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Le marketing de la guerre psychologique

samedi 24 décembre 2022

Nous cherchons depuis plusieurs semaines les coupures d’électricité qui pourraient intervenir et nous gâcher notre repas de Noël, mais rien ne vient.
Cette opération psychologique menée par Macron et consort nous pend au nez et le mécanisme est activé par notre peur et par les promesses de coupure.

En Afghanistan, les denrées alimentaires étaient larguées par avion sous forme de sac jaune pour pallier à la famine en temps de guerre. Les psychologues de l’armée américaine ont eu la bonne idée concevoir des explosifs dans le même emballage. De ce fait les afghans ne savaient pas si les sacs largués étaient de la nourriture ou un explosif et continuaient à avoir peur de mourir de faim ou d’une explosion.

Cette expérience est un psyop, tout comme quand Jérôme Salomon faisait le décompte des morts du covid dont le nombre était manipulé par les secrétaires des hôpitaux à qui on demandait de classer des cancers et autres causes de mortalité en covid. (Cette information a été recueillie auprès d’une secrétaire d’hôpital dans le sud ouest).

Ce schéma a été utilisé pour le vaccin, pour les masques, pour le changement climatique, la guerre atomique en Ukraine et la faillite des banques en 2008.

La presse a relayé ces fakenews avec tant de force que maintenant plus personne ne croit les journalistes ni les politiques qui utilisent le marketing de la peur.

En novembre 2001, le Pentagone créait le « bureau d’influence stratégique » (Office of Stategic Influence - OSI) ayant pour mission de lancer des campagnes de désinformation auprès des presses étrangères dans le cadre de la guerre contre le terrorisme international, en tant que subdivision du « bureau des opérations d’information », lequel dépendait de l’Etat-major interarmées.

Etant donné que la Russie affirme que l’armée a créé des laboratoires de guerre biologique en Ukraine, il est probable que le Pentagone soit sous la politique de désinformation du covid et du changement climatique, seul l’ennemi a changé, puisque la cible c’est le peuple.

La création de l’OSI s’inscrit avant tout dans les rivalités intestines qui déchirent les départements de la Défense, d’Etat, et surtout la CIA chargée officiellement des mesures « actives » (comme les opérations de désinformation, d’intoxication…). Il semblerait par ailleurs que ce soit les services chargés de l’information militaire « classique » qui auraient organisé la fuite dans le New York Times qui révéla l’existence de ce bureau en février 2002.
Une loi aux Etats-Unis interdit aux agences fédérales de propager des informations volontairement fausses à l’intérieur du territoire national.

L’Office de l’influence stratégique (OSI) a été créé en novembre 2001 dans la foulée du 11 septembre, et avait pour mission de lancer des campagnes de désinformation auprès de la presse étrangère dans le cadre de la guerre antiterroriste.

Le nouveau marketing de la peur

Pour faire parler d’elles sur les réseaux sociaux, les marques jouent de plus en plus sur la corde sensible du frisson. Avec plus ou moins de délicatesse...

C’est l’une des grandes tendances de ces derniers mois. Terroriser le consommateur, le plus souvent par procuration, pour lui vendre un produit ou un service. Et lorsque l’on couple cette technique à un autre grand courant publicitaire de l’année 2013, à savoir le recours massif aux caméras cachées, c’est tout simplement bingo sur les réseaux sociaux !

Parmi les nombreux exemples significatifs, citons le récent « carton » réalisé par la marque LG et son écran plat plus vrai que nature qui faisait croire à la chute d’une météorite pendant un entretien d’embauche (près de 15 millions de vues sur Youtube).

Plus fort : la vidéo intitulée Telekinetic Coffee Shop Surprise, censée faire la promotion du film Carrie avec une caméra cachée des plus impressionnantes, affiche quant à elle déjà plus de 50 millions de vues au compteur en deux mois à peine...

