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Le Pass Sanitaire est la police des Big Tech

lundi 2 août 2021

Le Pass Sanitaire européen qui nous est délivré après deux injections est illégal, puisque le conseil d’Etat n’a pas rendu son verdict.
La dictature l’impose au mépris de notre constitution, et il faut trouver cela normal.
De plus si la technologie est défaillante, ceux qui ont vendu leur âme pour deux doses, peuvent se faire refouler à l’entrée des commerces comme cette dame à la piscine Lafayette de Besançon.
Le problème est que la personne qui effectue les contrôles à l’entée est peut être non qualifiée pour flasher les Qr codes ou bien que la technologie utilisée est inefficace.

Avec le Pass Sanitaire l’Etat va transformer le peuple en algorithme au risque d’être exclu de la société pour une simple panne de matériel.

Posez vous la question de l’enjeu de la fibre et non pas de la 5G.
La fibre optique est le futur réseau de la police Big Tech.

Le Pass n’a rien de sanitaire et représente tout du pouvoir totalitaire.
Notre vie ne tient qu’à un code.

Voir le PDF en fin d’article sur la Smart City

Les villes intelligentes mieux armées pour gérer les crises ? Partager

Aux contraintes multiples auxquelles les villes doivent faire face ces dernières années, s’ajoute désormais la gestion de crises sanitaires. Il leur faut donc impérativement trouver des outils pour s’adapter à un environnement incertain et en évolution constante. Les villes intelligentes - « smart city » - seraient-elles mieux adaptées pour faire face à ces situations exceptionnelles ?

Nous partageons ici un post Linkedin proposé par Bruno Hervet, s’appuyant sur les articles des Echos - La smart city de Dijon passe le test du coronavirus et du Monde - Coronavirus : à Dijon, la « smart city » est passée en mode « urgence sanitaire .

Doter les villes d’outils pour réagir aux crises

La ville intelligente se doit d’être plus humaine, mais aussi plus efficace. La crise du Covid ne fait que renforcer cette assertion puisqu’il est essentiel de répondre rapidement aux besoins des collectivités et des habitants, tout en préservant les finances publiques. Ainsi, le Poste de Pilotage Connecté et Centralisé (PCC) est un dispositif essentiel pour mieux gérer les équipements et les services urbains. En étant connecté en temps réel aux infrastructures urbaines, il gère à distance les équipements et les interventions sur l’espace public (sécurité des bâtiments publics, travaux d’entretien de voirie, vidéo-surveillance, éclairage public…). La mutualisation de plusieurs postes de contrôles en un seul offre une plus grande transversalité des services. Cet outil permet donc de moderniser et d’améliorer l’efficacité de l’action publique grâce à une meilleure coordination, anticipation, connaissance du territoire et rapidité de réaction. Ce sont autant de capacités essentielles pour réagir en temps de crise.

« La ville intelligente se doit d’être plus humaine, mais aussi plus efficace »

Par ailleurs, le PCC est un outil agile et évolutif. Dans le cadre de la crise du Covid 19, sur demande de la métropole de Dijon, le PCC a permis la mise en place d’un numéro vert pour recenser les informations utiles, les besoins, identifier les personnes isolées… Cela permet de coordonner l’intervention auprès des personnes vulnérables. Au-delà d’une meilleure efficacité publique, cet outil favorise aussi la lutte contre l’exclusion. Il s’agit là d’un atout indéniable car la ville intelligente doit permettre non seulement la continuité des services essentiels, mais aussi une plus grande inclusivité, même en temps de crise.

Préparer l’avenir

Enfin, la gestion connectée de l’espace public libère la donnée publique qui peut alors être ouverte pour créer de nouveaux services aux habitants. Pendant et après une crise, cela peut s’avérer particulièrement utile pour nourrir l’innovation et faire émerger des réponses nouvelles aux usagers.

« La ville intelligente doit permettre une plus grande inclusivité »

Évoluer vers un modèle de ville plus durable et plus inclusif permet non seulement d’améliorer la qualité de vie en ville, mais aussi de maîtriser les coûts d’exploitation et d’améliorer la performance des services. En résumé, la ville de demain permet de faire mieux avec les mêmes ressources, évolution particulièrement utile en temps de crise.

  • Par Bruno Hervet - CEO Suez Consulting & VP exécutif Smart Cities

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Nous nous permettons d’enrichir cet article du commentaire du « Ville Intelligente Mag » évoquant Carlos Moreno, professeur associé à l’IAE de Paris, co-fondateur et directeur scientifique de la chaire Entrepreneuriat, Territoire, Innovation : « Pas de ville intelligente sans l’intelligence des citoyens. Aucune ville, si intelligente soit-elle sur le papier et sur sa construction ne résistera aux attaques extérieures sans l’appropriation pleine et entière de ceux qui habitent, consomment, profitent des avantages que celle-ci offre en matière d’environnement, de culture, de santé, de bien-être. Ce que nous vivons actuellement doit mettre fin à l’entre soi, chacun, collectivités, entreprises, citoyens devant agir collectivement la ville de demain. C’est la leçon que nous devons tirer de cet épisode difficile ».

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