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Covid : la fin du secret médical

jeudi 8 juillet 2021

Le régime chinois par le biais de son système de crédit social dispose de listes noires répertoriant les habitants en infraction avec la politique du pays.
Selon nos élites, La crise sanitaire présente une réalité inconfortable : les pays qui ont réussi à « contenir » l’épidémie ont eu recours au contrôle social intrusif.

Les listes noires interdisent l’accès à certains types d’emplois, certaines sources de financement ou des restrictions à leur consommation.

Véran l’a dit les non vaccinés n’auront pas les mêmes droits que les vaccinés.
Si on pousse un peu plus c’est presque la liste de Schindler.

On disposera d’une sorte de permis à points, pour valoriser des personnes ayant fait de bonnes actions pour le pays, et à sanctionner en stigmatisant publiquement des français qui avaient jusque là une vie anonyme.

Le secret médical ?

L’article R4127-4 du Code de la Santé Publique définit le secret médical :

"Le secret professionnel institué dans l’intérêt des patients s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi.
Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, c’est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris."
Le secret médical est un principe général et absolu
Il est d’ordre public et sa violation peut donner lieu à des sanctions pénales (article 226-13 du Code Pénal), civiles (article 1240 du Code Civil) ou ordinales.
Le médecin n’est pas relevé du secret du fait de la mort de son malade, lequel ne peut pas non plus le délier de son obligation, même de son vivant, et ce même si cela est dans son intérêt.

Nous ne vivons pas une dictature, nous vivons une guerre contre les peuples.

L’Assurance maladie autorisée à transmettre les noms des non-vaccinés aux médecins traitants

« Désormais, tout contact physique ou téléphonique avec l’Assurance maladie se termine avec une interrogation très ouverte pour accompagner ceux qui le souhaitent et proposer un créneau de vaccination. »

L’Assurance maladie va pouvoir transmettre aux médecins traitants les noms de leurs patients non vaccinés contre le Covid-19, grâce à un avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) rendu mardi, indique le directeur général de la Caisse nationale de l’Assurance maladie, Thomas Fâtome, mercredi 7 juillet dans Les Echos.

Réclamé par les syndicats et promis par le gouvernement, l’envoi aux médecins libéraux de la liste de leurs patients non vaccinés contre le Covid-19 s’est heurté à des réticences de la Cnil, dont le feu vert s’est fait attendre.

« Avec l’avis de la Cnil », qui a été « obtenu ce mardi, nous allons pouvoir adresser la liste des patients non vaccinés aux médecins traitants, en lien avec l’évolution du cadre réglementaire. Nous allons aussi renforcer le partenariat avec les pharmaciens, qui sont un vrai relais de contact, par exemple auprès des diabétiques ou des hypertendus », déclare M. Fâtome.

« Plus aucun obstacle matériel » à la vaccination

En outre, pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19, « désormais, tout contact physique ou téléphonique avec l’Assurance maladie se termine avec une interrogation très ouverte pour accompagner ceux qui le souhaitent et proposer un créneau de vaccination », précise M. Fâtome. « Nous sommes en lien avec d’autres caisses de Sécurité sociale, comme la CAF et l’Assurance vieillesse, pour diffuser cette pratique », ajoute-t-il.

L’Assurance maladie continue par ailleurs ses « partenariats avec les associations caritatives, les collectivités, les bailleurs sociaux, toujours en lien étroit avec les ARS » (Agences régionales de santé), poursuit-il. « Mais il reste du chemin à parcourir. Par exemple, un tiers des patients qui ont une obésité morbide ne sont pas vaccinés », souligne-t-il.

Cet été, « l’Assurance maladie restera totalement mobilisée pour la vaccination » et « le message est simple : il n’y a aucune raison d’attendre la rentrée », relève M. Fâtome. « La vaccination, c’est maintenant », insiste-t-il.

« Les centres sont ouverts, les doses disponibles, le délai entre deux doses peut aller de trois à sept semaines, vous pouvez changer de centre pour avoir votre première ou seconde injection sur votre lieu de vacances. Il n’y a plus aucun obstacle matériel ! », conclut-il.

Var Matin

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