Efficace pour faire parler de soi, le marketing de la peur n’est cependant pas qu’un simple gadget pour créer le buzz sur Facebook et Twitter. Il peut aussi revêtir d’autres formes plus subtiles qui font parfois rejaillir les grandes peurs du passé, histoire de pousser le client à l’achat, même dans les secteurs les plus respectables.

Ainsi, pour sensibiliser les foules au risque d’une soudaine perte de revenus, la compagnie d’assurances Delta Lloyd Life vient de lancer la campagne « Votre bunker financier » en collaboration avec l’agence de pub Famous. Au menu de cette action belge qui joue sur la corde sensible du « Jusqu’où iriez-vous pour protéger votre famille ? » (sic) : un concours qui permet à l’internaute de gagner un séjour « dans la plus sûre des maisons de vacances », à savoir un vrai bunker de la Seconde Guerre mondiale transformé en une résidence hyper-confortable. Non, ce n’est malheureusement pas une blague...

Frédéric Brébant

La menace Ébola : réelle ou fausse-bannière ?

Les médias de masse sont en train de gonfler « la plus grosse » contagion d’Ébola jamais enregistrée.

On nous dit que la terrible maladie qui produit des symptômes tout droit sortis d’un film d’horreur, se propage aux États-Unis. Des Américains annulent leurs vacances et refusent de prendre l’avion, croyant qu’ils pourraient y attraper l’Ébola.

Les gens sont terrorisés (à dessein) par d’horribles images, par la peur de finir rapidement dans d’horribles souffrances et par la peur de prendre l’avion. Les peurs sont menées hors de proportion avec la réalité de la menace. Où avons-nous déjà vu cela ?

Le 11 septembre 2001, le public américain fut soumis à un contrôle de l’esprit par le traumatisme, une forme extensive de technique de lavage de cerveau appelée coercition, décrite dans un livre du même titre de Douglas Rushkoff. Le contrôle de l’esprit par le traumatisme utilise des peurs extrêmes ou l’horreur pour façonner le subconscient des victimes. C’est une technique très efficace pour faire soumettre les gens à l’autorité sans qu’ils réalisent qu’ils le fassent ni même pourquoi.

A l’automne 2001, nous fûmes conditionnés pour croire que des musulmans radicaux, utilisant des avions détournés, de l’anthrax et on ne sait quoi d’autre, avaient la volonté de tuer un grand nombre d’Américains. Ceci eut pour résultat que les États-Unis prirent le sentier de la guerre contre les musulmans, les nations musulmanes, les persécutant dans le monde entier, déchirant en mille morceaux la constitution, gaspillant des milliers de milliards de dollars, risquant la banqueroute tant morale que financière.

Depuis lors, la preuve que la peur du 11 septembre/anthrax était une escroquerie a été faite et a laissé beaucoup d’Américains plus tristes mais plus éveillés. Aujourd’hui, dès que le gouvernement et les médias commencent à faire peur aux gens avec une menace gonflée, les observateurs avertis se demandent directement : Est-ce une menace réelle ? Ou est-ce juste encore un faux-drapeau ?

Dans un entretien exclusif avec le programme radio Truth Jihad (Djihad pour la vérité), le Dr. Garth Nicolson, un expert de renommée sur les maladies émergentes et la guerre biologique, a suggéré que la menace d’Ébola a été exagérée à cause de la nature très spectaculaire de ses symptômes. En fait, le Dr Nicolson a aussi suggéré que c’est précisément à cause de ces symptômes spectaculaires, qui se voient très rapidement, que la maladie est en fait plus facile à contenir.

