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Le rôle de la vitamine D3 dans le Covid et les maladies de peau

dimanche 5 juin 2022

La vérité sur la vitamine D n’intéresse pas les médias ni les télétoubibs alors qu’elle joue un rôle important sur notre santé.
La vitamine D n’est pas qu’une simple vitamine, elle est même considérée par certains médecin comme une « hormone » ou une composante essentielle dans le processus hormonal.
Elle contribue au maintien du taux de calcium et de phosphore dans l’organisme et surtout elle sert à améliorer notre système immunitaire.

Pendant la propagande mortifère du Covid 19, l’ANSM a tenté de dissuader la population de se protéger contre le COVID en prenant de la vitamine D.
NB :
Contrairement aux médicaments, les compléments alimentaires ne nécessite pas d’autorisation individuelle de mise sur le marché, fondée sur l’évaluation préalable, par une instance d’expertise, d’un dossier soumis par l’industriel.
C’est encore une histoire d’argent et de contrôle de la santé par le cartel pharmaceutique.
La population française est fortement carencée en vitamine D car sa synthèse dépend de nombreux facteurs comme le manque de soleil, la sédentarisation, le stress ainsi qu’une alimentation pauvres en vitamines et en minéraux.

Nier cette évidence est un non sens de la science ou bien un crime surtout quand une influenceuse de télévision comme Karine Lacombe déclarait que : « La vitamine D n’est pas un moyen efficace de prévention de la Covid-19 ».

La vitamine D3 (origine animale et exposition solaire) est hydroxylée au niveau du foie en 25OH-vitamine D puis au niveau du rein et d’autres tissus (dont les macrophages intestinaux) en 1,25OH-vitamine D qui est la forme terminale active. La 1,25OH se fixe sur le récepteur de la vitamine D dans de nombreux tissus, dont les cellules immunitaires, et module l’expression de leurs gènes.

Covid-19 : la vitamine D efficace pour limiter l’infection chez les personnes âgées

Par Xavier Martinage
Réputée pour ses effets anti-inflammatoires, la vitamine D permettrait de réduire le risque de décès si elle est administrée dans les 72 heures suivant le diagnostic.

Et si la vitamine D jouait un rôle pour limiter l’infection, voire le risque de décès chez les patients âgés infectés par la Covid-19 ? Le recours à cette vitamine n’est en réalité pas nouveau, puisque les chercheurs avaient déjà évoqué son utilisation en début de pandémie, mais une étude publiée dans la revue PLOS Medicine, relayée par BFMTV, en dit plus aujourd’hui. Cette étude montre que l’administration d’ure forte dose de vitamine D dans les 72 heures suivant un diagnostic positif permet de réduire le risque de décès. Cette étude avait pour effet de mesurer le risque inhérent à une injection plus ou moins forte.

Dès avril 2020, cette étude (COVIT-TRIAL) a été lancée auprès de 260 patients. Pendant six mois, des volontaires ont été suivis dans neuf hôpitaux français (Bordeaux, Angers, Limoges, Nice, Nantes, Saint-Étienne, etc.) et ont été divisés en deux groupes, selon nos confrères. D’abord, un recevant une dose normale, puis l’autre une dose forte de vitamine D. Pour ce dernier groupe, les médecins ont pu constater « une réduction importante et statistiquement significative du risque de décès », avec un effet sur la mortalité pendant quatorze jours sans effets indésirables. Il fallait attendre vingt-huit jours pour observer une baisse de l’efficacité.

« Emballement inflammatoire » évité

Dans un communiqué publié par le chef du service de gériatrie du CHU d’Angers, Cédric Annweiler, ce dernier parle de « résultat important et cohérent » avec ce que les chercheurs savaient et un « emballement inflammatoire » évité. Raison pour laquelle les scientifiques poussent pour l’administration chez les personnes âgées d’une forte dose de vitamine D, un traitement décrit comme « simple et secure ». En outre, elle permettrait de réguler l’immunité cellulaire. A contrario, une déficience en vitamine D pourrait provoquer des comorbidités face à la Covid-19, avec les mêmes effets que l’obésité.

Dès le début de l’épidémie, des chercheurs, dont Cédric Annweiler, avaient évoqué cette piste de la vitamine D, à cause de ses effets anti-inflammatoires dans certaines maladies infectieuses et certains cancers. « Nous avons rapidement imaginé, dès mars 2020, que la vitamine D pourrait aider à lutter contre les formes graves de Covid-19 », rappelle le professeur. Administration simple, désormais sécurisée… son utilisation pourrait être étendue et donner de l’espoir aux personnes encore hospitalisées à ce jour.

