Un peu de bon sens dans un monde de fou
Tout cela relève du sens commun, mais le bon sens a-t-il encore sa place à l’heure actuelle en Hexagonie ? Le Nobel Luc Montagnier - encore un fieffé complotiste – ne nous avertissait-il pas l’été dernier en martelant : « Nous sommes dans un monde de fous, un monde de fous ! » [2] ? Car de quels morts le Covid est-il fait ? Rappelons que chaque année en France la grippe cause le décès d’environ 8000 personnes. Parfois beaucoup plus : 12.980 en 2019 et 18.300 durant l’hiver 2014/2015, cela sans atteindre l’étiage des 31.226 morts sur deux mois en 1968 de la grippe de Hong Kong… Curieusement cette année la grippe n’a tué quasiment personne : 72 au total au cours du dernier hiver ! Apparemment le Covid aura donc constitué un très pratique fourre-tout où entasser et mélanger les morts de toutes origines, panique d’État oblige. Bref, tous les scientifiques sérieux (ou simplement honnêtes) s’accordent pour dire que l’épisode est terminé, le taux de létalité (nombre de morts au regard du nombre de contaminés, malades ou non) étant maintenant au plus bas, [3] même si l’on note une légère remontée des décès dans la semaine du 20 septembre.
Toutefois l’arnaque aux statistiques n’en est pas moins patente, utile à brandir la menace d’un reconfinement, en créant notamment une confusion entre le nombre de contaminés (testés positifs) et une nouvelle flambée létale de la coronavirose. Curieusement le seul pays à vouloir reconfiner est Israël où, par le plus grand des hasards, le Premier ministre, M. Netanyahou doit faire face à une fronde populaire qui n’est pas sans évoquer la contestation plus un moins téléguidée qui menace en Biélorussie le président Loukachenko. À la veille de son voyage dans les territoires baltes, bases avancées de l’atlantisme, le sieur Macron dont le pays est en quasi faillite sur tous les plans, fait son matamore, se mêle de ce qui ne le regarde pas, fait son petit Fabius (lors de la crise syrienne à propos de Bachar el-Assad) et glapit « ubi et orbi « Loukachenko doit partir »…
Malheureux biélorusses appartenant à une nation encore (pour le moment) ethniquement homogène, et qui croient naïvement que la démocratie c’est la Liberté… Comme naguère leurs voisins polonais, quand ils seront « libérés », ils déchanteront, verront fleurir les sex-shops, seront soumis à la loi du marché, à la dictature rampante euro-bruxelloise, aux immigrations massives et enfin, leur vie et celle de leurs enfants, deviendront des marchandises comme les autres, baignant dans la vulgarité et la pornographie proliférante véhiculée par le pédagogisme humanitarien. Mais alors il sera bien tard pour faire marche arrière.
Déconfinement à rebours et muselière pour tous
L’arbre ne devant finalement pas cacher, la forêt interrogeons-nous sur les motifs réels de ces déconfinements à rebours [4] et ces campagnes psychotiques de sidération générale qui nous rendent à demi maboules. Qui n’existent évidemment pas à un tel degré dans le paysage européen hormis peut-être en Espagne, mais ni en Allemagne, ni en Belgique, ni en Hollande… et encore moins en Suède, laquelle s’est refusée au confinement jouant sur l’immunisation collective. Aussi la France fait-elle notablement exception par son hystérie institutionnelle… de plus en plus mal supportée, à tel enseigne qu’enfin, un vent de fronde se met à souffler.
Or nous avons pu penser un instant qu’il s’agissait de cacher dans l’épaisseur du trait covidesque, le grand krach financier et économique prévu et attendu. De le devancer et de l’estomper en quelque sorte. La vérité est peut-être plus sinistre. Saisissant l’occasion d’une pandémie somme toute banale – comparable avons-nous dit à une assez mauvaise grippe saisonnière – il s’agirait premièrement, d’un contre-feu politique (vider les rues des Gilets Jaunes), mais l’hypothèse n’a rien de neuf, soit pire d’une tentative de déclencher véritablement (les mesures coercitives de contention du Covid servant d’allume-feu) une crise afin de faire un grand ménage de l’économie de papa, celle d’un monde déclaré unilatéralement obsolète. Ce que nos dirigeants, ces cuistres nomment en pur globish, un “reset”. Du passé et des vieux faisons table rase, et chantons en chœur, vive le Rivotril, euthanasions, euthanasions gaiment et les caisses des assurances vieillesse ne s’en porterons que mieux [5].
