Forme atypique d’autisme associé avec le thimérosal contenu dans les vaccins !
Forme atypique d’autisme associé avec le thimérosal contenu dans les vaccins : des résultats inquiétants sur plusieurs décennies !
Une étude de chercheurs américains de l’Institut des maladies chroniques de Silver Spring aux USA vient d’être publiée montrant l’association du thimérosal dans les vaccins et l’apparition d’une forme atypique d’autisme, le syndrome d’Asperger.
Le thimérosal est un composé contenant du mercure organique ajouté pendant de nombreuses années à des vaccins multidoses comme conservateur et encore ajouté à certains vaccins aujourd’hui. Les préoccupations concernant les effets toxiques des vaccins infantiles contenant du Thimérosal et le risque d’un diagnostic atypique de l’autisme ont été évalués récemment :
J Trace Elem Med Biol. 2017 Jul ;42:18-24
Increased risk for an atypical autism diagnosis following Thimerosal-containing vaccine exposure in the United States : A prospective longitudinal case-control study in the Vaccine Safety Datalink.
Risque accru de diagnostic d’autisme atypique suite à l’exposition à un vaccin contenant du thimérosal aux États-Unis : Une étude prospective longitudinale cas-témoins dans le cadre du Vaccine Safety Datalink.
Geier DA1, Kern JK2, Geier MR3.
Les cas diagnostiqués avec un autisme atypique étaient statistiquement significativement plus susceptibles d’avoir reçu une exposition globale et dose-dépendante au mercure des vaccins TM-HepB administrés dans le premier mois de vie, les deux premiers mois de vie et les six premiers mois de vie que les témoins. Des phénomènes similaires ont été observés lorsque les cas et les témoins ont été séparés par sexe.
La présente étude fournit des preuves épidémiologiques importantes associant de manière significative l’augmentation de l’exposition au mercure des vaccins infantiles contenant du Thimérosal et le risque subséquent de diagnostic atypique de l’autisme et suggère que le Thimérosal devrait être éliminé des vaccins après des décennies d’utilisation soi-disant scientifique !
Face aux résultats de cette étude américaine, on peut comprendre le légitime droit des parents à ne pas vouloir automatiquement faire vacciner leurs enfants, surtout pas avec 11 vaccins, ce qu’apparemment Agnès Buzyn, récente ministre de la santé en France ne veut pas comprendre : nous sommes en face de résultats scientifiques publiés et qui sont inquiétants.
Les adjuvants utilisés sont une cause majeure des préoccupations légitimes de la population et les travaux du Professeur Romain Gherardi viennent encore le confirmer avec la myofasciite à macrophages causée par l’aluminium contenu dans les vaccins.
http://www.lemonde.fr/tant-de-temps...
Le plus étonnant est certainement le style péremptoire des conclusions de certaines publications au début des années 2000 qui ne voyaient aucune relation entre la présence de thimérosal dans les vaccins et les cas d’autisme :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed...
Ce ne sont évidemment pas 200 « grands médecins », souvent sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, qui peuvent contredire des faits scientifiques !
https://blogs.mediapart.fr/bernard-...
Les catastrophes arrivent toujours trop tard et nous en avons aussi l’exemple avec l’amiante qui provoquait des cancers dès l’année 1906 et qui a été le scandale du 20e siècle sans que les ministères de la « santé » successifs ne s’en préoccupent !
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Adjuvants des vaccins : « Comprendre qu’en matière de sécurité tout était faux fut un choc »
À une époque de profondes mutations, le rapport au temps est chamboulé. Nous avons invité des personnalités et des anonymes à se confier sur ce sujet. Cette semaine, le professeur et lanceur d’alerte Romain Gherardi.
Chef du service du Centre expert de pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil (Val-de-Marne), Romain Gherardi a signé, fin 2016, un ouvrage (Toxic Story, Actes Sud) dans lequel il narre son odyssée de lanceur d’alerte concernant les effets des adjuvants aluminiques présents dans les vaccins. De quoi revenir sur le temps médical et la recherche fondamentale.
Vous faites partie des premiers à avoir détecté la myofasciite à macrophages et avez débuté vos recherches sur les effets des adjuvants à la fin des années 1990. Quand vous regardez le chemin parcouru, que ressentez-vous ?
On a vu apparaître cette lésion musculaire inconnue en 1993, et c’est ensuite que nous avons compris qu’elle est induite par l’aluminium. On est allé de surprise en surprise, en découvrant l’origine vaccinale de cet aluminium [depuis 1926, 60 % des vaccins contiennent des adjuvants aluminiques pour renforcer la réponse immunitaire] puis en comprenant que l’innocuité de ces adjuvants ne repose sur aucune base expérimentale solide. On a longtemps cru qu’ils étaient rapidement évacués dans les urines sous forme d’atomes d’aluminium, mais les toxicologues n’avaient pas compris que les microparticules d’adjuvants sont capturées par les cellules immunitaires et ont un comportement très différent de celui des atomes d’aluminium.
