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Pour sauver la planète il faut moins de soleil, moins d’enfants et moins d’habitant

samedi 26 novembre 2022

La marchandisation humaine tend à se développer dans nos esprits pour nous convaincre de réduire la vie humaine pour sauver notre futur. N’importe quel dictateur aurait eu un peu plus d’élégance que ces « comptables écologistes » qui nous culpabilisent de notre condition d’être vivant.
Si nous poussons la réflexion pour adhérer à cette tentative de « solution terminale » il faut se pencher sur la politique de l’enfant unique instaurée en Chine.

Deng Xiaoping a officialisé la « politique de l’enfant unique ». Son objectif était de ne pas dépasser 1,2 milliard de Chinois en l’an 2000. 300 millions de naissances ont été évité mais la Chine attend un déclin démographique d’ici 2025 comme pour tout pays industrialisé.
La France de Giscard d’Estaing a eu une politique inverse en 1980, avec une prime de 10 000 francs (1600 euros) pour le troisième enfant compte tenu de la situation économique qui imposait d’augmenter la natalité. La France a un lourd passé démographique défavorable qui a contribué à son affaiblissement culturel et politique.
Le redressement démographique a permis à la France de retrouver une population productive pour son essor économique.

Peut-on considérer ces études sur le climat et la baisse démographique comme sérieuses ?
En regardant les chiffres et les histogrammes des populations sur le site de l’OCDE, nous constatons qu’en règle générale, les pays industrialisés enregistrent une baisse de la population.
Le phénomène de régulation s’impose de lui même dans un milieu donné.

Mais la vitesse de régulation n’est pas compatible avec les objectifs des dirigeants mondialistes.

La stabilisation de la population mondiale est depuis longtemps une priorité des Nations Unies, tous les pays qui ont eu une croissance démographique galopante ont bénéficié de politiques de régulation de natalité appelés « programmes de planification familiale ».
Si l’on considère que l’accroissement de la population a été un facteur important du développement économique, il est actuellement considéré comme un frein pour lutter contre le réchauffement climatique.

Malthus, en 1798, dans son Essai sur le principe de population pensait que la croissance de la production agricole, dite « arithmétique » (1,2,3,4...), ne pouvait suivre la croissance démographique, « géométrique » (2,4, 8, 16, 32...).
Dennis Meadows, autre régulateur de la population, a publié en 1972, “The Limits to Growth” démontrant que la croissance économique des pays développés ne durera pas.

Au regard des politiques dîtes de lutte contre le réchauffement climatique, il faut comprendre que les nations unies ont décidé de baisser de manière drastique le nombre d’habitant sur la planète à partir d’une modélisation mathématique qui implique que tous les moyens sont bons pour nous empêcher de vivre.
Le passeport climatique sera le sésame qui dictera notre conduite de vie ainsi que notre comptabilité de naissance corrélée à l’indice carbone.

« souviens-toi que tu es né poussière et que tu redeviendras poussière »

Dividende démographique

Le dividende démographique est, d’après le Population Reference Bureau (2013) et à propos du continent africain, « l’accélération de la croissance économique qui peut résulter d’une baisse rapide de la fécondité d’un pays et l’évolution ultérieure de la structure par âge de la population. ». Pour le dire autrement, cela correspond à une phase démographique dans laquelle les enfants du boom démographique sont devenus adultes, font moins d’enfants, et ne sont pas encore des personnes âgées : la classe pleine de la pyramide des âges correspond à la population active entre 18 et 65 ans.

Le terme de dividende est ici à entendre au sens financier : c’est le bénéfice, le fruit économique, de l’augmentation de la part de la population active. Le dividende démographique représente la chance économique offerte par la situation dans laquelle un pays atteindrait son optimum dans le rapport entre la population « non-dépendante » (active) et la population « dépendante » (les plus jeunes et les plus âgés).

Le dividende démographique est, toujours d’après l’ONU, le moment idéal pour « investir dans la santé et l’éducation », c’est-à-dire dans le « capital humain », à un moment où le rapport entre les bénéficiaires des systèmes de santé et d’éducation sont les moins nombreux par rapport à ceux qui le financent. Mais le dividende démographique est aussi un défi : celui de la création d’emplois pour la population active, sans quoi les espoirs de développement qu’il suscite ne peuvent que rester vains.
Source :
Population Reference Bureau, « L’Afrique et le dividende démographique », 2013.