L’on ne peut exclure que les opportunistes et prédateurs mondialistes incrustés aux Affaires n’aient eu cette arrière-pensée. Sous cet angle, combien d’entreprises se sont vues contraintes au printemps de pousser vers la sortie et/ou la préretraite leurs personnels de plus de cinquante ans ? Pour les remplacer au sortir du tunnel par des jeunes (parce que le plus souvent issus de l’immigration) bénéficiant à l’embauche d’aides substantielles de la part de l’État (de 5000 à 8000 € par tête de pipe), de nouveaux salariés certes moins onéreux, mais aussi moins bien formés et compétents, par conséquent à terme moins rentables. Ceci dans le registre des fausses bonnes économies et d’un grand remplacement sournois programmé ceux qui nous gouvernent… Rappelons M. Sarkozy et son métissage obligatoire à tous les étages de la vie sociale [6]. Grand remplacement qui n’est, comme chacun sait, qu’un mythe, qu’un phantasme diffusé par une extrême droite vicieusement complotiste (et par voie de conséquence, antisémite).
Ce ressenti qui nous induit à commettre de si grossières erreurs de jugement
À l’instar de la météo, si le thermomètre indique telle température, le ressenti, lui, est très sensiblement différent. Ainsi l’ensauvagement n’existe pas c’est un ressenti, bref une fausse impression. Dixit notre extraordinaire Garde-des-Sceaux, l’idole des lieux de privation de liberté où l’on entre rarement - et difficilement, sauf pour les criminels contre la pensée unique et ultra dominante façon Hervé Ryssen – mais d’où l’on est toujours assuré de sortir très vite [7]. Impression erronée quant à ces surinades de coin de rue, ces églises et cathédrales en flammes… parce qu’un mauvais drôle a été débouté du droit d’asile, de son Droit, le sien propre, indiscutable, non négociable ! Comme à propos de l’avortement, l’asile est un droit sacré invocable et même exigible par le milliard de malheureux (ou supposés) qui gravit à la périphérie de l’Europe moribonde, prêt à se repaître de sa carcasse.
Trompe l’œil encore que ces jeunes femmes tabassées, tombées au sol et le visage piétiné (des mœurs très étrangères à nos traditions et coutumes : on ne frappe pas un homme à terre disait-on en un autre temps !), ces garçons égorgés dans les couloirs des gares et du métropolitain… Erreur que tout cela, illusion d’optique, uniquement des faits divers comme il y en des millions mais grossis en vue d’une sale récupération politique… En tout cas aujourd’hui, un gros millier d’agressions violentes chaque jour et plus de deux cents viols avérés [8]. Qui dit mieux ?
Bref, arriérés que nous sommes, nous ne comprenons pas ce que nous voyons et désormais, deux + deux font cinq. Cochon qui s’en dédit ! D’ailleurs si ce sont les télés et les commissaires idéologiques qui peuplent leurs plateaux qui le disent, nous devons les croire sur parole, bon sang ne saurait mentir [9]. Notons que la peur est partout. Qu’insidieusement s’est développée une culture de la peur : terrorisme, réchauffement planétaire (au nom duquel la France est en train de renoncer à sa souveraineté énergétique - pourtant en totalité décarbonnée - avec la destruction annoncée de son parc nucléaire), peur panique du coronavirus et, in fine, peur du gendarme et des amendes salées pour non port du bâillon réglementaire. Notons au passage que taxer et malmener le quidam de base asphyxié par sa protection hygiénique, est moins périlleux que d’affronter les bandes armées qui sévissent dans nos chaudes banlieues !
