Or pour ceux qui ne s’en seraient pas vraiment encore rendus compte, nous sommes aujourd’hui parvenus à un point de rupture… Ce qu’il convient d’appeler un changement de paradigme civilisationnel parce que le monde est littéralement, sous nos yeux, en train de changer de face. Non tant en raison des actes de terrorisme et de barbarie qui se multiplient sur notre territoire et en Europe de l’Ouest, ou encore d’arbitraires confinements à répétition des populations sous couvert de sauver des vies, celles par exemple de ces vieillards que l’on a sacrifiés sans états d’âme lors de la crise du mois de mars [1] … Des péripéties odieuses, insupportables mais qui, toute raison gardée, en soi ne devraient être en rien de fondamentalement irréparables. Encore que ? Si le présent bouclage de la France devait se poursuivre en 2021 que resterait-il alors de notre économie ? Les classes moyennes auront été en partie laminées par la démocratie social-libérale ainsi que le prévoyait le Manifeste de 1848 de Friedrich Engels et de Karl Marx.
Exit les classes moyennes
Il est loisible, à ce sujet de se demander si effectivement cette élimination des classes intermédiaires, autonomes, ne figure pas au rang des effets recherchés par le déclenchement et la prolongation d’une crise en grande partie artificielle. Ne perdons jamais de vue que la Suède n’a imposé à ce jour aucune des restrictions coercitives (que nous avons subies et qui nous sont à nouveau imposées) et qu’elle n’a pas pour autant été rayée de la carte. Mais chut, évitons d’évoquer ce contre-exemple et les Gaulois réfractaires continueront de filer doux.
De même que la crise aurait dû avoir l’avantage de vider les bas-de-laine- [2] des Français (5.367 mds au 1er avril 2020) au profit de l’économie via la consommation en remettant en circulation d’importantes liquidités… Horreur, c’est le contraire qui est advenu ! Les sournoises espérances de notre administration sont mortes-nées. La spoliation déguisée ne s’étant pas faite spontanément, nul n’exclut plus que l’État pourrait dans un futur proche recourir à des méthodes contraignantes pour ponctionner l’épargne du pays réel. Et de la rumeur à l’acte, il n’y a qu’un pas ! Reste que, quelle qu’en soient les conséquences économiques et les dégâts sociaux induits par une gestion volontairement catastrophique de la crise sanitaire, au stade où nous en sommes, le mal pourrait n’être pas encore incurable de sorte que le pronostic vital du pays ne serait pas définitivement engagé aussi profondément fût-il atteint dans ses œuvres vives, morales et économiques…
Un narratif déplorable
Au demeurant plus le temps passe et plus il apparaît que rien ne tient vraiment debout dans le narratif officiel. Même s’il n’est pas toujours facile de démêler les tenants et les aboutissants, quoique de plus en plus nombreux sont ceux qui commencent à douter de la véracité de la présentation officielle des événements et de la dangerosité d’une épidémie qui – chiffres à l’appui – ne détermine aucune surmortalité significative à l’échelle européenne par rapport aux flambées virales de ces quarante dernières années1… Pour Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, dans un texte cosigné par trois cent-cinquante personnalités scientifiques de premier plan, publié le 28 octobre [3], tout cela est cousu de fil blanc… En effet, nul n’ignore plus en substance que le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée pendant deux mois en s’appuyant exclusivement sur les indicateurs les plus alarmants et en les changeant chaque fois que nécessaire afin de toujours envoyer le message le plus anxiogène possible… Le 27 octobre, la manipulation aura atteint un niveau inouï. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts, « du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était mensonger. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital, contre 257 la veille. Mais comme l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours, compter les morts quotidiens le même jour revient à gonfler artificiellement les chiffres… à la veille de l’allocution du président de la République qui a évidemment repris à son compte ce chiffre trafiqué.
Malheureusement la connaissance de ces trucages statistiques éhontés, multidimensionnels autant que permanents, n’est accessible que d’une minorité de spécialistes aptes à les décortiquer et… évidemment n’atteint pas la masse, bernée et lanternée par des médiacrates dont l’ignorance volontaire (leur paresse intellectuelle n’expliquant pas tout) est calamiteuse. Grâce au ciel cela commence à se savoir et, même si des questions de préséance institutionnelle ont été avancées, le sénat vient de retoquer la loi d’urgence sanitaire et le confinement (ce qui annule toutes les pénalités infligées jusqu’à ce qu’un nouveau vote de la chambre haute vienne invalider le premier) : au lendemain de l’annonce par le président Macron du reconfinement, le Sénat rejetait par 178 voix contre, 130 voix pour, 27 abstentions, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et ses mesures d’accompagnement présentées par le Premier ministre [4]. D’ailleurs - même pour les non-initiés aux arcanes de l’architectonie mondialiste - tous ces événements paraissent tellement absurdes, incohérents et incongrus qu’un nombre toujours croissant de sceptiques pense que cette pseudo-crise serait finalement « organisée » de toutes pièces… La pensée et les analyses complotistes gagnent indéniablement du terrain !
