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La vague verte des mondialistes vient de remporter les municipales 2020

lundi 29 juin 2020

La vague verte qui vient de remporter les municipales françaises de 2020 inaugure le futur imposé par la Banque des Règlements Internationaux. Les mondialistes misent sur l’utopie de Greta thunberg qui portait fièrement un tee shirt Antifa pendant les événements liés au mouvement Black Lives Matter. Le système financier à bout de souffle va se donner une bouffée d’air supplémentaire pour continuer à spéculer sur l’idéologie d’une adolescente financée par George Soros qui au passage détient une grande majorité de son capital en actions Monsanto.
La « sainte » trinité représentée par Bill Gates, George Soros et Waren Buffet pourront financer la corruption mondialiste. Ces trois gourous planétaires investissent dans les OGM de Monsanto, dans les médicaments et les vaccins OGM des laboratoires et dans le matraquage médiatique du changement climatique.
Il est ainsi intéressant de noter que Nicolas Hulot s’aligne sur la Banque des Règlements Internationaux laquelle vient de lancer sa campagne écologique avec les actions dites « vertes ».
Le « miracle » écologique va bientôt arriver.

La Banque des règlements internationaux BRI crée un fonds « green bonds » destiné aux banques centrales

Alors que les banques centrales s’interrogent de plus en plus sur la façon dont elles peuvent employer leurs réserves pour financer la transition écologique, la Banque des règlements internationaux (BRI) a créé, pour elles, un fonds investi en obligations vertes.

La Banque des règlements internationaux (BRI) est non seulement la banque des banques centrales ; elle est aussi à l’occasion leur gestionnaire d’actifs. Pour répondre aux besoins en matière de gestion des réserves de devises de ces institutions, elle leur propose des services de gestion de portefeuille personnalisés (mandats) ainsi que des fonds ouverts. Dernière innovation en la matière : l’institution de Bâle vient de créer un fonds ouvert spécialisé dans les obligations vertes« afin de répondre à la demande croissante d’investissements respectueux du climat » de ces institutions. Il n’est pas sûr que les acteurs privés qui proposent ce type de fonds apprécient cette concurrence.

Les banques centrales s’interrogent de plus en plus sur la façon dont elles peuvent employer leurs réserves pour financer la transition vers une économie durable. Selon un sondage effectué par la BRI auprès de 67 institutions, les gestionnaires de réserves de change sont 63 % à estimer qu’il pourrait être opportun d’inclure la durabilité dans leurs objectifs, à côté de la liquidité, de la sécurité et de la performance financière. Certaines banques centrales ont commencé à le faire, comme la Banque de France ou la Banque des Pays-Bas. « L’initiative du fonds d’obligations vertes aide les banques centrales à intégrer des objectifs de durabilité environnementale dans la gestion de leurs réserves », explique la BRI. Le sujet a par ailleurs fait l’objet d’ un long développement dans le dernier rapport trimestriel de la BRI.

Critères de sélection

« Avec le soutien d’un comité consultatif issu d’un groupe de banques centrales à travers le monde, le fonds rassemble les actifs des clients de la BRI pour promouvoir la finance verte à travers des investissements favorables au climat et soutient l’adoption des meilleures pratiques de marché pour développer le marché des green bonds. » Pour être éligibles, les obligations vertes devront bénéficier d’une notation minimum de A- et être conformes aux meilleurs standards de marché . Ainsi, elles devront respecter les « green bond principles » de l’ICMA (International Capital Market Association’s Green Bond Principles) ou les standards définis pour les obligations climatiques par le Climate Bonds Initiative.

Sophie Rolland

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