Le Congrès américain a lancé un programme pour répondre au nombre de procès contre les fabricants de vaccins affirmant que des personnes avaient été victimes de diverses maladies.
Le ministère américain de la santé et des services sociaux ont examiné les demandes et la Cour fédérale des États-Unis déterminera s’il y a lieu d’indemniser les plaignants.
Selon l’administration des services de santé, 70 % de toutes les indemnités accordées par le programme sont le résultat d’un règlement à l’amiable.
Si les médecins affirment que certaines personnes, celles dont le système immunitaire est affaibli, ne devraient pas recevoir de vaccins, ils insistent sur le fait que les vaccins sont globalement sûrs.
« Les effets secondaires graves sont très, très, très rares », a déclaré le Dr Roberto Posada. « Il a été prouvé que le vaccin est sûr ».
Eyewitness News a évalué les données du programme entre 2006 et 2017 et a constaté que les demandes d’indemnisation pour invalidité étaient rares.
Sur 800 000 vaccins administrés, une seule personne a déposé plainte pour maladie causée par le vaccin. Et parmi ces demandes, environ deux personnes sur trois ont reçu une indemnisation.
Pour le vaccin ROR en particulier, les statistiques étaient similaires.
Un peu moins d’une dose de vaccin ROR sur 800 000 a fait l’objet d’une réclamation, et environ la moitié de ces plaignants ont été indemnisés.
Le financement du programme est assuré par une taxe sur les vaccins.
Au total, le programme a permis de verser plus de 4 milliards de dollars à environ 6 429 personnes.
En moyenne, chaque personne a reçu un peu plus de 571 000 dollars, le reste étant consacré aux frais d’avocat et aux honoraires des juristes.
Quelles sont les implications de cette bataille juridique ?
- Le ministère américain de la santé et des services sociaux et tous les fabricants de vaccins ont trompé le peuple américain pendant plus de 30 ans sur l’efficacité et la sécurité des vaccins.
- Remise en question des cinq agences américaines de « soins de santé » : le CDC, la FDA, l’IOM, le NIH et la partie « Santé » du DHHS !
- Menaces de fermeture des commissions médicales d’État et des associations médicales comme l’AMA.
- Exemption de la certification semestrielle des fabricants de vaccins sur la qualité et l’efficacité alors que tous les autres laboratoires de médicaments ont été obligés de s’y conformer.
- La démonstration que leurs vaccins n’ont jamais été testés pour prouver leur sécurité et leur efficacité depuis plus de 30 ans.
Ces faits peuvent maintenant être légalement cités par tous ceux qui demandent une indemnisation pour les dommages causés par le vaccin.
L’avenir de la médecine allopathique actuelle est maintenant remise en question, ainsi que le cartel pharmaceutique mondial, puisque la quasi-totalité des médicaments que les praticiens allopathes prescrivent, proviennent de sociétés pharmaceutiques qui ont également commis des fraudes et des préjudices liés aux vaccins.
Responsabilités :
Tous les fonctionnaires du gouvernement qui ont adopté des lois légalisant la fraude aux vaccins au niveau de l’État, national ou international, ou qui ont aidé et encouragé de toute autre manière cette fraude aux vaccins peuvent désormais être accusés de fraude aux vaccins, de malversation criminelle et, dans certains cas, de crimes de guerre en vertu du code de Nuremberg.
Sources :
Département américain de la santé et des services sociaux.
Rédigé et rapporté par Marc Anthony Boyer
ABC 7
Geopolintel Mai 2020