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George Soros coordonateur du tandem Biden Harris

dimanche 8 novembre 2020

La censure des réseaux sociaux n’a jamais atteint le record de cette élection présidentielle de 2020. Trump est toujours censuré par Twitter, on a même assisté à la coupure en direct de sa déclaration le lendemain du vote.
Trump affirme s’être fait voler l’élection, alors que twitter continue d’affirmer qu’il n’y a pa eu de fraude électorale.

Message relié au tweet de Trump
"La fraude électorale de toute nature est extrêmement rare aux États-Unis, confirment les experts électoraux
Alors que le décompte des voix se poursuit et que la course à la présidence est lancée pour Joe Biden, les experts et les responsables affirment qu’il n’y a aucune preuve de fraude électorale généralisée lors de l’élection américaine de 2020. Le processus électoral est sûr et les fraudes de tout type sont incroyablement rares, selon The Associated Press et Reuters. Les fonctionnaires et les experts avertissent que la plupart des interférences dans les élections américaines, qu’elles proviennent d’acteurs étrangers ou nationaux, prennent la forme de campagnes de désinformation, dont beaucoup sont destinées à créer de la méfiance dans le processus électoral américain."

Mais la réalité est toute autre et les preuves de la fraude commencent à s’accumuler.

Erreurs de machines de vote dans le Michigan (Dominion Voting Systems)
Le parti Républicain du Michigan a affirmé qu’un pépin dans le logiciel d’élection d’un comté du Michigan a donné 6 000 votes républicains aux démocrates. Un employé du comté du Michigan a découvert un problème dans le logiciel de tabulation. Il a donc compté les votes à la main et a découvert que ce problème avait permis à 6 000 votes d’aller à Biden. 47 comtés du Michigan ont utilisé ce logiciel.
Les machines à voter Dominion Voting Systems sont utilisées dans 30 États, dont le Michigan :
☑️Nevada
☑️Arizona
☑️Minnesota
☑️Michigan
☑️Wisconsin
☑️Georgia
☑️Pennsylvania
Smartmatic a créé le logiciel Dominion. la société est dirigée par Lord Mark Malloch Brown qui travaille pour George Soros. Il a également été vice-président des fonds d’investissement de George Soros, ainsi que de son Open Society Institute, vice-président de la Banque mondiale et principal partenaire international de Sawyer Miller, une société de conseil politique. Il a également été vice-président du Forum économique mondial. Il a commencé sa carrière en tant que journaliste à The Economist. Il préside les conseils d’administration de plusieurs organismes à but non lucratif, dont l’International Crisis Group, l’Open Society Foundation et le Centre for Global Development. Mark est également l’auteur de « The Unfinished Global Revolution » (La révolution mondiale inachevée).

Kamala Harris et George Soros

Le 11 août 2020, Alexander Soros, fils du multi-millionnaire, philanthrope et fondateur de l’Open Society, George Soros, 90 ans, a soutenu Kamala Harris sur Twitter pour être choisi comme vice-président démocrate du candidat Joe Biden.
Quand Kamala Harris était procureur général de Californie, elle a refusé de poursuivre la banque OneWest de Mnuchin et Soros pour fraude en 2013 sans donner de raison. Les violations de la loi sur les saisies immobilières auraient laissé des milliers de propriétaires avec des avis d’expulsion.
Harris a été élu procureur du district de San Francisco en 2003. Elle a été élue au poste de procureur général de Californie en 2010 et réélue en 2014. Harris a servi comme sénateur des États-Unis depuis 2017.
Kamala Harris n’explique pas pourquoi elle n’a pas poursuivi la banque de Steven Mnuchin

  • « C’est une décision que mon bureau a prise », a-t-elle déclaré, en réponse aux questions de The Hill peu après avoir prêté serment en tant que nouveau sénateur américain de Californie.
  • « Nous avons suivi les faits et les preuves, et c’est une décision que mon bureau a prise », a déclaré M. Harris. « Nous avons poursuivi l’affaire comme n’importe quelle autre. »
    Sources :
    The Hill
    The Intercept

