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Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid

jeudi 25 mars 2021

L’expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres.

Dans notre cas on va expérimenter le terme complotiste inventé par des psychologues de la CIA, pour forcer les gens à rentrer dans la pensée admise et non divergente.

Le ministère de la santé a expérimenté cette technique de conformité du groupe avec le port du masque et en faisant croire qu’un test PCR positif équivaut à avoir le Covid.
L’ effet de répétition des campagnes de sensibilisation permet une autohypnose où la force du groupe prime sur l’individu. Cette technique est idéale en dictature pour forcer les gens à renier leur propre opinion plutôt que de sortir du rang.

Autre phénomène utilisé par le gouvernement Macron et le cabinet de conseil McKinsey est la « pensée de groupe » (« groupthink »). Le terme a été inventé par le psychologue américain Irving Janis. C’est une dysfonction du groupe. Il mène les dissidents à taire leur opinion, par peur d’être exclus du groupe, isolés ou ridiculisés.
La distinction entre une parole dissidente mais crédible et une théorie fantaisiste peut être subtile et être instrumentalisée pour valider la pensée du groupe.
C’est pour cela que la presse continue à interviewer le professeur Didier Raoult.
Si on ne lui donne pas la parole on laisse le champ libre aux réseaux sociaux et au complotisme.
Se faire traiter de complotiste agit surtout dans la sphère familiale, depuis le premier confinement ceux qui ne portent pas le masque sont isolés et empêchés de voir leur proches. S’il veulent retrouver une vie familiale ils se résignent à écouter les paroles infantilisantes de l’idiot de Matignon qui préconisait de placer les grands parents dans la cuisine le jour de Noël pour manger la bûche.

Le discours de la « carotte » consiste à mélanger maintien sous contrôle du virus et le retour progressif à une vie normale avec le vaccin pour nous forcer à accepter la dictature sanitaire. Le véritable objectif de l’élite mondialiste est d’écrouler notre économie mais cette pensée est complotiste.

Ceux qui sont sortis du rang doivent assumer leur dissidence pour garder leur liberté.

L’expérience de Asch

Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue (voir les expériences filmées), pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm.

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe ; Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Milgram où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

L’effet Asch

Son hypothèse de départ est la suivante : Un individu est susceptible de faire sien un jugement qu’il sait contraire au bon sens, à la réalité et cela sans que quiconque n’ait à délivrer la moindre récompense ou punition. La situation est simple et ne présente aucune ambiguïté ; tous les Sujets sont capables de fournir la réponse exacte. En effet, les sujets devaient dire quelle baguette est équivalente à la baguette de présentation. Les erreurs doivent donc être quasi inexistantes ou marginales.

Les résultats sont les suivants :
Les Sujets naïfs, influencés par les compères vont donner en moyenne 36,8 % de réponses erronées. Pour pouvoir comparer ; l’expérimentateur avait constitué ce qu’on appelle un groupe contrôle qui ne comportait pas de sujets compères ; dans cette situation les erreurs sont effectivement marginales avec seulement 2 sujets sur 37 qui montraient une ou deux erreurs sur les 18 évaluations.
Asch observe également de grandes différences entre les sujets ; sur 123, 29 ne font aucune erreur et 39 font plus de 50 % d’erreurs en présence de compères. Le processus de conformité est ici mis à jour.

Dans cette expérience, on a :
Une dépendance ou Influence informationnelle induisant le conflit cognitif.

  • Importance numérique de la majorité
  • L’unanimité de la majorité
  • Support social ou consensus de la majorité Une dépendance ou Influence normative : Il y a conflit motivationnel, dans la mesure où le maintient réel ou symbolique dans le groupe est subordonné à l’adhésion aux Normes, aux règles de ce groupe.

Surmars

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