Car nous avons bien affaire à une imposture, celle-ci consistant à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier. Apparemment dans le but inavoué (parce qu’inavouable) de mettre la France à genoux ceci afin de conduire des politiques de déconstruction de l’État et de la Nation, laquelle feraient horreur aux Français s’ils en prenaient conscience et en percevaient la portée réelle. En d’autres termes, la crise du Covid-19 n’est qu’un vaste complot, une machination à visées anti antinationales (et accessoirement antirépublicaines) fomentée par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République ce qui conduit à dire que nous ne pourrons sortir de cette crise qu’en dégageant les pseudo élites dévoyées et compradores qui nous mènent en bateau [5]. Un bateau ivre qui se dirige droit vers les hauts fonds de la guerre civile sur le cap des tempêtes des confrontations internationales… Ayons à l’esprit le sanglant conflit turco-arménien (cinq mille morts en quelques semaines) et le Proche-Orient, poudrière instable comparable à celle qui souffla le port de Beyrouth et une partie de la ville. Destitution manu militari et jugement pour haute trahison, tel devrait être par voie de conséquence le traitement applicable à nos bons dirigeants pour les temps à venir…
Les deux mâchoires de la peur au quotidien
Dans cet ordre d’idée, comprenons que le terrorisme à la petite semaine et la pandémie - tous deux bien réels - sont pareillement et merveilleusement mis en scène. Que tous deux ne sont que la partie émergée d’une machination autrement redoutable et surtout, ne doivent pas être regardés en soi, séparément, indépendamment l’un de l’autre ou du contexte général… mais comme des éléments saillants participant d’un plan de bataille aux finalités hélas invisibles aux yeux de la multitude. Covid et terrorisme sont à ce titre des outils, soient les deux mâchoires d’une seule et même « stratégie du choc » – un trauma collectif - destinée à nous conduire en marche forcée, la peur au ventre et la baïonnette dans les reins, à accepter voire à désirer une gouvernance supranationale passant par la soumission intégrale des peuples aux oukases de la dictature sanitaire, elle-même faux-nez de l’asservissement collectif aux cryptarchies régnantes déguisées en gouvernance mondiale… passeport vaccinal par puçage, traçage et contrôle social grâce à des permis de citoyenneté à points, etc.
Aujourd’hui la peur possède deux visages, la maladie sournoise et le couteau du boucher, le second poussant, incitant à se réfugier frileusement dans les jupes de la République… sachant que tout est fait en particulier dans notre pays, pour faciliter la prolifération des candidats au martyr via l’assassinat sordide … Notons qu’après le carnage de Nice à la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, le ministère de l’Intérieur a fait montre de sollicitude en peuplant les parvis de nos églises de policiers fortement armés. L’État est présent et prétend nous protéger pour mieux nous faire oublier que ce même État maintient nos frontières ouvertes et qu’il encourage au blasphème de la catholicité et de l’islam, c’est-à-dire érige en droit la libre expression du mépris d’autrui… à travers la faculté d’insulter les croyances les plus sacrées de populations d’importation auxquelles nous avons grand ouvert les portes de la Cité dans le but pour mieux casser notre matrice ethnoculturelle, autrement dit helléno-catholique laquelle s’incarne dès l’origine dans et par Athènes et Jérusalem.
Le Golem islamique fait des siennes
Sauf que quelques-uns parmi les fauteurs de trouble à l’ordre civilisationnel – progressistes humanitariens et autres messianiques collectivistes ou libéraux-libertaires – se rendent maintenant compte que le Golem islamique est parfois difficile à juguler et que le diable refuse de réintégrer sa boîte. Néanmoins l’on ne saurait faire d’omelette sans casser des œufs, n’est-ce pas ? Toutefois, pour parvenir à faire entrer le vulgum pecus dans la bergerie macronienne, celle de la mondialisation heureuse, quelques égorgements spectaculaires ne sont pas trop cher payés. Pourtant le bon peuple, aussi docile soit-il, commence à renâcler se rendant compte que certaines coïncidences sont à ce point récurrentes et le hasard faisant si bien les choses, qu’elles en deviennent effectivement troublantes : annonce du couvre-feu aussitôt suivie de la décapitation d’un enseignant assez benêt pour croire que la liberté consiste à faire en classe la promotion de l’obscénité graphique (si tant est que le mot obscénité ait de nos jours encore un sens) et de la haine brutale que ces soi-disant « valeurs de la République » charrient dans leurs eaux fétides ; deux semaines après, le lendemain de l’annonce présidentielle de reconfinement, le 29 octobre, un Tunisien – un « jeune homme » selon une presse décidément à gerber - arrivé sans escale via l’île italienne de Lampedusa commet un triple meurtre à Nice… Deux autres attentats auront également lieu ce jeudi matin-là, l’un à Montfavet près d’Avignon où un homme est abattu qui menaçait des agents des forces de l’ordre avec une arme de poing [6]. Observons qu’au moment où les Français sont en résidence domiciliaire très surveillée et sont astreints à demander la permission expresse de sortir, de fréquenter leurs amis et relations, leurs parents, où il leur est interdit d’assister à un office religieux, nos bons amis les surineurs, eux, ne connaissent aucune restriction de déplacement !