MoveOn.org, financé par Soros

Move a reçu des dons importants, dont 2,5 millions de dollars de George Soros en 2003

Déclaration de Rahna Epting, directrice exécutive de MoveOn, sur l’annonce de la nomination de la sénatrice Kamala Harris au poste de vice-présidente démocrate :

  • « La nomination de la sénatrice Kamala Harris par Joe Biden est un moment historique. Alors que Harris monte sur la scène nationale en tant que candidate à la vice-présidence, elle entre dans une longue lignée de premières pour les femmes de couleur qui ont servi dans notre gouvernement et se sont battues pour l’égalité pour tous ».
  • « Les membres de MoveOn ont montré leur enthousiasme autour d’un choix de Harris : ces dernières semaines, elle est apparue comme le premier choix des membres dans nos enquêtes hebdomadaires. Joe Biden a fait un choix puissant dans Harris : une femme aux réalisations incroyables, une combattante pour notre démocratie, et un leader compatissant et empathique. »Harris croit profondément que tous les gens méritent un traitement égal, quel que soit leur sexe, leur race ou leurs capacités, et sa carrière a été axée sur la concrétisation de ce principe.« -* »Son alliance avec la communauté LGBTQ était au premier plan lorsqu’elle a officié lors du premier mariage homosexuel de Californie, présidant l’union de Kristin Perry et Sandra Stier. Son travail pour établir l’initiative Back on Track LA, un programme conçu pour offrir aux délinquants non violents des possibilités d’éducation plutôt que d’incarcération, a fourni un modèle pour la façon dont les États traitent les délinquants non violents.« -* »Félicitations à Kamala Harris pour votre future nomination en tant que première personne noire et sud-asiatique - et première femme de couleur - à occuper le poste de vice-président des États-Unis. Des millions de membres de MoveOn célèbrent ce moment en se mobilisant pour la victoire".

Douglas Emhoff et George Soros

Douglas Emhoff et Kamala Harris se sont mariés à Santa Barbara en 2014, alors que Harris était le procureur général de Californie. Emhoff est un associé de la société DLA Piper dont les bureaux se trouvent à Los Angeles et à Washington, D.C.
DLA Piper est lié à une fraude de Soros concernant l’achat d’une mine géante en Guinée.

Bras de fer de titans entre Soros et Steinmetz autour d’une mine géante en Guinée
Jeune Afrique juillet 2017

Mine de Simandou, en Guinée
En plaçant ses apôtres de la transparence au plus près du cabinet présidentiel de la Guinée, George Soros a écarté un de ses ennemis jurés. Une stratégie bien rodée dont Jeune Afrique dévoile les coulisses.
« J’essaie de t’appeler mais tu ne réponds à aucun de tes numéros, y compris ton portable. » Ce 27 avril 2013, Alpha Mohamed Condé est inquiet. Le fils du chef de l’État guinéen tente de joindre Scott Horton, avocat américain de DLA Piper, pour l’entretenir d’une histoire que l’agence Bloomberg s’apprête à écrire, et qui semble embarrasser la présidence. La ligne ne passe pas. « Alpha Mohamed » se rabat sur sa messagerie électronique, en espérant être plus chanceux. Un reporter de Bloomberg à Conakry travaille en effet sur un article concernant un accord passé entre la Guinée et le Liberia pour l’évacuation, via Monrovia, d’une partie du minerai issu du mont Nimba.
Or, Conakry veut éviter que cette information ne revienne aux oreilles des grandes sociétés minières présentes en Guinée, qui sont elles aussi tentées d’utiliser la voie libérienne plutôt que de financer un « corridor central » menant à Conakry – ce que souhaiteraient les autorités guinéennes. « Il est extrêmement important que cette histoire ne sorte pas », explique Scott Horton dans un e-mail au fils du président et au ministre des Mines, Mohamed Lamine Fofana, ce même 27 avril. Son objectif : corriger le tir en ajustant les déclarations du ministre, et ne pas donner l’impression d’un « feu vert » pour la potentielle exportation du fer de la mine de Simandou par le Liberia.

