Une pandémie de stupidité et d’impérities
Un Occident qui a répudié toute loi morale et force le pas pour imposer à tous une gouvernance universelle (qu’il est loisible d’imaginer sous la forme d’une termitière globale ou de la “Metropolis” (1927) du trouble Fritz Lang… mais en repassant le film à l’envers). Un État global s’avançant sous couvert de la pandémie de SRAS-CoV-2, vecteur (ou support) d’une incontestable dictature rampante, sanitaire d’abord puis forcément sécuritaire. Un virus dont nombre de scientifiques – et non des moindres - se demandent avec une insistance croissante s’il n’est pas de conception humaine [1]. Les apprentis sorciers pullulent et ce ne serait pas la première fois qu’une « saloperie » s’échapperait, intentionnellement ou non, d’un laboratoire dit de haute sécurité. Cas de figure qui expliquerait l’inexplicable deuxième vague - jugée impossible au printemps dernier par le professeur Raoult - en ce qu’elle a déjoué toutes les prévisions pourtant solidement ancrées dans l’expérience des épidémies passées.
Il est vrai que le regain des contaminations de l’automne se trouve lié à la survenue de variants (mutations) rapportés par les vacanciers de retour du bled ! Un autre “mutant” plus redoutable, transmissible à l’homme, vient de faire son apparition au Danemark frappant les élevages de visons – naïvement nous croyions que les fourrures prélevées sur l’animal étaient passées de mode ? – d’où une extermination massive de viverridés : un million a déjà été gazé, il en reste encore seize autres [2]. Les amis des bêtes en sont profondément marris !
Un sinistre holocauste qui ne s’étale bien entendu pas à la “Une” de nos médias (ce serait « crade »), il est néanmoins rendu d’autant plus nécessaire que ce mutant viral rendrait caduques tous les vaccins prêts à être injectés de façon « coercitive » [3] aux populations qui n’en peuvent mais ! Ayons également une pensée émue pour les centaines de milliards ($ ou € peu importe !) qui sont en jeu dans une affaire vers laquelle convergent les intérêts des classes dirigeantes mondialistes, transhumanistes et messianistes… et au premier rang desquels se trouvent les oligopoles de la chimie et du médicament, bref tous ceux qui financent et pilotent en sous-main les organisations et structures mettant en œuvre les politiques d’unification du Marché planétaire… M. William (Bill) Gates est à ce titre le financier et le vrai patron de l’OMS. Qui l’ignore encore ? Pensez que, potentiellement, le gâteau à se partager pour la dizaine de laboratoires concourant à la mise au point d’un vaccin est un marché de sept milliards d’humains [4]. Un pactole qui excite à n’en pas douter les convoitises les plus féroces.
Quant au caractère obligatoire et contraignant de la vaccination, on peut également se référer aux déclarations hystériques du Dr. Laurent Alexandre (macroniste, transhumaniste et conseiller du tribunal administratif de Paris) sur CNews le 12 septembre : « Vu l’âge moyen des gens qui meurent qui est très élevé, la population que l’on vaccinerait c’est une population [sic] qui a une espérance de vie résiduelle »… Merci pour eux ! Il est vrai que si la contagiosité du SRAS-CoV-2 est grande, sa létalité est en revanche assez faible : au 3 juin – donc après le pic de crise - sur 18 542 personnes décédées en milieu hospitalier, 341 avaient moins de 50 ans, soit 1,83 % [5]. Oui, 341 victimes qui ont justifié la mise en panne presque totale de l’économie nationale. De juin à novembre ce sont 28 morts de moins de soixante ans qui sont à déplorer [6]. Et pan, reconfinement… bientôt il est assuré que le nombre de suicide suite aux faillites des petits entrepreneurs, commerçants et déprimés dépassera celui des certifiés Covid… sachant que chaque cas déclaré donne lieu à une prime pour le médecin ou le service déclarant. Le Covid est à ce titre devenu un commode fourre-tout où viennent s’agglomérer toutes les pathologies ordinaires et létales, crises cardiaque, cancers, AVC, etc.
Rappelons et insistons, l’OMS, ne pouvant truquer les chiffres et les faits au-delà d’une certaine limite, l’organisation mondialiste reconnaît elle-même, aujourd’hui, que le confinement aveugle et autoritaire est une catastrophe. Alors que Neil Ferguson du Royal College de Londres et gourou du confinement, prédisait que si la Suède ne séquestrait pas ses citoyens, elle compterait 70.000 morts, malgré cet avenir sombre, Stockholm n’a pas confiné et l’épidémie est désormais un mauvais souvenir avec seulement au 21 octobre 2020 quelque 5.922 décès. En Hollande, Ferguson avait annoncé qu’en l’absence de quarantaine générale, les Pays-Bas compteraient 100.000 victimes… Idem, refus du confinement et 6.804 décès au 21 octobre, soit une surestimation initiale de 1400% [7]. Maintenant nous savons que la politique - suicidaire pour certaines fractions de la population - adoptée par le gouvernement français et son folklorique Conseil scientifique, ont bien d’autres motivations que de combattre une épidémie recrutant essentiellement ses victimes dans le grand âge (quatre-vingt-quatre en ans en moyenne)… Il s’agit en effet, pour le chef de l’État, en gouvernant par la peur, de se présenter en chef de guerre affrontant toutes les affres et relevant tous les défis d’un sanglant conflit… Guerre en grande partie virtuelle mais suffisante pour tenir en laisse courte une grande partie de la population hexagonale… pour le moment !
D’un mensonge l’autre
Il est des analogies qu’il serait intéressant de développer. Ainsi la pandémie de mensonges et de manipulations qui affectent et navrent la France seraient à mettre en regard du coup d’État que le parti Démocrate a conduit aux États-Unis avec l’actif soutien de la Silicon Valley (les GAFAM), de Wall Street et de magistrats partisans [8]. Parce qu’il y eu « fraude » à l’occasion des élections du le 3 novembre, c’est semble-t-il indéniable, mais est-ce formellement prouvable ? Jusqu’à la minute présente, malgré les plus folles rumeurs [9], indéniablement, nous assistons en direct à un hold up, un authentique braquage, visant à faire main basse sur l’État américain… et peut-être, hélas, en passe de réussir. Quoique le parrain - Barak Obama - du président élu, Joe Biden, exhorte publiquement – une démarche où perce assurément l’inquiétude - le sortant de ne pas prolonger plus avant la lutte pour la vérité et le pouvoir, au risque d’endommager la démocratie made in US et l’image de marque de l’Union…
Au demeurant déjà bien entamée eu égard aux actuelles péripéties et à la guerre de longue haleine menée ces quatre dernières années contre le président Trump traîné dans la boue autant qu’il était possible par la meute coalisée des politiques et des médias qui n’ont eu de cesse de le faire passer pour un sombre crétin incapable de gouverner [10]. Une agressive guérilla d’intoxication créant à l’arrivée une véritable tyrannie consensuelle, violemment relayée en Europe, ceci à l’instar de la peur panique de la pandémie covidesque. Ce pourquoi nous pouvons établir un troublant parallèle entre les guerres du mensonge que livrent les gouvernements mondialistes européens et l’État profond américain… forces de destruction des souverainetés et de reconfiguration de sociétés destinées à être fondues dans le creuset du globalisme, un monde de robots et d’hommes-machines, situé à mi-chemin entre Orwell et Huxley.
15 novembre 2020