de sueurs pour la grandeur d’Israël et souvent aussi, pour les filles, de succomber aux charmes des gentils organisateurs, Sabras3 de la première ou de la onzième heure.

Stratégie du national-sionisme

Zemmour à la suite des siens (les Likoudniki d’avant et d’après la lettre) a bien vu que l’opposition frontale au nationalisme franchouillard était non seulement contreproductif mais dans une certaine mesure stupide. Qu’au lieu de la combattre (ce que fait par exemple la Licra & Cie qui demandent l’interdiction de Rivarol4), ils pouvaient trouver dans cette mouvance une force et une dynamique politiques susceptibles d’être mises au service de leurs propres intérêts en vue de servir fructueusement la cause d’Israël. En un mot, utiliser une tendance détentrice d’un vrai potentiel – fût-elle encore vaguement et accessoirement anti-judaïque – plutôt que de se l’aliéner. Mieux vaut en effet un front commun anti-islamiste (la lutte contre l’immigration n’étant qu’un méchant cache-sexe) que deux concurrents se mettant des bâtons dans les roues… E&R, Zemmour « veut associer – selon toute apparence – ce même peuple de France aux intérêts de la communauté juive organisée, mais pour cela, il faut faire, pour les Français patriotes et pour le lobby, certaines concessions : le lobby doit lâcher un peu de lest sur la répression du patriotisme français, et les Français doivent s’en prendre aux ennemis du sionisme – les musulmans – présentés comme le problème numéro un du peuple français. Des musulmans qui « doivent » eux-mêmes démocratiser ou franciser leur religion... ce que les juifs n’ont pas fait  ». Oui da !

Certes la Communauté a eu l’astuce jusqu’à une date récente (n’ayant plus rien à craindre de nos jours, cette précaution est de plus en plus délaissée) de franciser les prénoms de leurs fils et de leurs filles5, ce que Zemmour demande de faire aux musulmans pour preuve de leur bonne volonté intégrative ! Ce peuple à la nuque raide, se flatte au demeurant de s’être parfaitement intégré sans être véritablement assimilé, trouvant-là l’une des raisons et la condition de sa pérennité contre vents et marées. M. Zemmour à l’entendre, serait ainsi incroyant tout en se montrant, dans sa vie personnelle, très respectueux des interdictions rituelles. Il mange kasher et utilise, suivant la prescription, des assiettes différentes, l’une pour la viande, l’autre pour les laitages. Dans le même ordre d’idées (mais l’information n’est plus à présent accessible), il aurait coutume de casser la vaisselle après usage en compagnie d’un non-juif. Une pratique commune avec les Kharidjites, les Séparés, une branche rigoriste de l’islam apparue au milieu du VIIe siècle. Moïse Zemmour prie également à la synagogue et n’a évidemment pas manqué de célébrer la confirmation de ses fils dans le judaïsme, la bar-mitsva. Marié à une judéenne d’Algérie (tout comme lui), il a effectué sa scolarité dans des écoles juives (Lucien de Hirsh et Yavneh), envoyé son fils en Israël et sa fille dans une école juive aux États-Unis… En dépit de ce traditionalisme de bon aloi et de son peu de goût affiché pour l’envahissement par la sous-culture anglo-saxonne, il confesse néanmoins connaître l’extase – « Quand je l’écoute, je suis au Nirvana » - avec une chanson des Rolling Stones, Sympathy For The Devil… Tout un programme !

L’anti-programme zemmourien

Les zemmourolâtres – rien de péjoratif dans ce terme - se bercent hélas d’illusions s’ils croient que leur idole engagera aussitôt aux commandes un vaste programme de remigration. Ce qui, en soi, ne constitue pas un plan de restauration nationale. Reconstruction de la Nation, de ses souverainetés, de son autonomie et de ses capacités industrielles et autres. Le chantier est immense : l’archipellisation et la fragmentation du peuple français ne se résoudront pas simplement en normalisant les populations musulmanes, maghrébines, asiatiques, sub-sahariennes… Pour ce faire, pour mettre en œuvre une planification cohérente d’intégration, voire d’assimilation (en l’état actuel fort utopique : trop d’éléments allogènes ne peuvent plus se fondre dans le creuset national, mais forment un dépôt insoluble, un précipité !) il faudrait commencer par s’en donner les moyens humains, budgétaires et juridiques. Et pour se faire, s’affranchir des Traités (européens et internationaux) qui en ce domaine ligotent littéralement le pays. D’ailleurs M. Z a-t-il sincèrement l’intention de curer les Écuries d’Augias (ou n’est-ce qu’un argument de campagne destiné à capter le chaland) ? On peut légitimement en douter à la lecture d’un long entretien accordé à Elisabeth Lévy pour la livraison de novembre du magazine Causeur dans lequel l’illustre chien du jeu de quilles présidentiel, nous confie quelques bribes de ses intentions réelles (histoire aussi de rassurer ses amis de longue date MM. Bernard-Henri Lévi et Jean-Luc Mélenchon avec lesquels il était, jusqu’à présent cul et chemise).