La Maison Blanche le reconnaît : il faudrait peut-être bloquer le soleil pour arrêter le changement climatique

« C’est comme les airbags dans votre voiture. Vous ne voulez jamais les utiliser, mais vous serez heureux de les avoir quand vous les utiliserez. »
Tony Ho Tran

Nous entrons dans les derniers jours de la COP27, le sommet annuel de l’ONU sur le climat, et l’on peut dire que l’édition de cette année a été décevante, c’est le moins que l’on puisse dire. Elle a été largement critiquée par les experts et les militants du climat et a suscité de vives critiques pour avoir été sponsorisée par des entreprises comme Coca-Cola, le premier pollueur plastique au monde.

En outre, comme tant d’autres sommets sur le climat dans le passé, peu de mesures ont été prises en termes d’actions et de politiques climatiques concrètes. En fait, on pourrait affirmer que les plus grandes décisions en matière de lutte contre le changement climatique n’ont pas été prises lors de la COP27, mais plutôt lors du sommet du G20 entre les États-Unis et la Chine. De même, le gouvernement américain a également signalé le mois dernier qu’il envisageait l’une des tactiques de lutte contre le changement climatique les plus controversées et les plus importantes à ce jour.

Le 13 octobre, la Maison-Blanche a annoncé qu’elle finançait un plan de recherche de cinq ans sur l’une des propositions les plus discutables en matière de lutte contre le changement climatique : la géo-ingénierie, ou les technologies et innovations qui peuvent être utilisées pour modifier artificiellement le climat de la Terre.

L’étude sera consacrée spécifiquement à une forme de géo-ingénierie connue sous le nom de gestion du rayonnement solaire. Il s’agit d’une technique qui consiste essentiellement à pulvériser de fins aérosols dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil loin de la Terre. L’idée est que, une fois le rayonnement réfléchi, il y aura moins de chaleur et que les températures baisseront.

Source

Projet Depop : NYT « Une substance stérilisante dans la nourriture à l’étude ».

Un article de fond du New York Times du 4 novembre 1969, rédigé par Gladwin Hill, demandait que des produits chimiques de stérilisation soient ajoutés à l’approvisionnement alimentaire afin d’atteindre les objectifs mondialistes de dépopulation humaine. Cet article, intitulé « A Sterility Drug in Food is Hinted », était accompagné de la mention « Biologist Stresses Need to Curb Population Growth ».
« Un biologiste souligne la nécessité de freiner la croissance démographique »
https://timesmachine.nytimes.com/ti...

L’article du New York Times, présenté ci-dessous, cite le Dr Paul Ehrlich de l’Université de Stanford, un partisan de la dépopulation, ainsi que le conseiller scientifique principal du président Richard Nixon, le Dr Lee DuBridge, qui a déclaré que « le contrôle de la population devrait être la tâche principale de chaque gouvernement. »

Le Dr Barry Commoner de l’Université de Washington à St. Louis :

« Ne pouvons-nous pas inventer un moyen de réduire à zéro notre taux de croissance démographique ? Chaque institution humaine - école, université, église, famille, gouvernement et agences internationales comme l’Unesco - devrait en faire sa tâche principale ».

Le recours aux médicaments anti-fécondité dans l’alimentation : une réponse à notre crise démographique mondiale ?

Am J Psychother

. 1985 Apr ;39(2):155-8.
doi : 10.1176/appi.psychotherapy.1985.39.2.155.

Cet article traite de la possibilité d’ajouter des substances antifécondité dans les aliments de base ou dans les réserves d’eau pour aider à contrôler l’explosion démographique mondiale.

Des expériences similaires d’antifécondité menées sur des chiens représentent la première proposition organisée à grande échelle pour contrôler une population de cette manière, et peuvent avoir des implications importantes pour les humains. Les prévisions selon lesquelles le taux de natalité mondial atteindra 7 à 14 milliards de personnes au cours des deux prochaines décennies pourraient être réduites de moitié si la croissance démographique était nulle.

Toutefois, en raison de l’ignorance ambiante et des traditions restrictives qui dominent les réalités mondiales d’aujourd’hui, la planification du contrôle des naissances est difficile à mettre en œuvre. Bien que beaucoup plus facile à instaurer dans les sociétés riches que dans les pays moins développés, la limitation obligatoire des naissances pose de nombreux problèmes éthiques et juridiques. Le contrôle de la population implique plusieurs approches ou une combinaison de toutes : 1) l’éducation, 2) les additifs chimiques et, 3) l’obstruction physique. La principale méthode de contrôle des naissances est l’infertilité chimique par des méthodes volontaires ou obligatoires, qui peuvent être programmées de manière temporaire, permanente ou en fonction du sexe.

Bien que des problèmes tels que :
1) la possibilité de retrouver un état fertile si on le souhaite
2) les changements génétiques possibles dans les générations futures
3) les effets cancérigènes et psychologiques graves sont des préoccupations majeures, l’application de ces méthodes peut être justifiée lorsque des millions de personnes mourraient autrement de faim.

PubMed

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