C’est un familier du chef de l’Etat qui nous le confie : « Emmanuel Macron est un objet spirituel non identifié, mais ce qui est sûr, c’est que le mysticisme est au cœur du macronisme. » Quand, dans les premiers jours de septembre 2016, on a demandé à celui qui venait de démissionner du gouvernement de Manuel Valls pour marcher vers l’Élysée s’il croyait en Dieu, il a répondu exactement ceci :
- « C’est une vraie question, une question compliquée. Je crois sans doute en une transcendance. Je ne suis plus sûr de croire en un Dieu. Oui, je crois en la transcendance. »
(c’est-à-dire qui est au-delà du perceptible et des possibilités de l’intelligible)
Le Diable signifie « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « trompeur, calomniateur ») personnifiant l’esprit du mal.
Mammon, le dieu de la richesse, du mot araméen et de l’ancien Syriaque, est l’un des Princes de l’Enfer.
- « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon » (Matthieu 6,24).
Nous l’avons compris ce dernier confinement est bien le signe que Macron va nous mener à notre propre destruction, afin d’obéir à son Dieu de l’argent.
La stratégie Covid menée par le cabinet conseil McKinsey n’y est pas étrangère.
Cette officine cachée de la CIA et des banquiers usuriers, doit sceller la fin de l’ancien monde où nous étions libre.
Mais à force de penser qu’il est un Dieu, Macron va chuter de son trône.
Dans le Wall Street Journal, Macron a évoqué sa véritable nature en tant que banquier : « On est comme une sorte de prostituée. Le job, c ’est de séduire »
La vérité est là et c’est à nous de la diffuser.