Citation : « Quand on est Français, on est Français, d’où qu’on vienne, et on n’a pas vocation à retourner de force vers je ne sais quel pays d’origine. Donc je le dis clairement pour ceux qui m’inventent des positions : je ne vais pas « dénaturaliser  » et « remigrer » des Français. Les Français qui n’ont que la nationalité française sont intouchables et il n’est ni souhaitable ni possible de les renvoyer ailleurs. Ce raisonnement vaut d’ailleurs pour tous les Français  ». Encore faudrait-il avoir une définition claire, non équivoque de ce qu’est « être français ».

Zemmour n’a pas l’air de faire le distinguo entre Français de convenance et de confort (Français de papier comme l’on dit si justement) et souchiens qui n’en peuvent mais. M. Z est un égalitariste ordinaire et ne fait pas la différence entre primo occupants et ces ouvriers de la treizième heure qui s’invitent au banquet national sans avoir au préalable versé leur écot (quote-part), entre autres, en sang, en peine et le cas échant, en sueur. Et puis notre brillant candidat ne parle pas de l’abolition du droit du sol (pourtant au programme de la diaphane Pécresse qui, prudente, demande seulement l’abandon de son automaticité !) et du rétablissement du droit du sang !

Concernant les binationaux (3,3 millions au bas mot), Zemmour préconise « les mesures de déchéance en cas de crime ou de plus de trois délits concernant les binationaux, qu’ils soient nés français ou qu’ils aient été naturalisés. S’agissant des chômeurs, binationaux, je ne fais aucune différence avec un autre Français non binational. Être chômeur n’est pas un crime ou un délit ». Tout cela est bien timide (et même particulièrement tiède) sachant que la Suisse, par exemple, renvoie chez eux les chômeurs de plus de six mois. Une mesure prophylaxique de bon sens, à ne surtout pas comparer, a fortiori, avec l’avortement dont l’allongement des délais recule sans cesse… jusqu’à l’infanticide assumé pour raisons ou convenances personnelles.

Le Pacte diabolique de Marrakech

Last but not least : « Il faut retrouver les critères et les contraintes de l’assimilation d’avant. Ceux qui choisiront l’assimilation à la française seront les bienvenus et nos compatriotes. Finalement je tends la main aux musulmans ». Sur ce point, quelle différence entre le candidat prétendument brise-glace et le président Macron signataire en 2018 du Pacte mondial sur les migrations, autrement nommé Pacte de Marrakech6 « Pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, ceci, en couvrant toutes les dimensions de ces déplacements de populations » ? Adopté le 19 décembre 2018 par l’Assemblée générale des Nations unies (Israël et les États-Unis de Donald Trump ne l’ont pas signé), ce texte se situe dans l’exact prolongement d’un rapport – également des Nations unies - de l’An 2000 (mars) préconisant des « migrations de remplacement » de plusieurs dizaines de millions d’individus afin de compenser les déficits démographiques dans l’Europe déclinante, recommandations intitulées sans ménagement : « Migration de remplacement : une solution au déclin et au vieillissement des populations »7.

Le candidat Zemmour entend-t-il dénoncer ce pacte diabolique quasi génocidaire ? C’eut été pourtant la première chose à faire s’il y avait la moindre cohérence dans son projet politique. Non ? Il ne fait aucun doute - sans retrait immédiat de ce piège né de l’idéologie droit-de- l’hommiste cautionnée et confortée par les algorithmes de la démographie prospectiviste… une science aussi dure que les projections relatives à la mortalité covidienne de la première vague – que dans ces conditions la France continuera inexorablement à se transformer, et pour le pire, en pays du Tiers voire du Quart-monde… Et le cas échéant en zones de guerre entre ethnies rivales.

