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Pamela Karlan agent de l’Etat Profond américain

lundi 9 janvier 2023

Pamela Karlan est un personnage de l’Etat Profond américain très influent depuis longtemps et qui a mené le projet de destitution du Président Donald Trump.

« Je déteste Trump ».

Karlan a accusé Donald Trump d’avoir commis « un abus de pouvoir particulièrement grave » en demandant à un pays étranger (l’Ukraine) de l’aider à gagner l’élection. Elle a souligné que la Constitution américaine ne donnait pas au chef de l’exécutif le pouvoir absolu d’un roi. « Donald Trump peut appeler son fils Barron, mais ne peut pas en faire un baron », a-t-elle plaisanté en référence au dernier fils du président. AFP décembre 2019

En novembre 2020, Pamela Karlan a été nommé membre bénévole de l’équipe de transition présidentielle Joe Biden au ministère de la Justice des États-Unis
Mme Karlan a supervisé et coordonné les réponses à la pandémie de COVID-19 concernant les droits civils.

Elle a déclaré à Politico en 2009 : « Ce n’est pas un secret que je compte parmi les LGBT » « je suis une femme juive bisexuelle et hargneuse ». Sa compagne est l’écrivain Viola Canales.
Pamela Karlan a été fascinée par les droits civiques dès son plus jeune âge. En 2020, elle les a fait progresser en obtenant une victoire de la Cour suprême pour les droits des LGBT.

De Facebook au ministère de la justice

Aidé de Pamela Karlan, Facebook a crée son conseil de surveillance indépendant pour diriger les publications et la censure au sein même de l’entreprise.

Selon le parti démocrate de Joe Biden, Mark Zuckerberg a été jugé trop laxiste avec l’administration Trump. Les démocrates ont décidé de mettre Facebook sous tutelle. Cette prise de pouvoir sur les réseaux sociaux représentait le début de la guerre d’information.

La judiciarisation et la censure sont devenu les deux piliers de Facebook. Pour ce faire, l’entreprise a recruté une équipe de juristes parmi lesquels se trouve Pamela Karlan.
La « cour suprême » de Facebook reçoit les réclamations des utilisateurs qui contestent le retrait des contenus de Facebook ou d’Instagram.

Catalina Botero-Marino, coprésidente du conseil :
« Nous ne pourrons pas examiner tous les appels, mais nous voulons que nos décisions aient la portée la plus large possible et nous prioriserons les cas qui ont potentiellement un impact sur le plus grand nombre d’utilisateurs, qui sont d’une importance critique pour le débat public ou qui soulèvent des questions sur le règlement de Facebook. »

Evelyn Douek, professeur à Harvard.
« Facebook veut conférer une véritable légitimité à cette institution qui a rendu ses premières décisions en janvier . Comparée par Mark Zuckerberg à une Cour suprême, elle représente « l’un des projets constitutionnels les plus ambitieux de l’ère moderne et un moment clé dans l’histoire de la gouvernance de la liberté d’expression en ligne »

En juin 2021, Facebook a confirmé la suspension du compte de Donald Trump pour au moins deux ans et prévenu que les élus politiques ne bénéficieraient plus d’un traitement de faveur en cas d’infraction aux règles.

Après avoir accompli sa mission de bannir Trump de Twitter et Facebook, Pamela Karlan a quitté discrètement le ministère de la Justice en juillet 2022, poste qu’elle occupait depuis le 8 février 2021. Un groupe républicain a révélé son comportement « contraire à l’éthique » du ministère de la justice, puisqu’elle a continué à gagner près d’un million de dollars par an pour son poste d’enseignante à l’université de Stanford tout en travaillant pour le gouvernement.

Un fonctionnaire du ministère de la Justice a déclaré que Mme Karlan avait modifié la date de son départ en mars 2022 afin de disposer de plus de temps pour préparer l’année scolaire à l’université.

« Comme le dit le vieux cliché, on ne peut pas servir deux maîtres. Pamela Karlan était une employée rémunérée de l’université de Stanford alors qu’elle était censée servir le ministère de la Justice ». M. Jones, un ancien membre du personnel républicain au Capitole.

Le président Biden et le ministre de la justice, Merrick Garland, ont couvert cette corruption, puisque Pamela Karlan s’occupait d’organiser la censure des réseaux sociaux et de la presse. Pour éviter le scandale, Le ministère de la Justice transférait à Stanford 183 100 dollars par an au lieu de payer Karlan directement.

« C’est la corruption dans toute sa splendeur - et ce n’est pas la première fois que le DOJ de Biden s’en rend coupable », a déclaré le membre du Congrès. « Biden veut vous faire croire que son DOJ est un institut non partisan, au service de la justice. La vérité, c’est que son DOJ est la Gestapo de la gauche, motivée par des considérations politiques, qui a été nommée pour accélérer la mise en œuvre de son programme radical et éliminer l’opposition conservatrice. »

Le Covid, les élections et la corruption

Mais la corruption de Pamela Karlan ne s’arrête pas là, elle est impliquée selon de nouveaux documents en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA), sur la gestion des droits civils du ministère au début de l’administration Biden. À l’époque, la division enquêtait sur certains aspects du scandale des maisons de retraite COVID-19 du gouverneur de New York Andrew Cuomo. La division a clos cette enquête en juillet 2021.