Le gouvernement par la peur et le chaos mental
Force est de constater que depuis trois mois nous assistons à une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, seuls indicateurs fiables d’une évolution épidémique. Or, imperturbablement le gouvernement poursuit son matraquage n’épargnant rien pour terroriser l’opinion au prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente… en proportion de l’augmentation du nombre de tests effectués. Qui n’a pas été consterné en voyant les files d’attente s’allonger démesurément devant les laboratoires d’analyse à l’image des niais et androgynes Eloïs que Wells met en scène dans La Machine à explorer le temps (1895)… Créatures qui sont l’espèce garde-manger des féroces Morlocks que le grand écrivain dépeint sous les couleurs du destin futur de la race humaine. Nous n’y sommes pas encore tout à fait mais cela vient, ne nourrit-on pas les laboratoires de pièces détachées de fœtus avortés… bientôt légalement à la veille de leur naissance ?
Une peur polymorphe, diffuse mais palpable qui semble avoir annihilé tout sens commun disions-nous, au moins pour une large portion de nos concitoyens… Peur qu’entretiennent savamment les médicastres et autres spécialistes de ceci ou de cela qui se succèdent dans les lucarnes… et surtout par la lancinante litanie des chiffres qui confondent le nombre de cas positifs et vrais malades en passe de submerger les capacités hospitalières. Si l’on consulte les données officielles de Santé Publique France, nous assistons à l’indéniable décrue de l’épidémie, mais toujours à contresens le gouvernement intensifie a contrario sa propagande terrorisante, alertant à chaque moment les foules de l’imminence d’une seconde vague encore plus meurtrière… Au fou ! Preuve s’il en était qu’il s’agit bien d’une conspiration ouverte [10] et à échelle planétaire, car la gouvernance globale (à commencer par celle de l’OMS prête-nom de Microsoft, c’est-à-dire de la Fondation Bill Gates) qui s’annonce à l’occasion de cette crise sanitaire, ressemble à s’y méprendre à une tyrannie, plus ou moins rude, mélange d’Huxley et d’Orwell, un mixte entre 1984 et le Meilleur des mondes… Parce qu’un gouvernement qui gouverne par la peur ne peut relever que du despotisme le plus navrant… Ne serait-il pas temps de s’en apercevoir ?
Du passé faisons table rase
Nous parlions plus haut de reconstruction du monde à l’ère de l’économie virtuelle (un monde au demeurant écrasée par une dette démentielle [11]), après une crise sanitaire qui curieusement touche presque exclusivement les pays développés, ceux qui ont justement refusé de soigner leurs malades avec la molécule salvatrice aux premières heures de la maladie qu’est l’hydroxychloroquine… à l’exclusion du continent africain montrant du même coup que tout cela est un prodigieux montage ! Pandémie en partie fabriquée et en partie inventée qui pourra/pourrait faciliter la révolution politique et sociétale en cours, à savoir le contrôle numérique des personnes à savoir l’identification et le suivi de chaque Terrien… ceci grâce aux très hauts débits de la 5G, au carnet de santé implantés via des nanopuces et à la vaccination imposée… Le tout complétant les traçages déjà existants à travers les réseaux sociaux, nos téléphones, nos cartes de crédit et par le truchement de nos échanges, consultations et recherches dans le cyberespace (maillage des contacts par les messages, les transactions, les déplacements, etc.), ceci aboutissant d’autre part à la disparition de la monnaie fiduciaire (espèces), déjà plus ou moins planifiée.
Les États qui ont massivement utilisé la chloroquine et ses dérivés, en vert sur la carte ci-dessus, ont eu des taux de mortalité assez faibles comparés aux pays en rouge, qui ne l’ont fait que très partiellement ou pas du tout. 102 études concernant la chloroquine ont été réalisées dans le monde… Dans l’étude européenne « Discovery » les équipes médicales ont administré jusqu’à trois fois la dose d’hydroxychloroquine (2400mg) au lieu des 800 mg recommandés par l’équipe de l’IHU de Marseille (un surdosage éminemment toxique) à des patients en fin de vie – et non au départ de la maladie comme requis - dans le seul but de discréditer le protocole du Pr. Raoult. Ceux qui ont mis au point ce projet exterminateur n’étaient pas, de toute évidence, pas des scientifiques dignes de ce nom. Ils ont conduit délibérément, au seul profit de Big Pharma, des actions de tueurs en série, empoisonnant des patients par surdosage du médicament que l’étude européenne avait pour but de discréditer. CG 26 sept.2020 – En Australie l’usage de la chloroquine est à présent susceptible de poursuites pénales.