Au final, M. Z paraît singulièrement muet à ce sujet, comme sur bien d’autres, plus urgents voire beaucoup plus pressants encore que l’islamisation rampante du pays. Un processus dont certains représentants messianiques du groupe ethnoconfessionnel auquel appartient notre héros, ont été les chantres proactifs depuis des décennies. Chacun reconnaîtra les siens et mettra les noms qui lui semble les plus appropriés à illustrer une assertion évidemment non dénuée de tout fondement n’en déplaise aux censeurs. Même si quelques uns d’entre eux semblent aujourd’hui (nous pensons à M. Julien Dray très présent sur CNews le support de lancement de M. Z) vouloir tourner casaque. En politique, l’opportunisme est une vertu et le mensonge un art majeur.

L’urgence véritable est ailleurs

L’urgence véritable est assurément, à ce moment précis, dans les Antilles, en Guadeloupe, à Rotterdam où les rues s’embrasent, où l’on tire à balles (bien réelles of course), à Vienne, en Autriche, à Cambera et à Paris… Partout où les peuples se dressent contre la tyrannie sanitaire qui, sous couvert de lutte contre une pandémie largement surévaluée [voir infra], c’est-à-dire médiatiquement fabriquée comme l’ont été et le sont MM. Macron et Zemmour, sert de prétexte à une vaccination à hauts risques et à la numérisation universelle des peuples de l’hémisphère nord.

Sujet pour l’heure plus angoissant et plus pressant que le terrorisme (désormais une donnée structurelle des sociétés ouvertes, sans frontières), l’inoculation générale obligatoire de substances expérimentales, transgéniques potentiellement vénéneuses voire létale (dans l’Union européenne la mortalité due aux effets secondaires se monterait au chiffre hallucinant de 26.000 décès selon les statistiques officielles d’Eurostat !)… M. Macron nous annonçait ainsi ce 18 novembre, par le biais d’un entretien accordé à LaVoix du Nord [19nov21] que « pour les immunodéprimés, les personnes âgées, l’on sait que le bénéfice-risque est positif. S’il s’avère qu’une troisième dose est efficace et nécessaire pour les autres publics, évidemment, on l’intégrera dans la logique du passe sanitaire ». Seule la deuxième phrase est à retenir… et à méditer.

Nous n’avons maintenant plus le choix, le piège se referme sur nous, nous avons maintenant le dos au mur. Or le plus gros problème ne sont pas les individus dévoyés (moralement corrompus) qui nous gouvernent mais la passivité d’une population qui gobe tout et ne veut rien savoir. Nous épargnerons au lecteur les résultats consternants des sondages… Indépendamment du fait qu’ils soient par définition manipulés, orientés et finalement truqués. Le très jeune La Boétie écrivait dans « De la servitude volontaire » qu’une « population nourrie sous la tyrannie devient lâche et efféminée ». Force est de reconnaître que depuis un demi-siècle la France est entrée en sénescence assortie d’une absurde hantise de la mort), une maladie carcinogénique en grande partie causée par le gavage télévisuel et la malbouffe industrielle, chimiquement polluée, distribuée à vil prix et à gogo… Des peuples européens également repoussés par les successives vagues migratoires, qui, petit à petit, deviennent chaque jour davantage des étrangers dans leur propre pays… Et sans doute prochainement, ceux qui refusent de se laisser entraîner par le Maelström progressiste et la vaccination pour tous, deviendront des sortes de semi-parias frappés d’indignité nationale, des condamnés à une lente mort civile. Comprenons une fois pour toutes que les oligarchies et cryptarchies qui décident et règlent les affaires du monde, ont subrepticement déclaré la guerre à l’humanité. Or si les peuples pris dans la drague monstrueuse du mensonge ne se réveillent pas très vite (si tant est qu’ils y parviennent), il sera tout bientôt trop tard.