« L’Afssaps, bastion de l’industrie pharmaceutique, s’évertuait à temporiser et à empêcher que la lumière soit faite sur les questions dérangeantes. »
Comprendre que, en matière de sécurité des adjuvants, tout était faux, fragmentaire et non pensé fut un choc. Découvrir le fonctionnement des agences sanitaires fut un second choc. Je pensais, par exemple, que l’agence du médicament était la police du médicament, avec pour rôle de comprendre, de mettre en demeure, etc. Mais non : après le scandale du Mediator, le rapport de l’IGAS [l’Inspection générale des affaires sociales] a parfaitement décrit l’Afssaps [l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé] comme un bastion de l’industrie pharmaceutique, s’évertuant à temporiser et à empêcher que la lumière soit faite sur les questions dérangeantes. L’Afssaps, dissoute en 2012, a été remplacée par l’ANSM [l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé] mais il demeure une profonde réticence à remettre en question l’industrie pharmaceutique.
Votre livre retrace votre combat, un chemin de croix qui n’est pas terminé. On ne peut s’empêcher de penser à Irène Frachon, qui a dénoncé l’affaire du Mediator et à d’autres lanceurs d’alerte. Comment fait-on pour tenir, dans le temps, seul contre tous ?
Il y a plusieurs explications. D’abord, les sous. Comme je ne travaille pas uniquement sur ce sujet, mon laboratoire a obtenu de bons financements pour étudier, entre autres, les cellules souches musculaires. Sans compter la petite dotation récurrente du laboratoire et les moyens grappillés à droite et à gauche. Tout cela nous a permis de ne jamais lâcher complètement les recherches sur les adjuvants aluminiques.
Ensuite, il y a les malades : on les voit quotidiennement, on fait des biopsies, on détecte sans cesse de nouveaux cas. Ces patients souffrent un calvaire personnel (douleurs, fatigue, troubles cognitifs) doublé d’une profonde sensation d’injustice liée à la difficulté de faire reconnaître leur maladie. Cela nous rappelle en permanence la nécessité de continuer les recherches. Et ces recherches ont souvent donné des résultats plus stimulants que les hypothèses de départ… C’est devenu passionnant. Un scientifique ne peut résister à cela.
Ce combat a-t-il changé votre regard sur le temps en médecine et le temps de la recherche ?
Oui, et je retiens trois éléments. Les effets secondaires tout d’abord : le temps long n’a jamais été pris en compte dans l’étude des adjuvants, si bien que le problème n’a pas été clairement formulé avant nos travaux. Plusieurs années peuvent s’écouler avant que les effets ne se manifestent. L’adjuvant se déplace lentement du site d’injection vers des organes distants, où il persiste. Longtemps, très longtemps. Ce temps long doit absolument être pris en compte dans l’étude des toxiques environnementaux biopersistants.
« Notre premier article sur l’origine vaccinale de la myofasciite à macrophages a été envoyé à treize journaux différents avant qu’il y en ait un qui accepte enfin de se saisir de la question. »
Deuxième leçon : le temps est capital dans la stratégie des agences sanitaires face à des signaux sanitaires inattendus, complexes, ou embarrassants. Elles espèrent toujours que le problème se résoudra spontanément avec le temps. Effectivement, le signal s’atténue souvent progressivement, comme ce fut le cas pour les effets secondaires signalés après la campagne de vaccination massive contre l’hépatite B des années 1990. Douter, relativiser, faire durer les procédures jusqu’à l’usure permet de noyer le bruit initial dans le bruit de fond général. Les responsables éventuels peuvent alors tranquillement partir à la retraite… voire au cimetière.
Troisième point : le temps de la recherche est toujours beaucoup plus long que l’imagine le public. Mener une étude sur la toxicité des particules d’adjuvant prend au minimum deux ans : il faut trouver les chercheurs prêts à effectuer un travail fastidieux et mal payé, mener l’étude, analyser les résultats, écrire l’article, le soumettre pour publication et ce n’est pas fini pour autant ! Notre premier article sur l’origine vaccinale de la myofasciite à macrophages a été envoyé à treize journaux différents avant qu’il y en ait un qui accepte enfin de se saisir de la question et de le soumette pour avis à ses experts. C’est maintenant plus facile, le sujet s’est installé : notre dernier article a été accepté par retour de courrier.
On en est aujourd’hui à la prise de conscience. Et ce grâce à votre ouvrage, au travail de journalistes et à la mobilisation des associations. Cela vous soulage-t-il ?
Oui bien sûr ! C’est très important. Mais qu’il est difficile de faire comprendre qu’il faut à la fois maintenir une couverture vaccinale protectrice de la population et faire les recherches nécessaires sur la sécurité des adjuvants… D’un côté, la France est le pays où la défiance antivaccin est la plus forte et, de l’autre, les industriels ont beau jeu de disqualifier toute recherche susceptible de nuire à leurs intérêts de court terme.
Je dis aux personnes réticentes face aux vaccins que l’être humain est constitué pour faire face en permanence à un très grand nombre d’antigènes, et que le principal problème à régler est celui de la susceptibilité particulière de certains individus à des adjuvants aluminiques hors d’âge. Je dis aux grands industriels, comme Sanofi, qu’au-delà de l’objectif de croissance de leur segment, visant à faire passer le chiffre d’affaires mondial du vaccin de 7 milliards en 2005 à 100 milliards en 2025, leur intérêt est de réduire dès à présent l’exposition globale des populations aux adjuvants aluminiques, de travailler la question des facteurs de susceptibilité individuelle et d’optimiser continûment la sécurité de leurs produits comme le fait l’industrie aéronautique. À défaut, ils seront rapidement suspectés d’être des pourvoyeurs de maladies environnementales chroniques.