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Changement climatique et contrôle de l’eau

mardi 28 mars 2023

Le plan c’est « la fin de l’abondance ».

Les Académies nationales des États-Unis, recommandent jusqu’à 2,7 L par jour pour les femmes et 3,7 L pour les hommes. Mais une nouvelle étude sur le renouvellement de l’eau, publiée dans la revue Science par une équipe internationale de chercheurs a montré que les directives et recommandations formulées jusque-là étaient peut-être trop élevées pour la plupart des personnes et situations. En réalité, les jeunes pourraient avoir besoin de bien moins (1,5 L par jour pour les hommes et 1,3 L pour les femmes).

À partir de ces données, les chercheurs ont créé une équation générale pour prédire le renouvellement de l’eau et donc, par exemple, aider les pays à anticiper les effets des changements climatiques et démographiques à venir et leurs besoins en eau.

Tout ce qui nous profite doit leur profiter, comme la privatisation de la gestion de l’eau avec Veolia à qui Macron a donné des gages.
La privatisation du vivant est l’ultime volet du transhumanisme, où rien ne nous appartiendra, même pas notre ADN.
Les « Dieux » vont rationner ce qui est essentiel à la vie.

La privatisation du vivant est le fil conducteur des mondialistes.

L’AIEA lance GloWAL pour la gestion durable de l’eau

L’IAEA annonce le lancement de GloWAL, une initiative pour une gestion de l’eau plus durable.

Energynews

L’initiative GloWAL, pour une meilleure gestion de l’eau, a été annoncée par l’Agence internationale de l’énergie atomique (IAEA). Cette dernière vise à aider les pays à élaborer leurs propres stratégies de gestion et de données sur l’eau.
GloWAL : une initiative de l’IAEA pour aider à la gestion de l’eau

Le réseau mondial de laboratoires d’analyse de l’eau (GloWAL) de l’IAEA a pour objectif de réduire les écarts techniques entre les pays développés et les pays en développement tout en promouvant des pratiques de gestion de l’eau durables. Le réseau encourage des partenariats dans des sous-réseaux régionaux dans le monde entier et se concentre sur l’objectif de développement durable 6 des Nations unies, qui vise à assurer l’accès à une eau propre et à l’assainissement pour tous.

Selon l’IAEA, “les laboratoires capables de générer des données fiables en temps voulu sont la pierre angulaire de la capacité de tout pays à mieux comprendre et gérer ses ressources en eau.” Le réseau GloWAL fournit une génération indépendante de données aux pays en développement. De plus, il renforce la gestion de l’eau grâce à des bourses de formation et des échanges de personnel.

L’IAEA souligne également l’importance de l’hydrologie isotopique pour comprendre et la gestion de l’eau. En mesurant les ratios isotopiques, les analystes peuvent suivre le flux et le mouvement de l’eau, ce qui peut aider à déterminer la qualité de l’eau et à améliorer la gestion des ressources en eau douce.
Le succès de GloWAL repose sur le financement durable et la collaboration entre pays et organisations

Le lancement du réseau GloWAL de gestion de l’eau par l’IAEA réussi a réunir des responsables, des experts et des organisations. Le changement climatique, les polluants et les contaminants accroissant la pression sur les ressources en eau, les décideurs ont besoin de données précises pour prendre des décisions éclairées sur l’utilisation des terres et la planification urbaine.

L’IAEA et ses partenaires estiment que le financement durable est crucial pour la réussite du réseau GloWAL. Ainsi, ils sont ouverts à la collaboration des institutions financières internationales, des gouvernements, du secteur privé et des partenariats public-privé.

Le réseau GloWAL a déjà un impact au Tadjikistan, où un laboratoire surveillera l’état des glaciers qui fournissent une grande partie de l’eau douce de la région. En comprenant mieux la dégradation des glaciers, le pays peut gérer plus efficacement l’écoulement des eaux. Ce qui garantit ainsi un approvisionnement en eau plus durable pour ses citoyens.

Par conséquent, le lancement du réseau GloWAL de l’IAEA représente une étape significative vers des pratiques durables de gestion de l’eau. Avec des données fiables et une meilleure compréhension des ressources en eau, les décideurs peuvent prendre des décisions éclairées. Il s’agit alors d’assurer un monde plus sûr en eau et en alimentation. Le succès du réseau dépend d’un financement et de partenariats durables entre les pays et les organisations, soulignant l’importance de l’action collective pour relever les défis mondiaux.

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