Dans les secrets du cabinet DLA

DLA Piper n’est pas n’importe quel cabinet. Il a parmi ses clients George Soros, le célèbre milliardaire américain, qui en a fait son relais en Guinée. Quant à Scott Horton, il n’est pas non plus n’importe quel avocat. Collaborateur de Soros, ce natif de Greenville, en Caroline du Sud, a connu le milliardaire il y a trente ans, à l’époque où ce dernier avait le regard porté sur l’Europe de l’Est.

C’est d’ailleurs George Soros qui, en avril 2011, a fait en sorte que la route de Scott Horton croise celle d’Alpha Condé, le nouveau président guinéen, élu en décembre 2010. Ce dernier et George Soros se connaissent déjà. Ils se sont rencontrés par l’intermédiaire de Bernard Kouchner, ancien ministre français des Affaires étrangères.

Le milliardaire n’hésite donc pas à demander à son ami Horton, 55 ans à l’époque, d’aller rencontrer « Alpha », fraîchement installé au palais de Sékoutoureya. Le président, explique Soros, veut lancer des réformes, notamment dans les mines, secteur qu’il soupçonne d’avoir alimenté les caisses noires de son prédécesseur Lansana Conté, et il faut l’y aider. Le rôle de DLA Piper en Guinée est officiellement, et avec l’appui des ONG « sorosiennes », d’accompagner le gouvernement dans ses réformes. Il lance pour cela des enquêtes, dont une partie est menée par un certain Steven Fox, ancien du département d’État américain qui a travaillé pour la CIA, dirigeant de la société d’évaluation des risques Veracity Worldwide.

Soros dirige le couple Biden Harris selon le modèle mis en place en Guinée.

Open Society :
Avec l’élection de Joe Biden et Kamala Harris, nous pouvons maintenant commencer à travailler dur pour réparer les dommages causés à l’État de droit et aux normes et valeurs qui ont guidé la république depuis le début.
Les élections de 2020 ont marqué l’un des plus grands tests de la démocratie américaine depuis sa fondation il y a plus de deux siècles et demi. Les foules joyeuses qui célèbrent aujourd’hui dans les rues montrent le soulagement collectif que chaque vote sera compté et que la volonté du peuple prévaut. Nous étions convaincus que le pays allait organiser un vote sûr et sécurisé ; malgré les nombreux défis à relever - une pandémie, un blizzard de désinformation et des efforts actifs pour supprimer et saper la légitimité des élections - la démocratie s’est maintenue. C’est un signe de la santé de notre système que tant d’Américains se soient rendus aux urnes, non seulement pour le président, mais aussi pour la myriade de bureaux d’État et locaux qui reflètent de plus en plus l’étendue et la profondeur de notre démocratie multiraciale et inclusive, tout comme l’élection, pour la toute première fois, d’une femme de couleur à la vice-présidence.

Les résultats montrent à quel point ce pays profondément divisé a encore beaucoup à faire pour réparer les dommages causés à l’État de droit, aux normes et aux valeurs qui ont guidé la république depuis le début, et pour faire en sorte que ceux qui ont vécu dans la peur sachent qu’ils sont à l’abri de la violence, de l’oppression et de la haine, et que l’Amérique les soutient. La pandémie et le soulèvement historique de ce printemps ont été un grand révélateur, mettant en lumière les inégalités économiques, le racisme systémique, notre système de justice pénale brisé, les inégalités dans notre système de soins de santé, et bien d’autres choses encore. Le travail de défense des sociétés ouvertes n’est jamais terminé, et nous, les Fondations, redoublons d’efforts pour réparer les brèches et nous rapprocher toujours plus des idéaux fondateurs de la nation.

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