Pour mettre les points sur le i
En un mot, de quoi est-il question ? C’est tout simple, nous sommes entraînés dans le Maelström d’une conjuration contre les peuples, contre la civilisation et in fine contre l’humain en général. Conspiration qui se déploie au vu et au su de tous mais que dont nous ne voyons que de façon fragmentaire, incapables que nous sommes de reconstituer en son entier la mosaïque portant l’image du monstre qui s’apprête à nous dévorer. Nous ne le voyons pas parce que nous n’avons pas encore appris à le voir, à en dessiner les contours d’ensemble de la même façon que nous ne discernons pas un animal mimétique sur le support avec lequel il se confond…
Bref, nous sommes parvenus à la croisée des mondes, au Grand Reset, la grande réinitialisation éco-civilisationnelle que dénonce Mgr. Vigano [7] dans une lettre ouverte au président Trump, seul susceptible – le cas échéant - de renverser le cours des événements catastrophiques qui nous accablent… parce que face à un candidat Démocrate dont l’extrême corruption, matérielle, physique et morale, fait la proie et l’otage idéal pour les forces du néant mises en œuvre par l’État profond planétaire, il est seul possiblement appelé, à libérer le fleuve Alphée dans les écuries d’Augias.
La Grande réinitialisation, cette mutation radicale annoncée et claironnée par tous les prophètes de la postmodernité, les Titans des GAFAM engendrés par le ventre toujours fécond de la Silicon Valley, par tous ceux, transhumanistes ou non, qui rêvent d’un monde aussi fluide que numérisé et s’emploient à le réaliser, est une menace imminente, soyons-en convaincu. Ce passage, cette mutation doit nous conduire – et à laquelle l’actuelle grippe sévère repeinte en super mortelle pandémie sert de vecteur – à un monde où le numéraire, le paiement en espèces auront disparu tout comme la propriété foncière (ce qui serait déjà le cas au Royaume-Uni où l’on peut plus être que “locataire” du foncier), monde où les voyages et déplacements seront conditionnés à un passeport sanitaire couplé à carnet de citoyenneté à points comme dans l’actuelle Chine populaire, modèle à suivre pour les mondialistes de pointe.
Le passeport sanitaire prendrait la forme d’un nuage de nanoparticules injecté sous la peau, ce qui rendrait chacun identifiables et traçables à distance par les robots chargés de gérer le bétail humain grâce aux gigantesques capacités d’entreposage et de conservation des données du Big Data, désormais alimentée par la 5G… Tout cela n’est pas de la science-fiction, mais l’actualité la plus immédiate, la plus brûlante. Il suffit d’ouvrir un journal, une radio ou un poste de télévision pour entendre les experts de tous poils nous annoncer la bonne nouvelle ! Ce pourquoi il importe tant que Donald J. Trump parvienne à se maintenir à la tête de l’État fédéral américain avec les forces auxquelles il se trouve adossé, dans le but crucial et essentiellement vital d’ajourner ou d’annuler la mutation prévue…
En tout cas merci au Covid-19 qui nous aura permis de lire à travers les lignes et, peut-être, espérons-le, de déjouer les complots contre la vie que trame l’État profond mondial pour la destruction des nations, l’abolition des lignes démarcations nationales, la dissolution de tous les corps intermédiaires à commencer par la famille, pour l’effacement des sexes et de toutes les frontières biologiques, par le truchement de la tyrannie consensuelle et de celle des Droits sacrés au blasphèmes et à l’avortement… parce qu’in fine, dans la confusion des genres et des espèces, tous sont égaux et tous sont interchangeables et ne sont plus destinés à se différencier que grâce à leurs piercings, labrets primitifs ou à leurs grotesques tatouages. L’humanité ne progresse pas, elle régresse à grande vitesse vers les stades archaïques qui virent l’émergence des proto-humanoïdes. L’échéance est là et bien là, ici et maintenant, et nous sommes arrivés sur la ligne de crête, là où tout peut basculer sans retour dans les tréfonds du Meilleur des mondes orwellien. Il n’est donc plus temps de limiter notre propos par la crainte de se voir accuser de conspirationnisme, de négationnisme ou autres. Complotistes nous sommes, résolument à l’instar de Carlo Maria Viganò pourtant issu de l’Église conciliaire, afin de dénoncer avec la plus extrême vigueur la conjuration à ciel ouvert qui menace de nous engloutir tous autant que nous sommes, individus, peuples et nations.
1er novembre 2020