« Si vous avez une maladie grave, à haute mortalité comme Ébola, cela va gagner beaucoup d’attention. Mais vous pouvez isoler ces patients immédiatement et cela va contenir l’ensemble du processus. »

Une maladie spectaculaire, capable de gagner l’attention, mais qui n’est pas capable de tuer un grand nombre de gens, est idéale pour une manipulation psychologique fausse-bannière de l’opinion publique. Un des facteurs dominant d’une psyop fausse-bannière, est la disproportion entre l’impact massif sur l’opinion publique de l’événement et la faible réalité de la menace supposée (NdT : Jusqu’ici, Ébola dans sa forme « classique » de contamination n’a fait que quelques 1000 morts dans 3 ou 4 pays différents en 6 mois de temps, alors que la grippe commune fait de l’ordre de 300 000 morts par an dans le monde… Aucune commune mesure, par contre si le virus était manipulé pour être transmissible par voie aérienne… Là… Nous pouvons être à peu près certains que l’armée yankee y travaille ou a déjà mis au point ce type de virus génétiquement manipulé afin de potentiellement pouvoir produire un scénario « 12 Singes »…)

Ce schéma existe depuis des siècles.

Dans l’Angleterre du XVIIe siècle, le clan de va-t’en guerre de Robert Cecil voulait lancer un assaut sur les empires espagnol et portugais, mais il fut contraint par la politique pacifique du roi James et de quelques-uns de ses conseillers et aussi par la récalcitrante opinion publique pacifiste. Comme l’Espagne et le Portugal étaient des pays catholiques, Cecil avait besoin de convaincre ses concitoyens qu’ils devaient tous faire face à une « menace catholique » ; il trouva donc un agitateur catholique radical du nom de Guy Fawkes, le mit lui et quelques barils de poudre à canon mouillée dans un tunnel sous le parlement anglais et le fit arrêter en accord avec un plan préétabli.

Le complot de Cecil marcha à la perfection. De toutes les chaires anglicanes du pays, les prêcheurs dénoncèrent les diaboliques catholiques extrémistes qui avaient presque réussi à faire sauter le parlement britannique L’opinion publique anglaise entra dans une transe anti-catholique similaire à celle que nous avons vécu contre les musulmans après le 11 septembre 2001 et Cecil obtint sa guerre.

En fait, les catholiques britanniques ne posèrent que peu ou pas de menace à quiconque. Mais à cause de l’énorme impact de relation publique du plan de Cecil avec ses barils de poudre sous le parlement, le public fut convaincu qu’une vague de chaos catholique arrivait sur ses côtes.

Le gouvernement américain tout comme le gouvernement britannique a convaincu de manière répétée ses citoyens d’une menace imminente exagérée ou simplement non-existante. En 1847, Washington fabriqua de toute pièce une « invasion mexicaine ». En fait le Mexique était bien plus faible que les USA et ne posait en rien une menace à la nation, mais des manchettes de journaux belliqueuses martelèrent les Américains pour faire la guerre au Mexique et de la sorte, Washington vola presque la moitié du territoire mexicain. En 1898, une fausse « menace espagnole » fut fabriquée par l’envoi par le fond fausse-bannière du navire USS Maine qui mouillait dans le port de la Havane à Cuba. En réalité, l’Espagne ne posait aucune menace aux États-Unis, étant le plus faible des deux camps, elle ne pensait qu’à éviter la guerre, mais une fois de plus les citoyens américains furent lobotomisés pour croire à une menace non-existante renforcée par une attaque fausse-bannière. Les États-Unis s’emparèrent une nouvelle fois de larges territoires pour leurs banquiers et leurs capitalistes.

Avant la première guerre mondiale, une menace allemande non-existante pour les États-Unis fut fabriquée de toute pièce au moyen de deux « manips » de relation publique (propagande) : La forgerie du télégramme Zimmerman qui a convaincu l’Amérique que les Allemands conspiraient avec le Mexique pour envahir les États-Unis et l’envoi par le fond orchestré du navire Lusithania, qui était bourré de passagers… et d’armes et de munitions à destination de l’Europe. Les Américains se levèrent en masse par peur hystérique des Allemands et s’en allèrent guerroyer en Europe pour leurs banquiers sionistes et les britanniques.