Pour nous rassurer cependant, songeons au fiasco de l’Euro, et en général à l’échec de toutes les utopies, à commencer par le communisme et l’internationalisme prolétarien qui n’a survécu dans sa forme originelle qu’en Asie et encore, en embrassant l’hydre de l’hyper capitalisme… ou qui tente de s’imposer encore dans ses substituts les plus sinistres à la mode du jour : cosmopolitisme, transsexualisme, racialisme, pluralisme sociétal et métissage. Pour ce qui est de cette dernière chimère, les émeutes qui embrasent le Nord des États-Unis montrent à quel point il paraît difficile de faire cohabiter des groupes humains ne possédant pas le même héritage phylogénétique et la culture sui generis afférente (les atavismes comportementaux et perceptifs). Tout est là, les rameaux du genre humain peuvent se côtoyer, coopérer les cas échéant, mais le mélange de l’eau et du feu demeure toujours problématique et fournit sempiternellement matière à conflits. Le Vingtième siècle n’a-t-il pas été l’époque de toutes les guerres civiles intercommunautaires ? Liban, Ceylan (Sri Lanka), Yougoslavie, tant et tant d’autres !
En quelques mots, un simple virus, guère plus mortel qu’une forte pandémie grippale, a mis le système mondial à genoux et la folie d’une hyperclasse du transhumanisme a fait de cette occurrence un outil de déshumanisation massive : des communautés confinées et au bout du compte dépressives, des classes d’âge séparées, tous en état de claustration et de privation de liberté, intoxiqués et noyés par une intolérable propagande déversée à jets continus… Alors de grâce, fermons le bec à tous les crétins qui nous assènent que « Macron aurait abandonné la France à la peur ». Comment peut-on être sot au point de penser que le pouvoir nous aurait abandonné à la peur comme si celle-ci était une sorte de fatalité organique prospérant sous les seuls assauts de la pandémie… Comme si M. Macron, en bon père de la nation aurait banalement détourné son regard de l’humanité souffrante alors qu’il est lui-même (et ses séides administratifs et médicaux) l’organisateur et le promoteur de cette psychose [12]. Cette peur est sans conteste une fabrication, un outil de gouvernance et une arme essentiellement destinée à énerver (au sens ancien) les peuples. L’équivalent d’une castration chimique, de celles auxquelles les détraqués sexuels ne sont jamais soumis (voir supra note 5).
Un verrouillage intellectuel destiné à soumettre les populations, à les conditionner… De même que les assassinats ordinaires (parce qu’évidemment prémédités) des tueurs à l’arme blanche qui sillonnent nos rues et nos espaces publics (en France, mais aussi au Royaume-Uni, en Allemagne…) sont d’authentiques terroristes, indépendamment du fait qu’ils pratiquent leur science de la découpe à la petite semaine [13], même si les autorités s’empressent de faire état d’un déséquilibre mental chez l’égorgeur du trottoir, argument cependant jamais invoqué lorsqu’une petite bande de gais lurons tabassent une fille à la jupe trop courte ou qui refuse de baisser les yeux lorsqu’on le lui ordonne. Au reste il n’est ici question que de peccadilles relevant tout juste d’un maternel rappel à la loi (le patriarcat n’ayant plus droit de cité, ce rappel devient de facto matrilinéaire) … Une sentence paraît-il tirée du Talmud – donc à bonne source – avertit : « Malheur à la génération dont les juges méritent d’être jugés » [14]. Nous y sommes, et bien des fonctionnaires sortis de l’École nationale de la magistrature devraient dès maintenant se monter plus circonspects dans certains de leurs jugements trop souvent empreints d’arbitraire, comme dans leurs non-jugements imprégnés d’a priori idéologiques, pratiquant cette forme particulièrement détestable de ségrégation qu’est la discrimination positive, à l’encontre, il va de soi, des primo occupants de ce sol… Terre qu’ils firent fructifier siècles après siècles à travers d’incroyables vicissitudes et dont les nouveaux arrivants entendent sans équivoque les déposséder… « Pendez les blancs et tuez leurs bébés » disent et prédisent les paroles du rappeur Nick Conrad. À bon entendeur, salut !
26 septembre 2020