Ce dont surtout M.Z ne se mêle pas

M. Z n’évoque jamais la si pernicieuse dictature sanitaire en marche, ni ses ravages : surendettement de la Nation, crise économique et morale qui en découlent… Est-ce un pur hasard ? L’islam envahissant n’est certes pas un faux problème, mais il n’est pas celui du moment. Plus immédiatement nuisible, nous avons à compter avec le super mensonge d’État couvert par le mortel silence de la presse… et comme de bien entendu par le mutisme consternant du soldat Zemmour. Formidable mensonge par omission consistant à occulter les conclusions – et les conséquences à en tirer - du rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (l’ATIH), lequel révèle sans tambours ni trompettes qu’en 2020, au plus fort de la crise sanitaire, seulement 2 % d’hospitalisations et 5 % des soins critiques étaient dus au Covid-19 ! En un mot comme en cent : 98 % des hospitalisations étaient hors Covid et 95 % des soins critiques ! Ce qui signifie une seule et unique chose : nous, peuple de France (et d’Occident par là-même) avons été menés en bateau par des élites vendues à l’idéologie globaliste et à l’hyper-capitalisme des GAFAM associés aux géants de la chimie organique !

Le moyen le plus utilisé pour jeter ce rapport malvenu et le bébé malodorant avec l’eau sale du bain, est de relativiser les données en arguant que « le calcul de la part des patients Covid sur la totalité des patients sur toute l’année aboutit à “lisser” de fortes variations, ne rendant pas compte de cette façon des phases de saturation hospitalière lors les pics épidémiques ». Soit ! Regardons cependant les pics. La semaine du 30 mars au 6 avril 2020 représente le pic le plus haut. Il y a alors environ 35.000 hospitalisations dues au Covid. À peine 3 % des hospitalisations sur cette période, qui habituellement enregistre des taux record d’admissions toutes causes confondues. Des explications bidons pour mieux nous enfumer… Mais qui en tirent les nécessaires conclusions ? Surtout pas les gens de presse qui, partagés entre ignorance, paresse, vénalité et crétinisme, s’associent peu ou prou à ce méga mensonge d’État qui aura coûté et coûtera encore des Himalaya de chagrin, de désespoir et de misère aux Français et aux Européens (parmi lesquels les Australiens et les Néo-Zélandais) qui ont été embarqués sur cette nef du Diable. Le ciel veuille que nous en sortions sans trop de dommages pour les générations montantes.

Le 22 novembre 2021

Notes :

1 La Toussaint, fête catholique instituée par le pape Grégoire IV en 830n et sans origine vétérotestamentaire, est célébrée chaque année le 1er novembre. La Fête des morts prend place le 2 novembre et apparaît en 998. Elle devient une fête universelle par une bulle de Léon IX.

2 egaliteetreconciliation.fr/Zemmour-denonce-t-il-le-pouvoir-du-CRIF-pour-sauver-le-pouvoir-sioniste-66142.html

3 Juifs nés avant 1948 en Palestine sous mandat britannique et leurs descendants. Par extension tous juifs nés en Eretz Israël.

4 La LICRA appelle au retrait de l’agrément donné au journal antisémite « Rivarol ». « Le journal français d’extrême droite multiplie depuis longtemps les publications antisémites et haineuses - et pourtant, il est toujours autorisé à diffuser, en vente libre » [TimeofIsrael/9nov21].

5 Le Point 1er avril 2010 : « C’est ainsi qu’il demande aux descendants d’immigrés d’abandonner leur prénom ou de le réserver à la sphère privée ou confessionnelle : “C’est comme moi, je m’appelle Eric, Justin, Léon. Mais, à la synagogue, je m’appelle Moïse” ». Toutes fois, l’adoption de prénoms chrétiens, au cours de ce vingt-deux deniers siècles d’histoire commune, ne les a jamais conduits à une complète assimilation.

6 M. Macron est en cela à l’unisson avec la chancelière Angela Merkel, laquelle précise : « Le Pacte est valable pour tous les pays du monde, même pour les pays qui le rejettent le pacte. Tous les signataires s’engagent en outre à accepter de facto un programme directif en faveur des migrants : éducation, droit au logement, regroupement familial ! Le Saint-Siège s’est associé à ce projet hautement philanthropique… au moins, en principe, pour les heureux bénéficiaires. 7 On en trouve à cette adresse une version très édulcorée : un.org/en/development/desa/population/publications/pdf/ageing/replacement-es-fr.pdf

—  0 commentaires  —

© Geopolintel 2009-2023 - site réalisé avec SPIP - l'actualité Geopolintel avec RSS Suivre la vie du site