En janvier 2021, la procureure générale de New York, Letitia James, a publié un rapport révélant que le gouverneur Andrew Cuomo avait sous-estimé volontairement de près de 50 % le nombre de décès liés au COVID-19 dans les maisons de retraite de l’État.

Pamela Karlan a joué aussi un rôle important sur l’intégrité des élections présidentielles de 2020 en interférant sur l’audit du conté de Maricopa en Arizona.

Paul A. Gosar, membre du Congrès, a publié une déclaration après avoir envoyé une lettre d’admonestation à Pamela Karlan :

« Le DOJ, par l’intermédiaire de l’activiste Pamela Karlan, tente de manière flagrante d’intimider, d’interférer et de faire obstruction aux personnes impliquées dans l’important processus d’audit qui se déroule dans le comté de Maricopa. Il est essentiel que l’intégrité du processus électoral ne soit pas compromise par des radicaux au sein du ministère de la Justice de M. Biden. »

« Le DOJ devrait se joindre à l’audit et chercher à obtenir une transparence totale des élections et une vérification adéquate que le processus était »sans faille« et »parfait« comme cela a été déclaré, bien que sans preuve. Si les Démocrates n’ont rien à cacher, alors ils devraient cesser de s’immiscer dans l’audit et le laisser se terminer. Les gens honnêtes ne font pas obstruction aux audits »

Le 5 mai 2021, le procureur général adjoint Karlan, au nom du ministère de la Justice, a envoyé une lettre à la sénatrice de l’Arizona Karen Fann dans le but d’interférer, de faire obstruction et d’intimider inutilement les personnes chargées de l’audit des élections de 2020 dans le comté de Maricopa.

Outre le député Gosar, la lettre a été signée par le député Matt Gaet, la députée Marjorie T. Greene et le député Andy Biggs.

L’influence de George Soros

Le député Troy Nehls a twitté que Pamela Karlan était un haut fonctionnaire du DOJ qui a bouleversé les élections dans les États et a imposé des politiques de genre aux enfants, tout en recevant discrètement des chèques d’un million de dollars d’institutions financées par Soros.
Voici le document qui l’atteste.

L’avenir de l’égalité, de la liberté et de la Constitution américaine
Le 7 juillet 2009
Fondations Open Society
- New York 224 West 57th Street New York
https://www.opensocietyfoundations....

Au cours des cinq dernières années, nous avons assisté à la formation d’un mouvement savant visant à définir une vision claire de la Constitution des États-Unis. Deux nouveaux livres - Keeping Faith with the Constitution et The Constitution in 2020 - ont donné l’occasion à un groupe d’universitaires et de militants de discuter des idées qui sous-tendent notre démocratie et façonnent nos lois : égalité, liberté, justice pénale et pouvoirs gouvernementaux.

Intervenants
Pamela Karlan, co-auteur de Keeping Faith with the Constitution, Stanford Law School

Le partenariat avec George Soros concerne aussi l’avortement

Charges indues et opportunités potentielles en matière de droit de vote et d’avortement

Pamela S. Karlan, Faculté de droit de Stanford

le droit de vote d’un citoyen et le droit d’une femme de décider d’interrompre ou non une grossesse partagent une structure distinctive : ce sont des droits créateurs de droits qui se trouvent à l’intersection des valeurs de liberté et d’égalité exprimées par le quatorzième amendement.
Deuxièmement, ces deux droits ont fait l’objet d’une évolution doctrinale similaire au cours du dernier demi-siècle, la Cour suprême ayant d’abord relevé puis relâché le niveau d’examen judiciaire ; tous deux sont désormais soumis à la norme de la charge indue.
Ce repli doctrinal, à juste titre, fait l’objet de critiques virulentes. Enfin, dans plusieurs affaires récentes, les tribunaux ont commencé à analyser les contraintes pesant sur le droit de vote et l’accès à l’avortement en tenant compte de la manière dont les gens vivent réellement et de l’interaction entre les restrictions contestées et le désavantage socio-économique. Cette compréhension émergente et plus musclée de la charge indue nous donne l’occasion, dans les limites de la doctrine constitutionnelle actuelle, de parler de la manière dont l’inégalité économique et la pauvreté sapent les valeurs constitutionnelles d’autodétermination, de liberté et d’égalité. Peut-être que ces affaires de charge indue peuvent devenir une ouverture dans les litiges sur la Constitution et ce que l’égalité des chances devrait signifier plus généralement.

Geopolintel janvier 2023

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