La vitamine D et son rôle dans le psoriasis : Un aperçu pour le dermatologue et le nutritionniste

Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau à médiation immunitaire. Les lésions de psoriasis sont caractérisées par une hyperprolifération des kératinocytes épidermiques associée à un infiltrat cellulaire inflammatoire dans le derme et l’épiderme. L’épiderme est la source naturelle de synthèse de la vitamine D par l’action du soleil.
Récemment, un rôle de la vitamine D dans la pathogenèse de différentes maladies de la peau, dont le psoriasis, a été signalé. En effet, des associations significatives entre un faible statut en vitamine D et le psoriasis ont été systématiquement observées. En raison de son rôle dans la prolifération et la maturation des kératinocytes, la vitamine D est devenue une option thérapeutique locale importante dans le traitement du psoriasis.
À ce jour, le succès d’un traitement basé sur un apport alimentaire adéquat en vitamine D ou sur une supplémentation orale en vitamine D dans le psoriasis représente un besoin clinique non satisfait et les preuves de ses effets bénéfiques restent controversées. Cette information est importante pour les dermatologues et les nutritionnistes afin d’accroître les connaissances sur les relations bidirectionnelles possibles entre un faible statut en vitamine D et le psoriasis et sur l’utilité potentielle de la vitamine D dans le psoriasis dans le but non seulement de réduire sa gravité clinique, mais aussi de définir le profil de risque pour les facteurs de risque cardiaques comorbides qui peuvent résulter du psoriasis. Dans la présente revue, nous avons analysé les liens bidirectionnels possibles entre la maladie psoriasique et la vitamine D.

Source

16 ans de combat pour vaincre le psoriasis

Christophe M travaillait pour une société de conseil depuis 1996, et en 2005 après une année record en stress, il a développé des plaques rouges sur les tibias, les coudes et le ventre.
Il avait la vie d’une personne qui travaille dans des bureaux de 9h00 du matin à 18h30 du lundi au vendredi. Sédentaire, il faisait du sport en salle et du tennis. Sa forme était bonne et son alimentation correcte, sauf que parfois le midi, par manque de temps il allait au MacDo.

Il décida d’aller consulter un dermatologue, ses plaques étaient disgracieuses et visibles quand il portait des bermudas.
Sa première visite chez le dermatologue fut sans appel : c’est du psoriasis on va faire une biopsie.
Les résultats sont revenus avec comme réponse qu’ils ignoraient l’origine de ces plaques qui étaient épaisses sur l’abdomen et très fines sur les jambes.

Le traitement consistait à passer une crème à base de cortisone.

Même si les corticoïdes sont la base du traitement topique du psoriasis, les corticoïdes par voie systémique sont strictement contre-indiqués.

L’exposition au soleil a été un bon remède mais dès la reprise du travail les plaques revenaient. Les corticoïdes jouaient un rôle important en éliminant les plaques mais elles réapparaissaient dès l’arrêt de l’application sur la peau.

Christophe a pris le problème dans le bon sens en reliant le bienfait du soleil sur ses plaques et a émis l’hypothèse qu’il était carencé en vitamine D3.
Il décida de prendre une supplémentation de vitamine D3 K2 et en l’espace de trois mois ses plaques ont disparu et sa santé va bien mieux.

La maladie est d’abord un problème d’exposition à la lumière, nous avons besoin de la photosynthèse pour être en bonne santé.

Qu’est-ce la photosynthèse humaine ?

Le concept de photosynthèse humaine va de pair avec la compréhension qu’on fait de la mélanine, ce pigment tégumentaire, dans la peau, qui définit la palette de couleurs présente dans celle-ci. Des études faites sur les tortues marines qui peuvent hiberner sous l’eau pendant 4 ou 5 mois ont démontré que la mélanine pouvait dissocier les molécules d’eau contenues dans le corps afin de permettre à ce reptile de respirer sous l’eau. Le Dr. Arturo Solis, qui découvrit cette étonnante faculté de la mélanine explique que la source d’énergie derrière la production d’ATP n’est pas le glucose mais bien l’énergie stockée dans l’hydrogène qui doit être séparé de l’oxygène afin donner les précieux électrons pour les mitochondries afin qu’ils produisent l’ATP. Les mitochondries sont ces organelles à l’intérieur des cellules qui sont les usines d’ATP et tiennent la plupart des électrons dans leur chaîne de transport grâce à l’apport d’électrons d’hydrogène séparés par la mélanine. Mais la séparation de l’eau contenue dans le corps n’est pas une tâche aisée car il faut normalement chauffer le H2O à 2000 degré Celsius afin d’en séparer les composantes gazeuses. La mélanine, elle, le fait car elle capte les photons de la lumière du soleil et détient une quantité phénoménale d’énergie

Source

En conclusion, la maladie est due à une mauvaise alimentation qui n’apporte pas les éléments essentiels au corps pour développer une bonne immunité et l’augmentation du télétravail et du stress génèrent des carences d’exposition au soleil, indispensable à la vie.

NB : si votre foie est fatigué, pensez à prendre votre dose de vitamine D chaque jour au lieu d’utiliser des dosages mensuels qui ne seront pas retenu dans l’organisme.
Avant toute supplémentation en vitamine, nettoyez votre foie en buvant de l’eau et en évitant le gras et le sucre.

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