Washington et Londres ont aussi dragué les États-Unis dans la seconde guerre mondiale au travers d’une menace fabriquée. Ils utilisèrent le plan en huit points, incluant de couper le Japon de ses vivres afin de forcer le Japon à attaquer les USA à Pearl Harbor. Le filmage de l’attaque, choqua les citoyens et les convainquit que les États-Unis faisaient face à une véritable menace avec la Japon et ses alliés Allemands. En fait, si les États-Unis étaient restés neutres (comme la population le voulait au départ), une telle menace ne se serait jamais matérialisée.

Dans les années 1960, une autre menace non-existante émergea cette fois-ci du Vietnam. Elle fut fabriquée pour amener les US dans une guerre totale avec le pays. Une fausse attaque sur un navire américain dans le Golfe du Tonkin, appelé l’« incident du Golfe du Tonkin », fut arrangé.

Ce ne sont là que quelques exemples montrant qu’une hystérie gonflée par les médias est toujours au service d’un agenda caché.

Qu’est-ce qui se cache derrière la peur d’Ébola ?

La scientifique Ann Sullivan argumente qu’une contagion orchestrée par le virus Ébola en Amérique pourrait être utilisée pour créer « une urgence pandémique de niveau 6, qui demanderait une vaccination obligatoire, vaccins qui contiendraient leur virus patenté de guerre biologique Ébola ». Cette vision d’un scénario du pire, cauchemardesque, prend en considération la vision de la faction la plus eugéniste de l’élite mondialiste utilisant une fausse menace à l’Ébola pour en créer une bien réelle (NdT : en disant que « le virus a muté rapidement et que les services de santé sont pris de cours »…)

Avec ou sans menace réelle, le gouvernement américain pourrait utiliser le spectre d’une urgence pandémique pour boucler les Américains et retirer les derniers vestiges de leurs droits constitutionnels. Le président Obama vient de signer un amendement au décret 13295 de George W. Bush, qui autorise l’« appréhension, la détention ou la relâche conditionnelle d’individus pour prévenir l’introduction, la transmission ou la dissémination de maladies contagieuses suspectées ». L’amendement d’Obama élargit l’ordre de permission de mise en détention d’un nombre illimité d’Américains sur la simple suspicion qu’ils peuvent être porteurs d’une maladie dangereuse et contagieuse (Ndt : Entrent alors en lice les fameux camps de la FEMA…)

Pourquoi le gouvernement américain voudrait-il manufacturer une menace à la contagion, réelle ou inventée, comme excuse à la loi martiale et à la détention de masse ? Il pourrait le faire en mesure préventive à des troubles sociaux de masse lorsque le dollar va s’effondrer et que l’économie américaine va imploser. En ce moment, les nations des BRICS, emmenées par la Russie et la Chine, sont en train de retirer le bouchon de l’évier sur le dollar, qui commence à tournoyer grandement dans sa préparation à disparaître dans le tout-à-l’égout. Lorsque le dollar fera son dernier plongeon, les Américains feront face aux pleines conséquences du gaspillage imbécile par leurs gouvernements successifs, de milliers de milliards de dollars depuis le début de la « guerre » après les attentats du 11 septembre 2001. Le résultat plus que probable : une seconde révolution américaine.

Si le gouvernement américain peut terroriser les Américains avec Ébola, militariser la société et mettre sous les verrous des centaines de milliers, des millions de personnes dans des camps de concentration, alors il pourra peut-être enrayer la révolution avant qu’elle ne commence. C’est ce qui pourrait être leur plan pour le moins.

Mais le virus Ébola dans sa forme naturelle, classique, ne pourra pas créer de situation de pandémie aux États-Unis, car il n’est pas facilement transmissible, il n’a pas de longue période d’incubation et il ne peut pas survivre en dehors du corps sauf sous un climat très chaud et humide. Alors soyez prévenus, si les merdias pressetitués rapportent une pandémie Ébola aux États-Unis, il ne pourra y avoir que deux possibilités :

Soit ils mentent
Soit ils auront créé une version militaire synthétique du virus et si cela se produit… Nous avons tout intérêt à commencer la révolution… avant qu’ils ne nous bouclent…

… Ou nous tuent.

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